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Considérations genérales sur les réactions des effets sur causes les causes en pathologie

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(1)

« V

4

«

CONSI D É RATION S G Ê N É R ALES

SIR

LES RÉACTIONS DES EFFETS

usa

'

l â ni

'

ii

EN PATHOLOGIE .

Ï TIH Ê SI

PR

É

SENT

É

E

ET SOUTENUE ALA FACULTÉ DE

M

É

DECINE

D E R I O D E J A N E I R O

.

LE 18 ÀÜR1L 18H

.

PAR

Pierre Henri Lucien Papiilaud

D o cT E C R E!»MéD E C I N ED EL A F A C U L Té D E P A R I S

.

RIO DE JANEIRO ,

TYrOGRATIlIA DE

BERT1IE E

IIAIUNG

. 18

» .

(2)

FACULDADE DE MEDICINA

1

)

0 K I O D K J A M I K O .

DIRECTOR,

O SR

.

DR

.

JOSÉ MARTINS DA CRl'Z JOBI

.

VL Lentes Proprietários

.

Os SR«

.

DRS

.

l

.

°ARNO

.

Francisco de Paula Candido, Physica Medica

.

(BolanicaMedica,eprincípios elementares

i deZoologia

.

Francisco Freire Allanäo

.

2

.

® ARRO

.

J

.

VicenteTorres Homem

.

Cliimicn Medica, cpriucipioselementares deMineralogia

.

Anatomiageral,cdcscriptiva

.

Jose Maurício MunesGarcia

{

3

.

®ARSO

.

JoséMaurícioMunes Garcia Anatomiageral,cdcscriptiva

.

Pliisiologia

.

L

.

de A

.

P

.

da Cunha

h

.

°AWRO

.

LuizFrancisco Ferreira,

Joaquim JosedaSilva

.

PathohPalhologiagiaexternainterna

. .

Pharmacia, Matéria Medica,especinlnvn

-

teaBrasileira,Therapeutica,eArte de

[

formular

.

Operações, Anal

.

thopograp

.

capparelhos

.

/Partos, Moléstias«lasmulheres pejadase

I paridas,cdemeninosrecem

-

uascidos

.

JoãoJosèdeCarvalho, 5

.

°Anno

.

Candida /larges Monteiro

.

Francisco JuliaXavier

. .

,

0

.

®ANRO

.

ThommGomesdosSantos

.

.

.

loseMartinsdaCruzJubim Hygiene, eHistoria da Medicina

.

Medicina Legal

.

Clinicaext

.

,eAnal

.

patholog

.

respective

.

Clinica int

.

, eAnal,patholog

.

respective

-

2

.

®aoft

.

*Manoel F

.

P

.

deCarvalho

.

ao(5

.

®.1/

.

deVulladáoPimentel

. .

LentesSnbstiiutos

.

í

Secção dasScicnciasacrcssorias

.

( Josè Hintoda'

Jloza . .

Antonio Felis Martins

Jlomingos Marinhode Azev

.

0AmcricAScCçãoCirúrgica

.

Luiz da Cunha Fcijò i

)Sec«;ãoMedica

. '

Secretario

.

Dr

.

Luiz CarlosdaFonccca

.

A faculdade nãoapprovanemdcsapprwa as opiniõesqniUidas nas thesesque Ihu sãoapresentadas

.

(3)

A LA FACULTÉ [DL M É DECINE DE RIO DE JANEIRO .

hommagedelauteur.

(4)

CONSID É RATIONS G É N É RALES

W R

LES RÉ ACTIONS DES EFFETS

888 888 888888 V

Eï \ PATHOLOGIE .

