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ésenter devantla/acuitédeI’drcolcdeillédccincî>cRiode 3anciro, Et soutenue le 23Août184i.r\R
5 * 113MUS un ûiua ï
'513 MHU
Ï»Docteur enMédecine delaFacultédePari»,ex
-
médecinàla Grande-
ArméeduNord,médecin de*épidémie* dudépartementde*Vo*ge»;membre de la SociétéEthnologique de Pari*,etc.,etc. TÉUIMCATIONDE SOS DIPLÔME, AINSI«JUELEMKE LALOIPtKETTE MEMEECOLE
.
roc* LA
Multi medieinimiumrationi tribuuntet nihil eiperlentioe , multlcontra faciunt
.
utriqueœqualiterpeccant
.
BAGMVI.
RIO DE JANEIRO
.
IMPRIMERIE FRANÇAISE,RUES
.
JOSEPH,64. 1844.FACTJEBABE BE lYIEBICHNTA DO RIO DE JANEIRO .
k
DIRECTOR
.
O Su
.
DR.
JOSÉMARTINSDACRUZJOBIM.
LENTES PROPRIETÁRIOS
.
OsSRS
.
DOUTORES:l
.
°ANNO.
Franciscode PaulaCândido
. . .
Francisco Freire Allemûo
. .
*2.ANNO.
. . .
, PhrsicaMedica.
\ Botanica Medica,cprincípioselementaresde ( Zoologia
.
CliimicaMedica,eprincí pioselementaresde Mineralogia
.
Anatomiageraledescriptiva
.
Joaquim VicenteTorresIlomem
. . .
E\. j
JoséMauricioNunesGarcia.
ò.°ANNO. JoséMauricio Nunes Garcia
LourençodeAssiz Ferreira da Cunha
. . .
Physiologia.
4.ANNO
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IAiiz Francisco Ferreira
Joaquim Joséda Silva
. . . .
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Pathologiainterna.
JoàoJosédeCarvalho
. . .
5."ANNO.
Cândidoíforges Monteiro
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FranciscoJulio Xavier
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G
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°ANNO.Thomnz Gome*dos Santos
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JoséMartinsdaCruzJohim
Anatomiageraledescriptiva
.
Palhologiaexterna
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1Pharmacia ,Materia Medica , especialuienlc^ Brasileira, Therapentica,eArtedeformular
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»
Operações ,Anal,topograph
.
cApparelhos.
(Partos, Moléstiasdas mulheres pejadasepari
-
{ das,ede meninos recem
-
nascidos.
HygieneeHistoria deMedicina
.
MedicinaLegal
.
2
.
"ao4.
°ManoelFeliciano P.drCarvalho.
Clinicaexterna,c Anal.
palholog.
respectiva.
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.
° aoG.
°Manoel deValadão P. .
PRESin.
Clinicainterna,eAnat.
palholog.
respectiva.
DENTESSUBSTITUTOS
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Secçãochis Sciencias accessorias
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Scccflo Medica
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SecçJoMedica
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SccçúoCirúrgica
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SECRETARIO
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Vago
AntonioFelixMartins
JoséIientodaIloza Sur
.
Ex.
Domingos Marinho deA.Americano
.
Ex.
LuizdaCunha Feijó Ex
.
LuizCarlos daFonseca
.
N
.
H. A faculdade ntlo approva,nem desapprwaasopiniõesemittidasnas Theses.
quelhesdoapresentadas
.
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,JEAN BAPTISTE NOEL ,
.4uorat
,
llotairrhonoraire
,a Hanro.
ADOLPHE HUGENTOBLER ,
Rice
-
Consul ï»e /ranee,
à Rio<Ê>ranï»r îui 0u&.
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*ilJSItD 1 > JS Mlflli ' J , 4 N A N C Y .
JeRMheureux,am»,toujour*> boos,»dévoués,ucomUntipour moi,de vous offrir publiquementl'hommage demonaffection,dema et demondévouement
Votre
a m i, Ä* Bénit.
