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Les visions pédagogiques de Saadi à travers Gulistan et Bostân

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Academic year: 2017

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Les visions pédagogiques de Saadi à t ravers

Gulistan et Bostân

Dr Mahboubeh Fahimkalam Universit é Azad Islamique d’ Arak, Iran

Résumé :

On peut dire que Gulist an et Bost ân sont parmi les chef s-d’ œuvre lit t éraires, renf ermant aussi bien un grand nombre de t hèmes qu’ une vast e variét é d’ hist oriet t es. Saadi, leur aut eur, un sage érudit , nous y présent e dif f érent s aspect s de la lit t érat ure lyrique et pédagogique. Une ét ude prof onde et exhaust ive de ces deux œuvres, nous amènera à une meilleure connaissance et la prise de conscience de l’ import ance de ces ouvrages ainsi que de leur aut eur. Nous allons essayer, dans le cadre de cet art icle, aussi concis soit -il, de j et er un regard crit ique et analyt ique sur les poèmes et les cont es de Saadi, t out en examinant les aspect s pédagogiques de ses ouvrages. Mot s-clés :

Gulist an, Bost ân, Saadi, lit t érat ure persane, pédagogie.

***

Saadi, l’ un des plus grands poèt es moralist es Persans du sept ième siècle de l’ hégire (douzième de not re ère), t ent a de t ransf ormer la sociét é de son t emps en réf ormant les ment alit és t out en essayant de f açonner les esprit s et d’ éduquer la populat ion de son t emps. Grâce à son expérience et sa connaissance, il a mis sur pied une nouvel le école sur le plan de l’ éducat ion, dont les f ruit s sont largement répandus dans les milieux lit t éraires et pédagogiques de par le monde, part iculièrement parmi la populat ion persanophone. La plupart des gens f ixaient ses précept es et ses dict ons dans la mémoire pour s’ en servir dans l a vie quot idienne.

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mal de choses, il ne cessait de f réquent er dif f érent es classes sociales, des princes et des peuples ; dot é d’ un esprit d’ avent ure il ent reprit de grands périples. Eminent ant hropologue qu’ il f ut , et pourvu d’ un grand esprit , grand expert des couches sociales, alors il s’ est mis en t êt e de composer des hist oriet t es à leur int ent ion, de vérit abl es miroirs, ref lét ant le quot idien des gens de son t emps ; il prof it ait de t out e occasion pour t ransmet t re ses convict ions morales et pédagogiques aux l ect eurs ; bref , on peut dire que des précept es moraux const it uent une part considérabl e de ses poèmes.

Nous allons t ent er, dans le cadre de cet t e recherche, d’ examiner les dif f érent es f acet t es de l ’ éducat ion à t ravers les poèmes et les cont es de Saadi, t out en ét udiant les t hèmes t el s que la modest ie, la sobriét é, le respect envers les parent s, la belle apparence et c.

1 - L’ attitude de Saadi envers l’ éducation :

L’ expression de l’ éducat ion a ét é employée sous une mult it ude de f ormes, par-là, on ent end l ’ inf luence de la nat ure et les aut res humains sur not re raison et not re volont é ; et comme disait St uart Mille :

"

l’ éducat ion, c’ est ce qu’ on f ait , et

ce que f ont les aut res à not re int ent ion, pour at t eindre un obj ect if sublime

"

(1).

Dès lors que

"

Saadi est en quêt e d’ un monde meilleur,

rempli de bont é et de plaisir, de sincérit é et de vérit é, de clart é et de lumière, cherchant à parvenir à la quiét ude avec des humains"(2), l’ éducat ion de la sociét é humaine const it ue la pierre angulaire de ses concept ions. Il est parmi les int ellect uel s Musulmans qui se servent de la cult ure et les mœurs iraniennes et islamiques, pour composer de précieux ouvrages sur le t hème de l’ éducat ion et de la morale.

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principes chers à l’ aut eur. Les précept es moraux se rencont rent d’ un bout à l’ aut re de son ouvrage. On peut bien dire que pour Saadi, l’ éducat ion se base sur un double principe : 1 - discours moralisat eur, 2 - exemple de la vie des grands hommes (sort réservé aux célébrit és racont é à t ravers les cont es).

Il réunit des concept ions philosophiques et myst iques af in de les présent er sous f orme de précept e dans son ouvrage Gulist an. Il n’ est pas seulement un précept eur moral , il met également en lumière des not ions morales, sociales et didact iques pour les

analyser ensuit e ; il accorde une grande import ance à

l’ éducat ion, laquelle occupe une large place au sein de ses cont es. Il est d’ avis que l’ éducat ion int ellect uell e durant les premières enf ances est t rès import ant e ; l’ éducat ion des enf ant s relève de l a responsabilit é des parent s :

"

quiconque on n’ inst ruit

pas dans son enf ance, une f ois qu’ il est devenu grand, le bonheur se ret ire de lui"(3).