Lorsque

je composaimathèse deDocteur,àl'KcolcdeMédecine de Paris

,

jefusamené par mon sujet,qui é tait unequestion dePhysiologie générale

,

àfaireressortirplusieursfoisl'importance duneloinaturellepar laquelle

,

dans un certainordre de faits

,

leffet produit par une cause quelconquedevientplustardcause àson touretproduitdesphé nomènes

semblablesà ceuxdontil estlerésultat

.

lin étudiant laPhysiologie pathologique on trouvedenombreuses applicationsde cette loi eten observantlamarchedune maladieon re

-

connaîtquedesphénomènes,qui étaientévidemment leseffets de lamo

-

dificationprimitive

,

ont concouruàleurtour,comme causesdunordre secondaire,àentretenircettemodificationquileuravait donné naissance etqueladuréedelaffection lientà lapermanence durapport quisé ta

-

blit entre lescauses et leseffetsetparle quelcesdeux ordres delaits sinfluencent et secommandent réciproquement

.

Ceprincipe unefoisposé dunemanièreabstraite,nousenrecher

-

cheronsles applicationsthéoriquesetpuisnousarriverons auxconsidé

-

rations pratiques qui en seront la déduction

.

Toute idée qui peut passerpar lecreuset decestroisépreuves:abstraction,théorie

,

pratique, nestpasune idée vaine

.

Je

rapporterai

àl’

honorable

DocteurMarjolin,professeur álaFaculté de Paris,les

premi

ères notions qui ontfrappémonespritsurle sujetque je traite aujourdhui

.

Lu 1835, ilsexprimaitainsi,à soncoursde pa

-

thologie externe:

.

«Dans certaines maladies inflammatoires

,

ilnasulliit pas pour guérir 1

(5)

2

«cl employer les seuls

antiphlogistiques

; souvent il laut sattacher *

« combattre

,

simultanément ou isolément,l’élémentdouleur par lem

-

• ploi

desnaicotiques

,

desanti

- spamodiques,

desré

frigé

rans&c

.

,

ï cause deladouleur etla douleur cause à eilet tournant dans car il

« peuts’

é

tablirentre rinllauimation

« effetde l’inllammation

,

un rapport de

« uncercle vicieuxparsuite duquell'élémentdouloureux,persistantau

«del ades autres phénomènes,

pourrait

dabord les ramenerparlefait

« de sa persistanceetpuisacquérir deson côté plus dintensité parle

« fait de leur retour

.

»

Cette idée se prête à undéveloppement plus largeque celui quelui donnaitle

professeur

Marjolin

.

lin considérantlinflammationdulema

-

nière abstraiteet sous sonaspectle plussimpleetleplusvulgaire

,

nous trouvons que cest un étatpathologique des tissus caractérisé par les modificationssuivantes: chaleur

,

douleur»rougeur

,

tumeur

. —

Uneseule

de c

è

smodificationsétantsupposéeexister isolément suiliiait pour dé

-

terminer l’ensemble dephénomènes constituantlétatinflammatoire

.

Ainsila seule chaleursolairecausera l’érysipéle«piiest uneinflam

-

mation bien complète

.

Linjection capillaire sanguine

,

dite rongeur,étant admise persister pendantuncertainteins saccompagnera bientôt des autressymptômes inflammatoires

.

Le gonflement des tissus,mê mecelui qui estproduit artificielle

-

ment,détermineraaussi untia\ail de

phlogosc .

Enfin la douleur

,

existantseule

,

auraaussi lemêmerésultatetsera bientôtsuivie de la chaleur,de la rougeur et de la tumeur

.

Cesquatre modifications

pathologiques

inhérentesál'étatinflamma

-

toiresont liéesensemble

,

quohpiedistinctes

,

parunrapportintimeet cestle rapport de «ause àeffet tournant dans un cercle vicieux, car chacune dellessetrouve réciproquement et alternativement cause et effet

.

Si nous sortonsdelapathologiegéné rale nous trouveronsdesappli

-

cations duncaractèreencoreplusprécis

.

Supposons,duncôt

é

unefem

-

me

chlorotique

et d'uneautre part un homme atteint d’une affection du cœurquifasseobstacleàla circulation

.