DELA
Au momentoù j'allais quitter Rio tie Janeiro pourmerendreàPernam
-
buco,j’aiapprisquela loide 1832surlamédecine
,
nexemptepasmême les Docteursqui,commemoi,
étaientauBrésil longtempsavantsapromulgation.
de passer lesexamensquelle prescrit;alors jem'empresse de satisfaireà sesengeances#
.
Jeréclamel’indulgencedemes jugespourlatrop faible ébauchequej’ai l’honneurde leurprésenter,et j’oseespérerqu’ilsvoudront bien mel’ac
-
corder en raison des courts instantsque j’ai à consacrer àun sujet qui demanderait de longuesrecherchesetdeprofondesméditations,pourqu’il lutdignede leur être soumis
.
Révulsion vient derevellere
,
ôteraveceffort,arracher.
Lesrévulsifssont doncdes moyensquelamédecineemploie pourdétourner,
enleverd’un organeplusoumoins essentiel à lavie,
unemaladie qui peut compromettre les jours du patient,ettenterdela transportersurdes tissus,desorganes moins sensibles,moinsaltérablesetmoins importuns.
Touslesagensquistimulent
,
irritent,enflamment, peuventdevenir des révulsifs,et leureffet stimulantprendlenomdelicvulsionquand l’irrilaliou
qu’ilsontfait naî tredansuntissu,
faitdispara
îtrecelle quiexistaitdans
autre
.
un8
La medication révulsive estd’unemploi presqueaussi généralquel'an
-
tvphlogistique;souventelledevient l'uuique planchede salut, quandcette dernièrenepeutplusêtreemployée
.
Hileascsrèglesbiendifficilesàé tablir, plus difficilesencore à mettre àexécution.
Lesré vulsifssontsouvent trèsutiles à lafin desinflammations aigiies qui avant été combattues par la méthode nntyphlogistiquo menacent néan
-
moins«lepasserà l’étatchronique
,
danspresquetoutesles alleclions chro-
niques
,
etquand on doitrappeler
uneirritation à sou anciensiège.
La peau,la membranemuqueuse desvoiesdigestives,lesorganessécréteurs sontles partiessur lesquellesonopère lesrévulsions.
L’est à la peau que s’appliquentlesplus puissansrévulsifs : les rubéflans,lesvésicans ,les ven-
touses, lesescarrotiques,les sétons
,
lescaustiques,
lefeu,
l’eaubouillante, lesfrictions,lessudorifiqueset les bains devapeur.
Lesimmensesavantages dela révulsion sur la peauont ,danscesderniers temps,porté les praticiens àemployer un mode d’excitation dont ilsont beaucoupà se louer:il consisteii envelopper herm
é
tiquementle malade dans descouvertures de laine,
ùle fairesuerabondamment pendantplus
ou moins longtemps, àFuifaire boirede l’eaufroideenabondance,à lui faire respirerunair frais pendantquela sueur ruisselle,puis à le plonger successivementdans l’eau d’abordtiède, puis fraîcheetenfin froide
.
Cela paraît effrayant au premier abord;on est port é à craindre les accident les plus terribles,les terminaisons les plus funestes.
Uh bien!il n’en estpourtantrien , carlorsquecette méthodeest appliqu éavec sagesse,dans les casqui la requi
è
rent ,elle produit«le vrais miracles.
Les boissons abondantes
,
froides,abaissent la turgescencephlogistiquequi tend ùs’établirsurles voiesdigestives toutes les fois que la peau estfor-
tementexcitéeparle calorique;la respirationd’unairfraistendà rabaisser lafréquence dela circulation quia lieuparla
m
êmecause;enfin le bain d’immersion ou l’affusion «jui suit l'enveloppement
, produitsur toute la peau une soustraction de calorique suivie d’une réaction qui prolonge assez longtemps leseffets salutaires«h* cette médication. Je
l’ai souvent employée et toujoursavec des succèsplus ou moins complets.
