HAL Id: hal-00891103
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Submitted on 1 Jan 1993
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14. Aktionspotentiale, abgeleitet am ersten Laufbein von Varroa jacobsoni, nach olfaktorischer Stimulierung
Jj Endris, Tc Baker
To cite this version:
Jj Endris, Tc Baker. 14. Aktionspotentiale, abgeleitet am ersten Laufbein von Varroa jacobsoni, nach
olfaktorischer Stimulierung. Apidologie, Springer Verlag, 1993, 24 (5), pp.488-490. �hal-00891103�
aux olfactomètres à courant
d’air,
ce testpermet
d’étudier si les stades de l’hôte oules leurres
préparés
sont réellement atta-qués.
En
comparant
les différents stades del’hôte,
nous avons constaté que l’attractivi- té diminuait dans l’ordre suivant :depuis
les abeilles nourrices
adultes,
lesL5,
lesnymphes
aux yeuxblancs,
lesL4,
lesnymphes
aux yeux rougesjusqu’aux
nym-phes
foncées.On ne note
pratiquement
pas de diffé-rences dans le
comportement
depréféren-
ce des acariens d’hiver
(recueillis
en fé-vrier dans des colonies sans
couvain)
etdes acariens d’été.
Les L5 ont
perdu pratiquement
totale-ment leur attractivité à la suite d’un
rinçage
au
pentane
absolu ou àl’éthanol,
et peu- vent donc être utilisées comme leurres. Lacongélation
ou l’anesthésie auCO 2
n’aguère
modifié l’attractivité des larves.Chez les adultes en
revanche,
l’attractivité n’apratiquement
pasdiminué,
mêmeaprès
un traitement aux solvants.Un
léger chauffage
des L5 a entraînéune
augmentation
de leur attractivité.Les
L5, ayant perdu
leur attractivité parlavage,
l’ont retrouvée à la suite d’une ap-plication topique
de concentrations déter- minées d’extraits larvaires aupentane.
Les
composés
d’esters décrits par Le Conte et al(Science, 1989), qui
attirentVarroa
(palmitate
deméthyle, palmitate d’éthyle,
linolénate deméthyle),
n’ont dé-clenché dans ce biotest que des réactions
non
spécifiques
et de courte durée chezles femelles de Varroa.
Ces essais laissent supposer que la re- connaissance de l’hôte par les femelles de Varroa est une succession
complexe
deréactions à différents stimulus
(par
exem-ple olfactifs, thermiques, mécaniques), qui
aboutissent à l’infestation de l’hôte. Diffé- rents
signaux
sont visiblement responsa-bles de la reconnaissance des stades du couvain et des abeilles adultes.
14.
Aktionspotentiale, abgeleitet
amersten Laufbein von Varroa
jacobsoni,
nach olfaktorischer
Stimulierung.
JJJJEndris
1 TC Baker
( 1
Institut für Bienen- kundePolytechnische
Gesellschaft Karl-von-Frisch-Weg 2,
61440Oberursel; 2 De- partment
ofEntomology
lowa State Univer-sity Ames lowa,
50011USA)
Wir versuchten elektrische
Ableitungen
am Tarsus des erstenBeinpaares
von Varroajacobsoni
durchzuführen. Dort befinden sich dieolfaktorischen
Sensillen vonVarroa
jacobsoni
in einer Grube mit einemDurchmesser von nur 15 μm
(Milani
undNannelli, 1989).
Die Versuche wurden ander
University
of California Riversidedurchgeführt.
Für die
Ableitungen
wurden ganze Varroen genommen, denen zuerst die Massenelektrode(Glas, Kochsalzlösung)
zwischen 4. Laufbein und Ventralschild
gesetzt
wurde. UmBewegungen
zu ver-meiden, erfolgte
ein Festwachsen der Ex-tremitäten,
nur dieSpitze
eines ersten Laufbeines blieb wachsfrei.Über
diesen freien Tarsus wurde ein Luftstromgebla-
sen und eine zweite Glasmicroelektrode leitete dort ab. Wir testeten verschiedene
Substanzen,
die ein abwendendes Verhal- ten bei Varroajacobsoni
auslösten(Krauss, 1990).
