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(1)

Contribution à l'étude de

Pandemis dumetana(Treitschke) (Lep.: Tortricidae), nouveau

ravageur du fraisier en Suisse

Doctoral Thesis Author(s):

Warelas, Dimitrios Publication date:

1976

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(2)

CONTRIBUTION A L'ETUDE DE Pandemis dumetana (TREITSCHKE)

(LEP.: TORTRICIDAE)

NOUVEAU RAVAGEUR DU FRAISIER EN SUISSE

Thèse présentée à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich pour l'obtention du titre de

Docteur es sciences techniques

par

DIMITRIOS WARELAS

dipl. ing. agr. de l'Ecole des Hautes Etudes Agronomiques

Athènes né le 3 août 1936 de nationalité grecque

acceptée sur proposition

du professeur Dr. P. Bovey, rapporteur du professeur Dr. G. Benz, corapporteur

Zurich 1976

(3)

RÉSUMÉ

Le

présent

travail est une contribution à l'étude de la Tordeuse Pan¬

demis dumetana

Treitschke,

comme ravageur du Fraisier en Suisse au cours

des dernières

années.

Les résultats de nos recherches,

poursuivies depuis

1964 surtout dans le Bas-Valais et à

Zürich,

peuvent être résumés comme suit :

1. Pandemis dumetana est une Tordeuse

polyphage

inféodée surtout aux

plantes

herbacées du sous-bois et des

prairies. Répandue

dans toute

l'Europe,sauf

la

Scandinavie,

et dans l'Asie

tempérée,

elle s'est

adaptée

au cours des deux dernières décennies au

Fr^sJLer__çul_tivé jäans

certaines

régions

de l'Italie

du Nord et de la Suisse, ainsi que de la

Hongrie.

Elle a

également

été

signa¬

lée en 1936-37 comme ravageur du Pommier au

Japon

et de Boehmeria nivea (Ramie) en R.S.S. de

Géorgie; récemment,

aussi du Pommier en France.

2. Bien que

représentée faunistiquement

dans toutes les

régions

de la Suisse inférieures à 800 m , elle n'est apparue comme ravageur du Fraisier que dans le

Bas-Valais,

entre Sierre et

Martigny.

3. L'étude de la

morphologie

externe des stades

postembryonnaires

confirme le

rattachement de cette

espèce

par PIERCE et METCALFE

(1921)

au genre Pan¬

demis Hübner. C'est une méconnaissance de la structure de détail de la base de l'antenne du mâle

("échancrure

du

pédicelle') qui

a été à

l'origi¬

ne du maintien de

l'espèce

dans le genre Tortrix Linné pendant en¬

viron un

siècle.

Des différences

morphologiques

extérieures ont été mises en évidence entre les chenilles en diapause et celles non diapausantes.

4. P. dumetana ne

présente

au Valais

qu'une génération annuelle,avec

hiberna- tion au

3aeme

stade

larvaire,

tandis

qu'une

deuxième

génération,

apparem¬

ment

complète,

se

développe

en

Hongrie

et dans le Nord de

l'Italie,

Les

papillons apparaissent dès

le

début* juillet

et la

ponte

s'échelonne

jusqu'

à mi-août. Les chenilles éclosent environ deux semaines

après

la

ponte

et

î©ÏÏlG

se

développent

lentement pour entrer en

diapause

dès le 3 stade dans un

"jiibej-jtiaculum"

au sein de la litière des feuilles mortes.Elles

reprennent

leur activité dès la mi-avril et leur

nymphose

s'effectue dans la deuxième moitié de

juin.

(4)

O M

5. Dans des conditions

optimales

(environ 24

C,

80-90%

h.r.,18

heures de lu¬

mière par

jour),

le

développement total,

de l'oeuf à l'insecte

parfait,

se déroule - sans diapause - en moins de deux mois. On observe toutefois , dans ce cas, une

dégénérescence

rapide lors de

l'élevage

de

générations

suc¬

cessives.

6. La

diapause

larvaire facultative

pourrait

être rattachée au

type

d'

oligo- ga^e_^i_apausa_i.re

au sens de MÜLLER

(1970);

les chenilles

diapausantes

sont

toujours

mobiles et

peuvent s'alimenter,

tisser et même muer

lorsque

la tem¬

pérature

est

favorable,

sans pour autant augmenter de taille .Cette

diapause

est éliminée si les larves sont

exposées pendant quelques jours,

voire une à deux semaines, à une

photopériode comportant plus

de 16 heures de lumiè¬

re par jour et à une

température

suffisamment élevée.