Je l’aiem-
ployée dans des pblegmusiés chroniques avec hypertrophie «les organes digestifs«jui dataient de trois
,
cinq et dix ans,
et j'ai gué ri ces hvpocrm-
9
«Iliaques;je l’aiemployéedans dos pneumonies chroniques avec un
peu
d'hypertrophie
du cœ ur, et les poumons se sont guéris sans «pic inf-
lectioncordiaque empire;je i’
.
ii employéedansun hydrô-
péricanlitc con-
sidérable,compliquéed
'
épanchementdesérosité dansle péritoineetd'ana-
sarquedes membres
,
et lesujetaguéri,bien quesousl’empireîle plusieurs traitemensantérieurs la maladiefitdesprogrèsincessants;jel’aitentéedans unElephantiasisdes Arabesquandlesjambesnotaientencoreque médio-
crement gonflées etdures,en yjoignantla compressionet lesdouches,et lorsque j'ai perdu de vue la malade elleétait presque guérie
.
Maisque-
sera-
t-
il arrivépar la suite? Je l’ignore.
Ceux qui connaissent les impôttans travaux desCurry
,
desGiannini,
demon oncleThouvenel.
et tout récemmentceux de M.
deLaCorbière,saventquelsrésultatshrillansils ont retirédufroid dansletyphus,lesfièvres éruptives,les exanthèmes,les né vroses, etc
.
etc.
, etpourtantleurmé thodeH 'embrasse pas touslesavantages del’hydro
-
sudopathie.
Elleestdonc uneressource îles plus précieuses et môme des plus assurées contre nombre d’affectionsgravesqui entraînentpresque inévitablement laperte des ma
-
lades
,
ouqui les font languir dans un état désespérant «le souffranceet d’angoissespirequela mort,
et qui.
tropsouvent,lesy conduitparlesui-
cide
.
Jesaisque longtempsencore lespréjugesempêcheront les médecins«lerecourirà cetteméthodesi rationnelle ,recommandée en «pielquesorte par lesgrandshommesdel’antiquité,parHippocratelui
-
même,qui donnait unesigrandeimportanceauxcrises;maisc'est àeuxà combattrecespré-
jugés, à lesdéracineravec les arm;s«lu raisonnement etde l'expérience, bientô t les guérisons « ju 'ils obtiendront par celte mé thode, changeront l’obstination d«?shommes lesmoins éclairés,en une conviction profonde; alors elle deviendra populaireet rendra d’immenses services à la science et àl'humanité
.
Apr
è
s la peau,
la membrane muqueuse gastro-
intestinaleest le tissu sur lequel on opère leplus grand nombre de révulsions.
Elles ont lieu d'autant plussûrementque cetissu est plus sain,
moinsdispos
é à l'in-
flammation
. Les
purgatifssontunmoyen
derévulsiond'autantpluspuissant quelapluiemuqueuse,
bilieuse,
pancréatique,
quieuest laconséquence
, a lieu plus aisément,
etqu’elle est plusabondante .
3
10
Lorsquedans les affections de la
muqueuse
bronchiqueetde lasereuse pleurale
, le traitementantiphlogistique
a étépouss
éassez loin,on retire»le grandsavantagesde l’emploi des
purgatifs
:lesplus doux meparais-
sent les pins convenables
.
J’ai vu alors des pleurésies,
desbronchites elmême tics pneumonilesserésoudreen unou deux jours avec unefacilite surprenante
.
Los vomitifs sont plus difficilesà manier
,
néanmoins il parait qu’ils con-
viennent mieuxdanslesérysipèlesde la lace,
lion cérébrale et gastrique;dansquelquesétats d’irritation des cryptes muqueuxavec langue large,épanouie
,
blanchâtre, jaunâtre,sans rougeur limbe,goû t pâ teux,amer,sanssoif,sansréaction sanguine,nidou-
leurépigastrique, et dansl'anginequ’accompagne les mê mes symptômes
.
Danscescas et beaucoup d'autres,lesvomitifsguérissentsouventcomme par enchantement.
Néanmoins ils peuvent devenir dangereux dans une infinité de cas oùlespurgatifsont dessuccèsincontestables.
C’estl’expé-
rience
,
c'estle tact médical qui saisirontcesdifférences.
On ne peut nier queripécacuanhan’aituneffetdesplus avantageux dans l’asthme pulmo-
nairesanscomplicationsdemaladies delacirculation
.