Au boutdun certains tems les deuxmaladesserontàpeuprèsdansh*mêmeétal:Chezlunetlautre, appauvrissementdu sang

,

diminution de ses globules

, baltemens

irré

-

guliers du cœur

,

gênedela

respiration

, bruits danslesartères

,

&c

.,

&c

.

Eh bien

,

chezces deux sujets lesmaladiesauront procédépardes voies opposéespour arriveraumêmer

é

sultat

.

Ce quiauraét

é

cause chez1 auraétéeffetchez l ’autreetréciproquement

,

puis le cerclevicieux une fois établi,tout aura

é

t

é

confondu

.

Mais chez lamalade

chlorotique

cest laltération du

sang

quiauraprécédéetcausé lesdésordres

circulatoires

et

chez

le

malade

it

affection du c œ ur

ce sout

les desordres circulatoires

qui un

(6)

3

Aliront précédé«I raus«'*l'alt é ration<lusang

.

Puis,comme nous venonsde Ir dire,sirsera établie la réactiondes eilet.ssurles causes,c’csladirele cercle vicieux

.

Dans les allections cutanées une irritation spécialese développea lapeau,y détermine un alllux anormal des fluides de lécononiio, un accroi.»sementetune perversion »le la vitalité,«diets«fui àleur tour,de

-

viennentcauses,car,si uneirritation leur donne naissance,leurprésence nuefoisétabliesullit aussi pour donnerlieu à lirritationet ses consé

-

|ueuces.

Supposons, parexemjI»*

,

uneczéma etobseïvoussamarchecomme suit: l

.

°,irritation spéciale qui sefixe dansunelocalitédelapeau;2

.

"

.

Iluxionconsécutive;3

.

°,perversion delà vitalité

,

4

.

°, Modifications or

-

ganiqueset fonctionnelles de la peau et sécrétionsmoibitles

.

Danscetordre lirritationestla cause prochainedelafluxion,mais celleci,à sontour,unefoisétablie

,

causenécessairement lirritation(mé mo jusquaudegréinllainmaloire) sinonquedeviendraient les matériaux or

-

ganiques accumulésparlaIluxionsilnesedéveloppait uneactivitéetdes forcesextraordinairespourlesdépenser?

La Iluxionestla causela plus

prochaine de la peiversion vitale,mais la peivcislon vitale,ayantpris rang dans léconomie,devient elle aussiune causedeIluxionpareequ

-

elleestétablie comme unfoyerde décompositions, de recompositions etde combinaisonsphysiologiquesetpathologiques,lover«pii attireà lui lesélémens de celiavailorganique

. —

La petversion vitaleest la cause prochainedes modifications organiqueset fonctionnelles,maisces modifi

-

cations donnent lieu

parleurs

réactionsà la pervertion de la vitalité, car leséruptions vésiculaires,lesdémangeaisons,lasécrétion du puset desérositésui generis, dénaturent le tissu cutan é, dé naturentaussi sa

sensibilitéetextérieurement étendent peuàpeulemalil la peau restée saine, tandisqua linlérbur un travail «le résorption tendà donner à lacausepremièreundegié toujourscroissant deforceetd*généralité

.

Dans cet<xeinplcnous avonspu analyser,«!suivrepasàpaslaction successivedescausessurles efielsaccompagnéedansun ordre inverse, de laréaction également successive des«diets sur leurs causes, (lesont deuxordresde faits intimementliéset tourmut toujoursdans le même cercle qui est celui decauseàeffet

.

Dansla marchedela syphylis nous trouvonsencoreune applica

-

tion «le notre loi

. —

Lerésultat ordinaire de linfection primitiveetlocale

«•sfle chancre. Que ce chancresoit traité convenablement, «pi’il soit d

é

truit avantquelarésorption de sonvirus ail eulieu, alors linfection secondairene se ferapas

.

Si

,

au contraire,lamaladiesuit samarche turelie,

1

nous observons les faits suivans: i

.