Die Substanzen wurden auf ein StückFilterpapier gegeben,
wel-ches in eine
Glaspipette gebracht
wurde.Mit Hilfe einer
Glasspritze
konnten zwei ml"beduftete" Luft aus der
Pipette
in den Luft- stromgeblasen
werden.Durch
Citronellol,
Geraniol undOctyla-
cetat wurden bei
jeder Reizung (n
=15)
Aktionspotentiale ausgelöst.
Die Aktions-potentiale zeigten
deutlich zwei unter-schiedliche
Amplituden,
was darauf hin-deutet,
daß mindestens zwei Neurone vondiesen Substanzen stimuliert werden.
Gleichzeitig
konnten wir durch das Binoku- lar Muskelkontraktionen im fixierten Beinvon Varroa
jacobsoni
beobachten. Des- halb könneneinige
derAktionspotentiale auch
von Motoneuronen stammen. BeimKontrolltest,
Puffs mit reinerLuft,
blieb die Muskelkontraktion aus und eszeigten
sichauch keine
Aktionspotentiale.
Die Versuche
zeigen,
daßneurophysio- logische Ableitungen
von olfaktorischen Antworten von Vjacobsoni möglich
sind.Zwischen der bekannten Verhaltensreak- tion und den beobachteten Muskelkontrak- tionen könnte ein
Zusammenhang
beste-hen. Wir
glauben,
daß diese Technik in Zu- kunft fürUntersuchungen
über die chemi- sche Kommunikation zwischen Varroaja-
cobsoni und
Apis
specgenutzt
werdenkann.
Prof Kirk Visscher danken wir für seine
Unterstützung.
Action
potentials
recorded from theforeleg
of Varroajacobsoni
after olfac-tory
stimulationVarroa
olfactory
sensillae are located in ashallow
pit (≈
15 μm indiameter;
Milani andNannelli, 1989)
on the tarsi of the fore-legs.
We made electricalrecordings
fromthe tarsus of Varroa
jacobsoni.
Theexperi-
ments were carried out at the
University
ofCalifornia,
Riverside.The whole Varroa mite was taken for the
recordings
and theground
electrode(glass, saline)
was firstplaced
between thefourth
leg
and the ventralplate.
To avoidmovements,
the extremities were waxed.Only
thetip
of theforeleg stayed
wax-free.An airstream blew over this tarsus and a
second
glass
microelectrode was inserted and arecording
made there. We testedvarious substances which have been shown to evoke behavioral responses in
Varroa jacobsoni (Kraus, 1990).
The sub-stances were
applied
to apiece
of filterpaper in a
glass pipette.
Two ml "odorized air" was blown into the airstream via aglass syringe.
Citronellol, geraniol
andoctylacetate consistently (n
=15)
evoked actionpoten-
tials from cells in the
foreleg.
The actionpotentials
were of 2distinctly
differentamplitudes, indicating
that at least 2 differ-ent neurons were stimulated
by
thesecompounds.
At the sametime,
under themicroscope
we observed muscle contrac- tions in the fixedforeleg,
and concluded that at least some of the actionpotentials
may be from motor neurons and not
just
from
olfactory receptors.
When pure airwas blown
(control test),
this evoked noaction
potentials
and no muscle contrac- tion.These results show that
neurophysio- logical recordings
ofolfactory
responses inV jacobsoni are possible.
The muscle con-tractions are consistent with the known be- havioral responses of the mites to these
compounds.
We are of theopinion
that thistechnique
can be used in futureinvestiga-
tions of chemical communication between
V jacobsoni
andApis
spp.Acknowledgment
We would like to thank K Visscher for
providing
the Varroa mites.
Potentiels d’action
enregistrés
sur lapremière patte
de Varroajacobsoni après
stimulation olfactiveNous avons effectué des tests
d’enregis-
trement
électrique
sur le tarse de la pre- mièrepaire
depattes
deVarroa jacobsoni.
C’est là que se trouvent les sensilles olfac-
tives de
V jacobsoni
dans une fossette de seulement 15 μm de diamètre(Milani
etNannelli, 1989).