J aiétéà mêmede m’en assurer un grand nombre de fois à Rio Grandeoùl’asthme est si communqu’onpeut le considérercommeendémique àcetteville.
Lacause en est probablementdue à de fréquentesetsubitesvariationsde l’atmos-
phèrequi,en deux heures
,
abaissent de quatorzedegrésle thermomètre deRéaumur.
L'émétique aussi asescasd’élection : jel’aivu souverainementefficaceà hautedose dans des hroncho
-
pncumonitesoù le traitement déplétifet as-
thénique avait été employé longtemps danstoute sarigueur
.
Icises avanta-
gesne pouvaientpasêtreattribuésauxévacuations alvines
,
puisque les lades éprouvaientune constipation des plus opiniâtres.
Sansdouteil ya là une action électivequ’il ne nous estpas donné d’apprécier;mais est-
il horsdeproposdepenserquele seldontils’agit,ayantlapropriété de diminuer considérablementlacontractilité ducœuretlafréquence desesbattemens
,
empcchc par cela mêmequelesangnesoitlancé avecautantdeforce dan« lespoumons,
ce quipermetàleur contractilité de revenirsureux-
uièmes ,etde rentrer dans l’ordre normal
>
compliquésd’iuilamma
-
non
ason
ma
-
11
Pansces derniers temps
,
l’émétique à hautedose a eu ,cuirelesm du-
d’unmédecin de Paris dont je dans leshydartroscs
.
C’estil« '1 quetropsouvent rebelle à tousles moyens employés jusqu’alors
,
et se termine dansbiendes casd’une maniè
refuneste pourle malade,
en le privant de l’usage de ses membres.
Pourêtreefficace, l’irritationrévulsive doitêtreplus forte quel’irritation morbide
.
I.
oublide celte loiest cause que beaucoup de maladies ne se terminent pas franchement;qu’elles passent àl’état chronique, rendent ceux qui les portent souffreteux plusou moins longtemps,etfinitparles immoler avant l’âge.
Ainsi une pleurésie quieutétéenlevée par un vési-
catoire de huitpoucesde diamètre nepourra letre par unqui u’aura que moitié decettedimension
.
Les maladesneveulent pasendurer des douleurs nécessaires, ilss'épouvantent ,combattent;on capitulepourleurmalheur, etparcettecondescendance«heret lateriletbalisaiundo.
» Lesvésicatoires révulsent trèsbien les affections thoraciqueslors même qu’elles conser-
vent encore un certain degré d'intensité
,
le poulsune grande fréquence.
Jai vu l’illustre Broussais y recourir dans des pleuro
-
pneumonies trè
s intenses,trèsétendues,
le pouls donnant encore120pulsations;mais il lesappliquait sur une grande surface,
et la sédation s’ensuivait comme par enchantement.
J'ai conservécette méthode dont j’aibeaucoup à me louer.
Ilmesemblesuperflude dire qu’avantd’agir ainsi,
ilestindispensable quele traitement antiphlogistiqueaitclépoussé très loin,surtout chez les personnes sanguines.
Dans les inflammations étendues du systèmedigestif,au contraire, les révulsifssontdangereuxet tournent presquetoujoursau profit dela ma
-
ladie
.
Dans les phlegmasieschroniquesetcirconscrites du même système,
«n retiredegrandsavantages de lasuppurationdu tissucellulaireaumoveu descautèreset«lesscions
.
On peuten«lire autantdesmaladies thoraciq qui passent à l'étatchronique.
Ilmesemble que,par lesraisons exposé
es plus haut,
on m'glige tropgénéralement d’aussi précieuses ressources.
Les phlegmasies«lusystème libio
-
séreux,celles«lesmembranes
séreuses,sont,detoutes,lesplusfaciles àrévulser
.
J’enexcepterai toutefoisla péri-
cardite et l’endo
-
cardite qui scmontrenttropsouventrebelles auxmoyens nemerappellepas lenom ,debeauxsuccèsun vastechampà exploiter
,
carcelte maladieues
4
12
los plus énergiques,les mieux choisis
,
et quiconduisent
lentement l.