La

température peut jouer

un rôle décisif

quant

à l'induction de la

diapau¬

se : les

températures

élevées (aux environs de 28 C ou

plus)

inhibent l'ac¬

tion des

photopériodes

inductrices de

diapause,

alors que les

températures

basses

(aux

environs de 10 C ou

moins)

entraînent la

diapause, quelle

que soit la

photopériode.

7. L'insecte nuit indirectement à la récolte en consommant le

feuillage.

Lors de fortes

pullulations,

les chenilles

agglutinent

souvent par des fils de soie fleurs et fruits se trouvant à

proximité

des feuilles qui les

abritent,

pout les dévorer par la suite.

Les

dégâts

s'échelonnent sur deux

périodes

: a, de fin-avril à

fin-juin(im- portants)

et b. de

fin-juillet

à

fin-septembre (insignifiants).

8. Les chenilles peuvent se

développer

en laboratoire aux

dépens

de nombreuses

espèces d'Angiospermes Dicotylédones. L'élevage

est impossible sur feuilles de

Monocotylédones;

par contre, il est

possible

sur

aiguilles

de

Mélèze_

et

sur divers milieux

semi-synthétiques,

enrichis de poudre de feuilles deBa:)>

sier ou

d'aiguilles

de Mélèze.

9. P. dumetana est

attaquée

par une riche faune

parasitaire;

nous avons obte¬

nu au Bas-Valais 5

espèces

de Tachinaires et 19

espèces d'Hyménoptères

pa¬

rasitant cette Tordeuse. Ces ennemis naturels

peuvent

constituer un

impor¬

tant facteur de

régulation

du ravageur.

10, La lutte contre la Pandemis du Fraisier ne

présente

pas de difficulté en

(5)

recourant vers la mi-mai à un ester

phosphorique

à faible remanence ou, de

préférence,

à une

préparation

à base de Bacillus thuringiensis Berl. sans danger pour la faune

utile, lorsque

la densité des chenilles

dépasse

20 in¬

dividus par

m2

de culture.

Des mesures culturales

appropriées (p.e. nettoyage

de la culture en auto¬

mne et incinération des feuilles

mortes)

sont à conseiller.

Enfin,

en cas

d'attaques endémiques,

il est recommandé de pratiquer la

ÇuJLJ;ure_annue_l

le

du Fraisier.-

ZUSAMMENFASSUNG

Die

vorliegende

Arbeit ist ein

Beitrag

zur Kenntnis des Wicklers Pan¬

demis dumetana

Treitschke,

der sich in den letzten zwölf Jahren als wichti¬

ger

Schädling

der Erdbeere in der Schweiz erwies. Die

Ergebnisse

unserer seit 1964

geführten

Versuche, insbesondere im Unterwallis und in

Zürich,

können wie

folgend zusammengefasst

werden :

1. Pandemis dumetana ist ein

polyphager

Wickler, der vor allem auf niedri—

gen

Laubpflanzen

der Wälder und Wiesen lebt. Er ist ausser Skandinavien in ganz Europa verbreitet,

desgleichen

in Asien in Zonen mit mildem Klima. Die Art konnte sich im Laufe der zwei letzten Jahrzehnten andie

kuljtxyie_r_te

Erd¬

beere in verschiedenen Gebieten

Norditaliens,

der Schweiz und

Ungarns

an¬

passen. In den Jahren 1936-37 wurde sie auch als

Schädling

des

Apfelb_ajLimes

in

Japan

und von Boehmeria nivea

(Ramiepflanze)

in

Georgien (USSR)

ange¬

geben.

Vor kurzem wurde sie auch auf

Apfelbaum

in Frankreich beobachtet,

2. Obwohl in allen Gebieten der Schweiz unterhalb 800 m ü.M.

verbreitet,

ist

dieser Wickler bis heute nur im

Unterwallis,zwischen

Siders und

Martigny.als Erdbeerschädling aufgetreten.

3. Die ausführlichen

Untersuchungen

über die äussere

Morphologie

der postem—

bryonalen

Stadien

bestätigen

die

Richtigkeit

der vorgenommenen

Eingliede¬

rung der Art - von PIERCE und METCALFE

(1921)

- in die

Gattung

Pan¬

demis Hübner. Die

Beibehaltung

der Art in der

Gattung

Tortrix Linné während fast eines Jahrhundertes ist auf die

ungenügenden

Kenntnisse über die

morphologischen

Einzelheiten der Fühlerbasis des Männchens

("Aus-

nagung des

Pedicellus")

zurückzuführen.