%

infection

primitivepar

-

suite du contact dune surface absorbante avec un virusspécial; 2

.

*,

éruption du

chancre primitif

; 3

.

®

R ésorption

de

son

virus et

incuba -

iut~

(7)

s

lionde duréevariable;

4 -

* iufectioti secondaireet générale

.

Ainsi le chancre,eiletdune première infection,devientcaused'une deuxième; résultat de la syphylis

,

il laproduit à sontour;productionisoléeetlo

-

caleilgénéralise etétendlacause(juia donné naissance etqui

,

dans cette métamorphoseet cettetransition,estdevenuesoneffet

ha même loi sapplique

,

etde la même maniè re,auxdégé neréscen

-

rcs

.

Oue le cancersoit l’expression locale dunecause généraleouqu’ilsoit simpleallectionlocale,cest une question dontladiscussionner

.

tre

pasdans ce travail

.

Nousexaminerons tour à tourlesdeux hypothèses dans leur rapport avecnotreloides réactions

.

Si la dégénérescencecancéreuseestlexpression isolée,d'une cause constitutionnelle,deffetelle deviendra cause

,

carellesera bientôt lefoyer doùrayonnerontsur touslespointsdeléconomieparlintermédiairedu système circulatoirelapropagationet lacontagion du mal

.

Forméeaux dépensdes fluidesetdes tissusnormaux, elfet d’untravail incessant de leurdécomposition et delassimilation qui luiestpropre,ladégénéres

-

cencecancéreuse emprunteson accroissement à lorganismeentier etlui renden retour,paruuéchangecontinuel etsousdesformes diverses,su

propresubstance

.

Effet,commeformation nouvelle,elle devientévidem

-

ment cause à mesurequeladiathèsecancéreuse segénéralisesouslinllu

-

encede son développement

.

Et il est difficile denier linfluence de ce développement sur lagénéralisationde ladiathèse quandonla voit, celtediathèse,enrayéepourun teinsplusoumoinslongetquelquesfois prévenue ou détruite par une op

é

ration opportune ou un traitement convenable

.

Si l’onconsidèrelaformation des tissus sansanaloguescommeun fait purement isolé, il nenvient pasmoins un tems où la maladie se gé néralise et o ù elleexercesurle reste deléconomie une action univer

-

selle

.

Derésultatpathologiqueelledevient causepatliogéniqne

.

Nonseulementnousvoyonscerapportde causeàeffetdansleslois de la physiologie pathologique,mais encore nous levoyons favorisé par les conditionsanatomiques

,

mécaniqueset hydrostatiques d’une foule daffections

.

Ainsi soit donnée une congestionsanguine dansunorganeparenchy

-

mateux oupulpeux, il arrivera que les vaisseaux, gorgés et distendus

par

lapremièreinvasion du sang,contiendront toujonrs,(quelle quesoit Jissue de la maladie)uneplus grandequantité deliquide;lallluxsanguin sera plus considérable et cette condition, quiseraun effet, contribuera comme cause tant àlapersistance delaffection qua sa récidive,sielle doit avoir lieu

.

Supposons aussi unehémorrnhgiedansl'encéphale

,

l’é

panchement

sanguin qui auraeulieuetqui

,

pour quela guérisonvienne,devraêtre ré

sorb

é

,

se trouvera au milieu de la

substance

encéphalique dans le» une

(8)

fi

condition

* dunrorp*étrangeretserale centre duntravail

inflammatoire indispensable

à sa résorplon

.

Il sVnsuivra

abondance

desang dans le cerveau

,

engorgement «lessesvaisseaux capillaires

,

ramollissement et friabilité de sasubstanceautour ducaillotsanguin;toutesconditions qui préparentetamènentcesrécidives presqueinévitablesaux

apoplectiques

oudu moins ces congestionscérébrales plusoumoins graves

,

plus ou moinspassagères, dont ils sontatteintspresquetousles jours

.