$maladesàdes lésions
organiques
forcément funestes,
en les faisant passer parles crises lesplus affligeanteset lesplusdouloureuses.
On doitseconderl'efficacité desrévulsifsparl’usage dosdébilitonset des sédatifs dirigés sur l’organe irrité
.
Lesrévulsionssontquelquefoisspontanées;ellesportentalorsle nom do Crisesou deMétastases
.
On les observe bien moins souvent aujourd’hui qu’autrefois,
paicequeles médecinss’accordent sur la nécessité de com-
battre lesmaladiesdèsqu’ellesapparaissent,afinde lesguérirplusprompte
-
ment
,
et d’empêcherque les révulsions naturelles uc s’op
èrentsurdesor-
ganes plus importons que ceux atteintsprimitivement
; ils s’opposent aussiàceque les maladiesnes’étendentetne jettentdeprofondesracines.
Une bronchitepeuintense
,
négligé
edèssouprincipe,
n’est-
ellepas souvent la cause d’une phthisie mortelle ?Tous lesobservateurssont convaincusde ces vérit
é
s; maiscombien ne le seront-
ilspas davantages’ils ont eu la douleur de voir de grandsras-
semblemens d’hommes, de vastes et nombreux hôpitaux manquant des moyensnécessaires pour arrêter
,
enrayerdans leur principela marche des maladies? C’est alors que les gastro-
enté rites les plus simplesdeviennent desgastro-
dnodeno-
hépatilestyphoïdes qui moissonneutpresquetoutesleurs victimes; les colites deviennent trop souvent des lé
sions organiques mortellesavechypertrophieconsidérable ,évacuation desang ,souventpur.
lienterie, elc
.
,l’inflammation la plus simple fait de rapides progrès,
se communiquepar sympathieavec unefacilitéincroyable ,envahit lecerveau, lespoumons,
seportesur lesparotides
cl d’autresglandes,en un motse généralise pour ainsi dire, et,sous tant de coups successifs, des masses d’hommessont moissonnéesavec unerapidité
effrayante.
C’est ainsi que j’ai vu mourir, dans les hôpitaux de Gros
-
Glogau , lesdeux tiers de sa garnison
,
composée de plusde huit mille hommes.
Je m’arrête en inc
rappelant
que lesquelques ligues que jejette ici àla hâ te,ne servirontà personneetquelles n’ont pour butque
desatisfaire àla Loi, quiveutque leporteur d’undipl
ôme deDocteur
justiGcqu’il eu est le v
é
ritableproprié
taire.
Ici a été
uniquement
mon but. Puiss
è-
je l’avoir atteint et avoir con-
çu
M
édecine13
vaincu mes juges que je puis encore l’air*quelque bien à leur
pays
,et le remercier ainsidu bon accueil que j’yai reçu partout.
Cesontde bien doux souvenirs qui exigent demagratitude un redou
-
blementd'effortspour me montrerdigne de la bienveillance publique et de la liante mission d’un me'decin
.
HIPPOCRATIS APHORISMI.
1.
Du obusdoloribussimul oborlis, non in codem loco, vchemenlior obscurat alteruni
.
[ See.
2.
apli.
21.
)11.
Quce ducere oportet, quo maxime vergant, eò duccnda
,
per loca convenienlia.
( Sect.
1.
aph.
21.
)111.
Ad extremos inorbos
,
extrema remedia exquisité optima.
(Sect 1.
aph
.
0.
)IV
.
Cum morbus invigorefuerit, tunc vel tenuissimo victu uti necesse est
.
( Sect.
1.
apli.
8.
)V
.
Quicumque aliquâcorporisparle dolentes,dolorem ferenonsentiunt, his mensœ grolat (Sect
.
2.
aph.
G.
)VI
.
Qucein morbis postcrisimrelinquuntur
,
recidivasfaceresoient.
(Sect.
2
.
aph.
12.
)VII
.
Acuti uiorbiin quatuordecim diebus judicantur
.
( Sect.
2.
aph.
23.
)BIO DE JANEIRO,1844