Zwischen diapausierenden undYtTiapausierenden

Raupen

konnten

morphologische

(6)

Unterschiede

nachgewiesen

werden.

4. Unter den klimatischen Verhältnissen des Unterwallis weist Pandemis dume- tana nur eine Generation pro Jahr mit

Überwinterung

im 3. Larvalstadium

auf,

während offenbar in

Ungarn

und in Norditalien eine (wahrscheinlich voll¬

ständige )

zweite Gerfration auftritt.

Die Falter erscheinen ab

Anfang Juli;

Die Zeit der

Eiablage

erstreckt sich

bis Mitte

August.

Die Raupen

schlüpfen

rund zwei Wochen nach der

Eiablage.

Sie entwickeln sich

langsam, spinnen

im 3. Larvalstadium ein

"HiJ^rn^kulum"

in der Schicht der den Boden bedeckenden toten Blätter und verfallen in Dia¬

pause

(Oligopause).

Sie setzen ihre

Entwicklung

schon Mitte

April

fort und verpuppen sich in der zweiten Hälfte des Junis.

5. Unter

optimalen Bedingungen (ca.

24

C, 80-90% rel.Feuchtigkeit

und 18 Stun¬

den Licht pro

Tag)

wird die

Entwicklung

vom Ei zur

Imago,

ohne

Diapause,in weniger

als zwei Monaten vollendet. Aber

iiytiiesem

Fall verursacht die Zucht grosse

Schwierigkeiten,

denn rasch

aufeinanderfolgende Generationen

degene¬

rieren bald.

6. Die fakultative larvale

Diapause entspricht

einer

diapausären_01igopause

im

Sinne von MULLER

(1970).

Die

diapausierenden Raupen

sind immer

beweglich,

können

fressen, spinnen

und sich auch

häuten, solange

die

Temperatur

dazu

günstig ist,

doch wachsen sie normalerweise nicht. Diese

Diapause

wird auf¬

gehoben,

wenn die

Raupen

während

einiger Tage (

4-14

)

einer

Photoperiode

von mehr als 16 Stunden Licht pro Tag und einer

genügend

hohen

Temperatur ausgesetzt

werden.

Die Temperatur

spielt

eine entscheidende Rolle bei der

Auslösung

der Dia¬

pause : hohe

Temperaturen (28

C oder mehr) annulieren die

Wirkung

von Dia¬

pause induzierenden

Photoperioden,

während bei

niedrigen

Temperaturen (10 C oder

weniger)

die Diapause unter allen Umständen eintritt.

7. Das Insekt schadet

gewöhnlich

nur indirekt indem die Ernte durch den Kaapun der Blätter etwas reduziert wird. Nur im Falle einer sehr starken Vermehr¬

ung wird die Ernte auch direkt

geschädigt,

weil die

Raupen

Blüten und Früch¬

te, die sich in der Nähe von Blattwickeln befinden, mit Seidenfäden zusam¬

menspinnen

und danach auch

jene

fressen. Schäden können während zwei Perio¬

den auftreten : bedeutende zwischen Ende April und Ende

Juni,

unbedeutende zwischen Ende Juli und Ende September.

(7)

8. Die Raupen können sich im Laboratorium von verschiedenen

Dicotyledonen-Ar-

ten ernähren. Die Zucht auf Blättern von

Monocotyledonen

ist bis dahin oh¬

ne

Erfolg geblieben, gelang jedoch

auf Lärchennadeln und verschiedenen halb¬

synthetischen,

mit Erdbeerblatt- oder

Lärchennadelpulver

bereicherten Nähr¬

medien.

9. Pandemis dumetana fällt oft zahlreichen Endo- und

Ektoparasiten

zum

Opfer.

Im Unterwallis wurde

Parasitierung

durch 5 Arten von Tachiniden und 19 Ar¬

ten von

Hymenopteren

beobachtet. Diese natürlichen Feinde dürfen als wich¬

tige

Faktoren zur

Regulierung

des

Schädlings

betrachtet werden.

10. Die

Bekämpfung

der ErdbeerPandemis bietet keine besonderen

Schwierigkei¬

ten. Wenn die

Populationsdichte

der

Raupen

20 Individuen pro

Quadratmeter übersteigt,

kann Mitte Mai eine

Spritzung

mit einem

wenig persistenten

Phos¬

phorester

oder,

noch besser, mit einem

Präparat

auf der Basis von Bacillus

thuring^jensis

Berliner

appliziert

werden. Die

spezifische Wirkung

des letzteren schliesst

jede

Gefahr für die nützliche Fauna aus.