Les études ont été réali- sées à l’université de Californie à Riversi- de.Pour faire ces mesures, on a
pris
desVarroa
entiers, auxquels
on avait d’abordimplanté
des électrodes de masse(verre,
solutionsaline)
entre la 4epatte
abdomina-le et le bouclier ventral. Afin d’éviter les
mouvements,
on a fixé les extrémités à l’aide decire,
seule l’extrémité d’une pre- mièrepatte
restait sans cire. On a faitpaser un flux d’air sur ce tarse libre où une
deuxième microélectrode en verre était
implantée.
Nous avons testé différentes substancesqui
déclenchent uncomporte-
ment de refus chez V
jacobsoni (Kraus, 1990).
Les substances ont étédéposées
sur du
papier
filtrequi
a étéplacé
dansune
pipette
en verre.À
l’aide d’une serin- gue en verre, 2 ml d’air«parfumé»
ont pu être soufflésdepuis
lapipette
dans le flux d’air.Le
citronellol,
legéraniol
et l’acétated’octyle
ont déclenché àchaque
stimula-tion
(n
=15)
despotentiels
d’action. Ceux- ciprésentent
nettement 2amplitudes
diffé- rentes, cequi indique qu’au
moins 2 neu-rones sont stimulés par ces substances.
En même
temps,
nous avons observé aubinoculaire des contractions musculaires dans la
patte
fixée de Vjacobsoni.
C’estpourquoi
certains de cespotentiels
d’ac-tion
peuvent également provenir
de moto-neurones. Des bouffées d’air pur
(test
té-moin)
n’ont pas suscité de contractionsmusculaires,
ni depotentiel
d’action.Les essais montrent
qu’il
estpossible d’enregistrer
desréponses neurophysiolo- giques
à des stimulus olfactifs chezV ja-
cobsoni. Une relation
pourrait
exister entrela réaction
comportementale
connue et lescontractions musculaires observées. Nous pensons que cette
technique
pourra être utilisée à l’avenir pour étudier la communi-cation
chimique
entre Varroajacobsoni
etApis
spp.Literatur
Kraus B
(1990) Untersuchungen
zur olfaktoris- chenOrientierung
von Varroajacobsoni
Oudemans und deren
Störung
durch etheris- che öle. Dissertation an der JW Goethe- Universität Frankfurt/MainMilani N, Nanelli R
(1989)
The tarsal sense or-gan in Varroa
jacobsoni
Oud: SEM observa- tions. In: Cavolloro R(ed)
Present status ofVarroatosis in europe and
Progress
in theVarroa mite Control. Commission of the Eu- ropean Communities,
Luxembourg,
71-8215. Lichtsinn und Vibrationssinn der Varroa-Milbe. WH Kirchner WH Kirchner
(Theodor- (Theodor-
Boveri-Institut für Biowissenschaften der
Universität,
Lehrstuhl fürVerhaltensphysio- logie
undSoziobiologie.
AmHubland,
D-97074
Würzburg)
Sinne und
Orientierung
von Varroajacob-
soni
sind, abgesehen
von Geruchsinn undTemperatursinn,
nochwenig
untersucht.Deshalb wurden Lichtsinn und Vibrations- sinn der Varroa-Milbe studiert.
Varroa
jacobsoni
besitzt keine äußerlich sichtbarenAugen.
Trotzdem konnten Ver- haltensreaktionen auf Lichtfestgestellt
werden. In einer Arena
freibewegliche
Milben
reagieren
mit Laufaktivität auf Be-lichtung.
Auch dorsal fixierte Milbenzeigen
bei
Belichtung
durchBeinbewegungen
lo-komotorische Aktivität an. In
Experimen- ten,
in denen mit kleinenLichtpunkten
ge- reiztwurde,
wurdefestgestellt,
daß dielichtempfindliche Körperregion
im Bereich desZentralnervensystems liegt.
Auchphy- siologische
Antworten auf Lichtblitze konn- ten aus diesem Bereichabgeleitet
werden.Histologisch
konnten bisher keinephotore- zeptorspezifischen
Strukturennachgewie-
sen werden.