Lcsépanchemensséreux quiontlieu dans les cavitésséreuses par

r

éflet

d'uneinflammationaigueousubaigue,oud'uneirritationhypersécrétoire

,

neviennentilspasàagir parfoiscommecorpsétrangersdonnant lieuaux diversesformesde linflammation chroniqueet quelquesfois de linflam

-

mation aigue?

Dansles anévrismes

,

lesparois artérielles par le fait de leur alté

-

ration dans une portion de leur étendue cessent «lavoir la résistance normale nécessaire pour faire équilibreàl'impulsiondu sang

.

Cesparois cèdent ensedilatant etdonnent accèsàune plus grande quantité de li

-

«piidc «jui en raisondirecte de sa masse, augmente Teilet des forces excentriquesquipoussentàla dilatation

.

Voilàunpremier effet réagis

-

sant snrsacause

. —

Cesangqui saccumulesorganise etce travail per

-

manentdorganisationenlèveàchaque flot«lusang«pii circule un tribut pour l'accroissement«lela massestagnante qui<ieplus«MIplussaugmente, dilate le vaisseauetobstrue la circulation régulière

.

Danscettemarche, encoreettoujoursunesérie deréactions deseffetssurlescausesremontant directementouindirectement jus<piala cause originaire

.

Pour lesvarices

,

la marcheest lamême, les faitsà observer sont semblables

.

Si nous considérons la nature de la circulation veineuse

«jui rapportepéniblenenl«les extrémitésaucentre un sang,privé desu puissanceexcitatrice,cheininani le plussouvent contre les lois«le lape

-

santeur

,

ladisposition «les vaisseaux, leurs vulvul*s, leurs anastomoses môme«juidiminuentlénergie circulatoire,nousreconna î tronsque

,

dans cesystème

,

un obstacleaucours du sang aura des elf«ts plusmarquéset plusétendus que «lans lesystème artériel

.

Aussi ce lie seraplus seul point duvaisseau «jui souffrira de la stasesanguine

,

ce sera toute une région,toute une portion de membre ou même un membre tout entier

.

Laction des causes et la réactiondeseffetsaurontdoncun

champ

plus vaste

.

Danslapluspart desgastralgiesil se fait dansl’estomacunesécrétion delitjuideacide ou alcalin

,

dont laprésenceestsipéniblepource viscère, que le malade le rejette parrégurgitations continuelles et r

é

pétéesà

mesure

quil seformeet celadure quelques fois pendant des journ

é

es entières

.

Cescassontdesexemplestiès

frappans

«Ularéaction«leseffets

*urleurscauses

.

Cettesécrétion anormale est l’effet de la gastralgieet ceteffet

,

quand il a lieu

,

r

é

veille et exasp

è

re sa cause

.

La

maladie

<

le -

U 11

(9)

-

6

-

moins long*auboni cetie douleur», létallatentpendantdes intervallesplus

»lesquelslasécré tiongastralgique recommence acoompagn

danorexie,deprostration et dépuisement. Puis,dèsqueceltesécrétion

\ par lelaitdelanatureouparlelait de Part,touslessymptom qui raccompagnaient cessentaussi et la maladie tout entière disparaît

pour un terns plusou moinslong. Ily a plus, dans le traitement de cetteaffection,cesera leplussouvent vers Peiletetnon verslacausequil fundra diiiger les moyens

.

Si lonparvientà neutraliserdansIestomac lesproduitsa«idesoualcalins que lagastralgiey fil naî treonobtiendra souventluguérisonoudumoins unenotableamélioration

.

Quand une hemicsétrangle quarrive til?LepremierDèseffet delétran

-

lors c»*t *ii

-

meute a ou

cesse r s

glementest lengorgementdes tissus qui lesubissent,

gorgemenl, quiaugmente considérablementlevolume despartiesherniées, devient,à sontour,causepuissanteetaclivedes progrèsde lé trunglemenl

.