Geeignete pflanzenärztliche

Kulturmassanhmen (z.B.

Säuberung

der Kultur im Herbst und

Verbrennung

der toten Blätter) sind ratsam. Schliesslich ist im Fall eines endemischen Auftretens des

Schädlings,

die

sogenannte Jj^reskul-^

tur der Erdbeere vorzuziehen.-

RIASSUNTO

Il présente lavoro vuole essere un contributo alio studio del Tortrici- de Pandemis dumetana

Treitschke, fitofago

dannoso alla

Fragola

in Svizzera nel corso

degli

ultimi anni. I risultati delle nostre

ricerche,

condotte dal

1964,sopratutto

nel Basso-Vallese e a Zurigo.possono essere cosi riassunti:

1. Pandemis dumetana è un Tortricide

polifago legato

sopratutto alle

piante

erbacee del sottobosco e delle

praterie.

Diffusa in tutta

1'Europa,eccetto

la

Scandinavia,

e l'Asia

temperata,

si è adattato nel corso

degli 2

Ultimi decenni alla

Fr^^oJ^_col^tiyata

in alcune

regioni

dell'Italia settentriona-

le,

della Svizzera e della

Ungheria;

è stata anche

segnalata

come ospite del _Me_lo_ in

Giappone

nel 1936-37 e della Boehmeria nivea (Ramia) nella

Georgia (U.R.S.S.),e,

recentement, anche del Melo in Francia

(8)

2. Sebbene

présente

faunisticamente in tutte le

regioni

della Svizzera al di sotto

degli

800 m, si è rivelata dannosa alla

Fragola

soltanto nel Basso-

Vallese,

tra Sierra e

Martigny.

3. Lo studio della

morfologia

esterna

degli

stadi

postembrionali

confirma 1'

integrazione

di

questa specie

da PIERCE e METCALFE

(1921)

nel génère Pan¬

demis Hübner. La conoscenza inesatta della struttura di un

dettaglio

della base dell'antenna del maschio

("intaglio

del

pedicello")

è la causa

della attribuzione della

specie

al genere Tortrix Linné per circa

un secolo.

Alcune differenze

morfologiche

esterne sono state rivelate fra le larve in

diapausa

e le larve non in

diapausa,

4. P. dumetana présenta nel Basso-Vallese una sola

generazione

all'anno con ibernazione alia 3 età

larvale,

mentre in

Ungheria

e nell'Italia setten- trionale si

sviluppano

due

generazioni annuali,

apparentemente

complete.

Gli adulti compaiono nella prima meta di

luglio

e le

deposizioni

si

prolun-

gano fino alla meta di

agosto.

Le larve schiudono due settimane dopo la de-

posizione,

si

sviluppano

lentamente e entrano in

diapausa

alla

3a

età inu- na cella

("hiberna_ciilujn")

che si construiscono nel lettio di

foglie

morte.

Riprendono

lo

sviluppo

a

partire

della meta di

aprile

e la nimfosi si veri- fica intorno alla

meta

di

giugno.

5. In condizioni ottimali

(ca.

24 C,

80-90% h.r.,

18 ore di luce al

giorno)

lo

sviluppo

da uovo ad adulto decorre - senza

diapausa

- in meno di due mesi. Si osserva tuttavia in questo caso une. degenerazione rapida negli al- levamenti di

più generazioni

successive.

6. La

diapausa larvale, facoltativa, puö

essere ascritta al tipo di

oligopausa

diapausaria nel senso di MÜLLER

(1970);

le larve in diapausa sono sempre mobili e possono

alimentarsi,

tessere e anche

compiere

la muta, quando la

temperatura

è favorevole ma non crescono.

Questa diapausa

è éliminata se

le larve vengono esposte per

qualche giorni' (

o due - tre

settimane)

a un

fotoperiodo

di

più

di 16 ore di luce al

giorno

e a una temperatura suffi- cientemente élevata.

La temperatura

puè

aver un ruolo decisivo nell' induzione della diapausa : le temperature elevate

(intorno

ai 28 C o

più)

inibiscono l'azione del fo¬

toperiodo che induce la diapausa mentre le basse temperature (10 C o meno)

(9)

determinano la

diapausa

a

qualsiasi fotoperiodo.

