• Nenhum resultado encontrado

Banque nationale suisse Investissements directs en 2007

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2023

Share "Banque nationale suisse Investissements directs en 2007"

Copied!
48
0
0

Texto

En 2007, les stocks d'investissements directs à l'étranger ont augmenté de 57 milliards pour atteindre 740 milliards de francs. Les investissements directs étrangers en Suisse ont généré des entrées de capitaux de 59 milliards de francs en 2007, contre 39 milliards l'année précédente. En 2007, les stocks d'investissements directs étrangers en Suisse ont augmenté de 57 milliards et ont atteint 380 milliards de francs.

En 2007, les exportations de capitaux destinées aux investissements directs à l'étranger se sont élevées à 60 milliards de francs. Les flux de capitaux vers les pays asiatiques ont chuté, passant de 10 milliards de francs en 2006 à 6 milliards de francs l'année suivante. En revanche, ils ont restitué le capital investi aux Etats-Unis, d'une valeur de 8 milliards de francs.

Les stocks d'investissements directs suisses dans les pays de l'UE (27) ont atteint 292 milliards de francs, soit 39%. Les investissements directs suisses en Bulgarie et en Roumanie – les deux nouveaux États membres de l’UE – se sont élevés à 2 milliards de francs.

Investissements directs étrangers en Suisse

En 2007, les stocks d'investissements directs étrangers en Suisse ont augmenté de 57 milliards pour atteindre 380 milliards de francs. Hors sociétés financières et holdings, le secteur des services représentait 30 % ; Les avoirs en investissements directs ont augmenté de 17 milliards pour atteindre 115 milliards de francs. Dans l’ensemble du secteur, les investissements directs ont augmenté de 17 milliards DKK. à 63 milliards francs (17% de part).

Les investisseurs des pays de l'UE (27) détenaient en Suisse 272 milliards de francs, soit 72% de l'ensemble des stocks d'investissements directs. En effet, le stock d'investissements directs aux Pays-Bas a augmenté de 18 milliards pour atteindre 84 milliards de francs. Les Etats-Unis, quant à eux, ont investi 70 milliards de francs en Suisse (soit une part de 18%), contre 4 milliards fin 2006.

D'une année sur l'autre, les revenus des investissements directs en Suisse ont augmenté de 25 milliards pour atteindre 53 milliards de francs. Le solde, soit environ 18 milliards de francs (14 milliards en 2006), a été transféré aux sociétés mères à l'étranger.

Thèmes spéciaux

Dans la partie générale du commentaire sur les investissements directs étrangers en Suisse, le pays d'origine de l'investisseur immédiat est déterminant. Toutefois, ce n’est pas toujours le pays de l’investisseur qui détient et exerce le contrôle ultime. En 2007, la part des investissements directs étrangers en Suisse détenue par des entreprises intermédiaires dans des pays tiers a augmenté de 30 milliards pour atteindre 139 milliards de francs.

Compte tenu de cette évolution, la Banque nationale établit également, pour les investissements directs étrangers en Suisse, une répartition géographique selon le pays de l'investisseur final. Il indique le pays dans lequel est établi l'investisseur qui exerce le contrôle ultime sur la filiale en Suisse. Afin de ne pas imposer une charge administrative trop lourde aux entreprises qui sont invitées à fournir des données, les flux de capitaux ne sont pas enregistrés selon le critère de l'investisseur final.

Les tableaux 4 et 5 montrent les différences, pour les principaux pays d'origine, entre l'évaluation des stocks d'investissements directs et de la main d'œuvre selon l'investisseur immédiat et l'évaluation selon l'investisseur final. Les parts établies selon le critère de l'investisseur ultime sont nettement plus élevées, notamment pour les Etats-Unis (+47 milliards de francs), l'Amérique centrale et du Sud (+41 milliards) et le Royaume-Uni (+47 milliards de francs). +13 milliards). Les parts des investisseurs néerlandais ont atteint 84 milliards de francs selon le critère de l'investisseur immédiat, mais seulement 34 milliards selon le critère de l'investisseur ultime.

En revanche, le nombre de personnes travaillant dans les succursales néerlandaises en Suisse passe de 49 000 selon le critère de l'investisseur direct à seulement 20 000 selon le critère de l'investisseur final. L'évolution des parts des investissements directs diffère également selon que la répartition s'effectue selon le critère de l'investisseur final ou direct (voir graphique 12). En 2007, le stock d'investissements directs contrôlés par les investisseurs de l'UE n'a augmenté que de 29 milliards de francs (répartition par investisseur direct : +52 milliards).

En revanche, les montants contrôlés par les investisseurs venus des Etats-Unis ont augmenté de 16 milliards de francs, au lieu de 4 milliards selon le critère de l'investisseur direct. Stocks d'investissements directs en Suisse, répartis selon le pays Tableau 4 d'origine de l'investisseur direct et de l'investisseur final (fin 2007). Les effectifs sont répartis selon le pays d'origine de l'investisseur direct et de l'investisseur final (fin 2007).