La constriction exercéepar Panneau herniairenaquuneaction1reslimitée, lacapacité decetanneaunepouvantvarierqudefortpeu, tandisque lengorgement des tissus étrangléset le gonllcment quieu est la suite nont pour ainsi dire pas de borneset queplusilsaugmententplusla constriction est énergique eu raisonde lu

disproportion

de la tumeur herniaire avecle canalquilui a donnépassage

.

Cestencoreuneffet réagissant sursa cause, c’est toujoursl’application delàloides réactions

.

Nousnousboru.u'Giisà cesexemples de la loi quenous avonsformulée et nous passerons deces discussions purement théoriquesà léludede quelquesdéductions pratiques qui doiventeu êtrelaconséquence

.

Un aphorisme bien connu dil:ablutd causd,tollitur effectus

.

Rien ne parait plus juste et plus logique

,

mais si enthérapeutiqueoufaisait une application inflexible de ce piéceple onrechercherait toujours les causespourles combattre sanstenircompte des effets directsouindirectset lon commettrait souvent de graves erreurs

.

Nonseulement oudevra tenirconi|)tdesrffets,deleursreactiMIS,des changcsmcns quilontpu imprimeràlanatureetàla marchede la maladie, maisencoieoud vra

.

danscertainscas,commencerleLainmentpai leseffetsavantden venir aux causesprimitives

.

Iellessontlesconséquences pratiques qui doivent ê tredéduitesde la loi desréactionsquenousavons étudiéedanscetra

-

vail

.

Le médecin estsouvent appelé à faire une médication prépa

-

ratoirepour assurerlesuccès d'unemédication définitive; silprenait marcheopposée,souvent lart île guérir resterait impuissanteut

mains

.

une :e ses Citonsquelques exemples

.

Les fièvres intermittentes de longuedurée causent, anbout il certrationchbieuûndutems

,

csangest

,

dans lesenet unevainpaysqumodification asthéonoùfait prendre àellesrégnent endéniqueces maladesprofondemiquement

,

îleetlà, une alt éé

des

conomieintér

- -

;

i m

(10)

7

Talles rapprochés,dofuries dosen de sulfatédequinine;la lièvre n<'>»i

arrêe que temporairement

,

toujours elle réparait malgré Iusagedun spécifiqueaussicertain

.

C’est«piedans ce cas leseffetsdébilitait* de lafièvreont tellement affaibli léconomiequils sont devenuscausesde cette mêmefièvre intermittente qui

,

parcela même,seprolongeauîle là de lasphère d'action des causesordinaires (miasmespaludéen de la saison dautomne)

. —

Mais que letraitement soitdirigé dansunautre sens;

quon sattacheàrelever les forces du malade,àrendreau sangsesqua- lit ésnormalesetà la circulationsonénergieetsarégularité &c

.

etaprès cette médication préparatoire le médicament anti périodique La gué risonobtenuesera,celtefois,solideetdurable

.

Quand onaaffaireàunenécrose,quellesoitscrofuleuse,svphyli

-

tique ou due à unecause externe,il faut, pour guérir, enlever lesé

-

questre,quiestleffet;cequinempêcheraparde soccuper«le la cause, sil y a lieu, en teinsopportun

.

Ici

,

la cause une loisenlevée

,

I effet neu persisterait par moins

.

Quandon estappeléàdonnerdessoinsàunmalade affecté dehernie étranglée et quon emploie les réfrigérant, laglace

tumeur, oubien lacompression,ouagittrèsrationellcmcntetcependant c’estvers1rseffetsetnonversla causequecesmoyenssontdirigés

.

Ilsne peuventdiminuerlaconstriction, ils sont destinésseulementaprévenir à diminuer l’engorgement

.

Souvent ilssuffisent pour gué rir,maisquand ils nesuffisent pasilssont toujoursdesauxiliairesprécieux dutaxis et même du«léhridement

.

Lorsquàla suite delonguesprivationset de lusngedunealimentation insalubre,ilya euperversiondugoût et «leladigestion, ilnesuffitpas

.

pourguérirlusujet, leluidonnerunenourriture saineH abondanteet de luirendre les habitudes dune vie régulière

.