7. L' insetto nuoce indirettamente al raccolto

destruggendo

le

foglie.Nelle

gra¬

vi

pullulazioni

le larve

avviluppano spèsso

con fili di seta i fiori e i

frutti che si trovano vicino alle

foglie

in cui vivono, per

mangiarli

al

seguito.

I danni si verificano in due

periodi

: a. fine

aprile

- fine

giugno (

im-

portanti )

e b. fine

luglio

- fine settembre

( insignificanti ).

8. Le larve possono

sviluparsi

in laboratorio su numerose

specie

di

Angiosper¬

me Dicotiledoni. L' allevamento è stato

impossibile

su

foglie

di Monocoti-

ledoni;

mentre è

possibile sugli aghi

del Larice e su vari alimenti semi -

sintetici arrichiti con

polvere

di

foglie

di

FrjigoLa

o di

aghi

di Larice.

9. P. dumetana è attaccata da numerose

specie

di

parassiti ectofagi

e endo-

fagi.

Noi abbiamo osservato nel Basso-Vallese 5

specie

di Tachinidi e 19

specie

di Imenotteri che

parassitizzano questo

Tortricide.

Questi -uemici

naturali costituiscono - nell' ambiente naturale - un

importante

fat- tore di

regolazione

del devastatore.

10, La lotta contro la

"Panjdejnis_de_l_la_Fra_gola"

non présenta dif ficoltà e si fa

ricorso a un estere fosforico di brève

persistenza

o,

meglio,

a un prepara- to a base di Bacillus thuringensis Berl.

(che

non présenta un

perico

1 o per la fauna

utile) quando

la

densità

delle larve sorpassa i 20 individui per m2 di coltura.

Alcune

pratiche

culturali

appropriate (

come la

ripolitura

delle colture in autumno con incinerimento delle

foglie )

possono servire. Finalmente nel ca- so di infestazioni endemiche conveniente praticare la n

çqlt±vaz±gne_

annua_—

le"

della

Fragola.-

(10)

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I6 copcov/24copov

xat etc;

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apxouvxtoç

U(|>tiAt]v.

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xouç 28 G r\

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entcpepouacov

ôiarau-

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xotM/nAou ^epM-onpaotai (nept

xouç 10 C

f\ eAaxxov)

enicpepouv xrçv ôtanauotv

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xat eav etvat r\

cptoxonepioôoç.

7.

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ßptooecoc

xou

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at xau-nat auaacou.a x ouv auxvaxtç ôta

u.exa£,tvcov

vr|u.axcov

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xat xapnouç eupiaxou.eva

nXrjotov

xoov

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xa onota xaç

axeyaÇouv,

ôta va xa

xaxaßpox&ioouv

ev auvexeta.

At

Çruiiat

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ouvtou

(ar|(j,avxtxat ),

xat

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u.eaov IouAtou - u.eaov

£enxeu.ßptou (ptoruaavxoi,}.

8. Al xaiinat ôuvavxat va

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ec&ouç

xou¬

xou ent

MovohoxuAtiôovcov

cpuxcov

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auxr| ecvaiôu- vaxri ent

ßeAovcov Aap_.ixoç;

xai ent

ôtacpopcov riuiauv-9extxcov -9penxtxœv

ueocov eu.nAouxtau.evtov ôt

aÀeupou cpuAAcov Xaua^xepaaou f\

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ßeAovcov Aapixoç.

H p. dumetana anoxeAet avxtxetLtevov

npoaßoAcov

nAouotaç napaatxtxTiç navt-

ôoç

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5 etôr|

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19 etÔT]

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vonxepcov napaatxouvxa avxov xov

ç&uAAoôexriv.

Ot cpuaixoi ouxot

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vavxat va anoxeAeaouv eva ar|u.avxixov napayovxa nepiopiou.ou xou

entôpo*—

uecoç xouxou.

(12)

10. H

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Ai,aç. Ilept

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ev tj nepinxcoaet r\ nuxvoxTiç xcov Kau.ncov unep -

o

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xaç 20 ava m cpuxetaç, npoacpeuyou.ev etç eva opyavocpcoacpopLxov eaxe- pa p.txpaç

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Bacillus thuringiensis Berliner,

xo onotov ôev etvat ent- xtvôuvov ôta xt|v

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Referências

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Une commission santé et sécurité au travail Avec la création de l’HNE, les différentes commissions santé/sécurité au travail en activité sur les sites devaient faire place à une