Commentaires

Sont considérées comme faisant partie du personnel toutes les personnes qui travaillent au moins 6 heures par semaine, y compris les apprentis, les assistants et les personnes en service extérieur. Dans les enquêtes du BNS, les effectifs sont enregistrés dans toutes les participations, qu'elles soient majoritaires ou minoritaires. Ils sont rapportés à la part du capital détenue par l'investisseur direct.

En revanche, les données collectées par l'OVS concernent l'ensemble des effectifs des entreprises qui sont majoritairement aux mains d'investisseurs étrangers ; ils ne sont donc pas établis en fonction de la part du capital détenue par l'investisseur étranger. Dans les investissements directs suisses à l’étranger, le pays du bénéficiaire effectif final est indiqué dans la mesure du possible. Les investissements directs étrangers en Suisse sont publiés selon une répartition basée sur le pays de l'investisseur immédiat.

En outre, le stock d’investissements directs étrangers en Suisse et la main-d’œuvre des entreprises étrangères en Suisse sont répartis équitablement selon le pays de l’investisseur final.

Fondements juridiques

Investissements directs suisses à l’étranger – Pays 1

6 Jusqu'en 1994, y compris la Finlande, l'Autriche et la Suède ; depuis 2000, incluant Guernesey, Jersey et l'île de Man, mais à l'exclusion de Monaco ; jusqu'en 2003, y compris les États baltes, Malte, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie, la République tchèque, la Hongrie et Chypre ; jusqu'en 2006, y compris la Bulgarie et la Roumanie. 11Anguilla, Bahamas, Barbade, Bermudes, Îles Vierges britanniques, Jamaïque, Îles Caïmans, Montserrat, Antilles néerlandaises, Panama, Saint-Kitts-et-Nevis ; depuis 2000, notamment les îles Vierges américaines, Antigua-et-Barbuda, Belize, la Dominique, Grenade, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les Grenadines et les îles Turques et Caïques.

Investissements directs suisses à l’étranger – Pays 1

5 Jusqu'en 1985, y compris le Portugal et l'Espagne ; jusqu'en 1994, y compris la Finlande, l'Autriche et la Suède ; depuis 2000, incluant Guernesey, Jersey et l'île de Man, mais à l'exclusion de Monaco ; jusqu'en 2003, y compris les États baltes, Malte, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie, la République tchèque, la Hongrie et Chypre ; jusqu'en 2006, y compris la Bulgarie et la Roumanie. 10Anguilla, Bahamas, Barbade, Bermudes, Îles Vierges britanniques, Jamaïque, Îles Caïmans, Montserrat, Antilles néerlandaises, Panama, Saint-Kitts-et-Nevis ; depuis 2000, notamment les îles Vierges américaines, Antigua-et-Barbuda, Belize, la Dominique, Grenade, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les Grenadines et les îles Turques et Caïques.

Investissements directs suisses à l’étranger – Pays 1

Investissements directs suisses à l’étranger – Branches et secteurs 1

Investissements directs suisses à l’étranger – Branches et secteurs 1

Investissements directs suisses à l’étranger – Branches et secteurs 1

Investissements directs suisses à l’étranger – Branches et secteurs 1

Investissements directs suisses à l’étranger – Type de capital et groupes de pays 1

5 Jusqu'en 1994, y compris la Finlande, l'Autriche et la Suède ; depuis 2000, incluant Guernesey, Jersey et l'île de Man, mais à l'exclusion de Monaco ; jusqu'en 2003, y compris les États baltes, Malte, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie, la République tchèque, la Hongrie et Chypre ; jusqu'en 2006, y compris la Bulgarie et la Roumanie. 6 Anguilla, Bahamas, Barbade, Bermudes, Îles Vierges britanniques, Jamaïque, Îles Caïmans, Montserrat, Antilles néerlandaises, Panama, Saint-Kitts-et-Nevis ; depuis 2000, notamment les îles Vierges américaines, Antigua-et-Barbuda, Belize, la Dominique, Grenade, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les Grenadines et les îles Turques et Caïques.

Investissements directs étrangers en Suisse – Pays 1

Investissements directs étrangers en Suisse – Pays 1

Investissements directs étrangers en Suisse – Pays 1

Investissements directs étrangers en Suisse – Pays 1 (suite)

Investissements directs étrangers en Suisse – Branches et secteurs 1

Investissements directs étrangers en Suisse – Branches et secteurs 1

Investissements directs étrangers en Suisse – Branches et secteurs 1

Investissements directs étrangers en Suisse – Branches et secteurs 1

Investissements directs étrangers en Suisse – Type de capital et groupes de pays 1

Autres publications de la BNS contenant des données sur

Referências

Documentos relacionados

Tableau 10 InvestIssements dIrects seLon Le prIncIpe dIrectIonneL: fLux d’InvestIssements dIrects Flux d’investissements directs 2013, en milliards de francs Investissements