Ici, commedanstant daulicscas,l’effet persiste bien longteinsaprès sa cause,et leplussou

-

vent pour le faire cesser

,

lintervention de lartde gu érir devient né

-

cessaire

.

Illaut alors, pardesmoyens appropriés,relever lesforces des organesdigestifs, combattre d'rectemcntou indirectementleur dépra

-

vation et régulariserleursaptitudesetleursfonctionsperverties

.

Il faut

.

en outre,seconder ces moyensdune thérapeutique délicateetvariéepar les soins bien entendus dunehygièneéclairée etsage

.

J’aichoisices exemplesau hasard, il> pourraientêtre suivis d’une fouledautresqui viendraientlescorroborer

. Les

médecinsentrouveront àchaquepasdans leurpratique

.

Jarrêteicimontravail

.

Jeni'aipaseu laprétention detraiteràfond laquestion quienfaitle sujet;jaieupour but d'indiquer uneloi de physiologie pathologique«picje naivue formuléenullepart d'unmanière générale et dont lévidenceetla véiitem'ont frappéplusieurs fois tant dansmesé tudes que diusmapratique

.

De plu«

,

je crois quela con

-

teussira

.

topiquessur la en

ou

(11)

8

naissancecllappréciationJecelteloidevrontapporter quelque

*

m>di

-

tications rationnellesetutiles danslathérapeutiquede certaines affections

.

Ce sujet étaitsusceptibled'un bien plusgranddéveloppement que jenaipuluidonner danscecourt etrapide opuscule

.

Jai voulu seule

-

ment profiter de cetteépreuve probatoire pour faireprendrerang dans la science et lapublicitéauxpremièrespagesduntravailau quel, peut

Être,jedonnerai plustard uneplusgrande extension

.

FIM ,

(12)

PROPOSITIONS .

ï.

Le traitement à suivre dans une maladie doit

ê

tre en rap -

port plus

tôt avec

la constitution, l

’Age et les

forces du sujet qu’ avec la

nature et

l

intensit é de l

aUcction .

II

.

Les purgatifs et les é métiques

ne

doivent pas ê

tre

admi -

nistré

s

dans le simple but d ’ é

vacuer;

leurs

r

é sultats

en thé

-

rapeutique

tiennent

moins

à leur

propri é

t

é purgative

ou

é

m

é - tique qu

à leur action perturbatrice .

III

.

Il

nest

point de signe dont la valeur

soit

absolue

;

ce

nest

que

le

concours d

une

certain nombre qui peut traduire

in

-

failliblement

une

maladie .

IV

-

La fiè

vre

tipho

ï

do

n

est point une

affection locale , elle

est

n

érale dans

toutel

étendue du

mot

. Sou si

è

ge

est

dans les liquides de

l

économieet non

dans les solides

:

Les

alt

é -

rations des solides

nesont

que secondaires .

.

(13)

II11* POCHAUS APIIOBISMI

*

ï.

Qiiæ longo temporæ extcnuantur corpora, Icnlè reficerc oportet;

quaï verò brevi

,

celcriter

.

11.

Acutorum morborum

mortis, nequesanitatis

.

non ouininò tutæ sunt prædictiones, neque III

.

Acuti morbi inquatuordecim diebus judicantur

.

IV

.

Quartanæastivæ plerumqueliunt breves;autumnalesverò longa* maxime qua*prop«*hyemeii incidunf

.

V

.

Amullo tempore consueta

,

etiamsi fuerint deteriora, insuelisminus turbare soient:oportet igituretiamadinsólita severtere

.

VI

.

Omnia ex ratione lacicnti& non secundum rationem

cvenienlibu

>>

nontranseuudum ad aliud, manente co quod visum ab initio

.

(14)

Esta these

está

conforme

os

Estatutos .

Rio

18

de Abril

de 184

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Referências

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