Selon lui l a sant é morale et sociale de l’ enf ant dépend largement d’ une bonne éducat ion de la part de l ’ inst it ut eur, alors ce dernier mérit e des éloges, t out en conseillant aux Mait res de réunir la douceur et la rigueur dans leur démarche(4): "La sévérit é et la douceur réunies sont ce qu’ il y a de mieux. A l’ inst ar du phlébot omist e qui prat ique la saignée et pose l’ emplât re"

.

Dans le cadre de son processus de l’ éducat ion, la f ormat ion et les conseils l’ emport ent sur la punit ion ; aut rement dit on ne peut guère s’ at t endre à des comport ement s humains et convenables de la part de l’ enf ant sans avoir à lui inculquer auparavant les qualit és humaines(5):

"Lorsque le conseil ne sera pas ent ré dans t on oreille, T’ as le désir d’ ent endre des reproches".

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int ellect uelle(6):

"L’ ét of f e dont on recouvre la Qaaba n’ est pas devenue célèbre à cause du ver à soie qui l’ a produit e. Elle a demeuré quelques j ours avec un édif ice illust re, c’ est pourquoi elle a ét é considérée comme lui".

Il accorde une at t ent ion part iculière au milieu et à l’ ent ourage de l ’ homme, selon l’ aut eur, t out cela j oue un rôle non-négligeable sur l’ homme j usqu’ au moment où il pourrait même le dénat urer ; t ouj ours dans le sens du même ordre d’ idées, il avait déclaré dans son Gulist an que la t erre, associée à une f leur, avait bien changé de nat ure, dégageant une sent eur pareille à la sienne(7):

"Un j our, au bain, un morceau d’ argile parf umée t omba des mains de mon amie dans la mienne ;

es-t u muse ou ambre gris ? lui dis-j e ; car j e suis enivré par t on odeur ravissant e,

Je n’ ét ais, me répondit -elle, qu’ une argile sans valeur,

mais j ’ ai demeuré quelque t emps avec la rose, et l e mérit e de ma compagne".

D’ aut re part il a mis l’ accent sur l’ hérédit é et la nat ure humaine, il en f ait allusion dans le cadre de cet t e hist oriet t e. Touj ours dans cet t e œuvre, Saadi cit e les propos rel at és ent re un Roi et son Vizir concernant l a mise à mort d’ un enf ant de bandit(8):

"Il f aut t uer un serpent eau, sinon il f inira par devenir serpent . On ne peut pas l’ élever, enf in il f ut décidé d’ envoyer le pet it escroc chez le vizir af in d’ y êt re éduqué ; alors une f ois maj eur, il assassina le vizir en saccageant t ous ses biens, ensuit e il a pris la f uit e pour aller se j oindre aux brigands, alors le sage Saadi de conclure ainsi : le l ouvet eau f inira par se t ransf ormer en loup, et qu’ un f ils de bandit ne recevra aucune éducat ion".

Cert aines valeurs morales dont Saadi f ait éloge sont les suivant es :

(5)

La qualit é la plus import ant e de Saadi c’ est sa libert é dans la servit ude, ce qui prend ses origines dans ses convict ions religieuses, lesquelles ont j oué un rôle considérable dans la f ormat ion de son caract ère ; le poèt e at t ire l’ at t ent ion du lect eur à ses poèmes et ses proses, à t it re d’ exemple, quelque part dans son œuvre complèt e, l orsqu’ il parle de la modest ie(9): "Sois modest e envers t on prochain, dit -il ,

Seras-t u ainsi digne d’ est ime,

De l’ orgueil ne nait que la pet it esse,

T’ es indigne et mesquin aux yeux des aut res".

On peut en déduire que la dignit é humaine et l’ alt ruisme const it uent les moyens les pl us ef f icaces et les plus sûrs pour arriver à la perf ect ion ; grâce à la modest ie et à l’ humilit é, l’ homme se délivre du monde t errest re, à l’ origine de t ous l es maux, et se croit pl us digne que de se livrer à la vie mondaine.

A t ravers ses poèmes, Saadi f ait l’ éloge de la générosit é, ce qui est à l’ origine de l’ absol ut ion des péchés, un moyen de rachet er les péchés(10):

"Endure les maux qui t e visent ,

Car, par le pardon, t u rachèt eras t es péchés, Oh f rère, puisque la f in de t out sera la t erre, Change-t oi en t erre avant qu’ on ne t ’ ent erre".

Bien que la générosit é est une qualit é, et signe de perf ect ion et de la grandeur humaine, selon Saadi t ous l es humains ne mérit ent pas not re abnégat ion ; al ors il f aut met t re cet t e vert u au service de ce ceux qui la mérit ent réellement ; car une t elle at t it ude empêcherait t out abus de conf iance(11):

"Sois bienveillant , assez pour n’ en pas enhardir le loup aux dent s point ues".

(6)

2. La sobriét é :

"Tout ce qui t ouche à l’ économie, est sans dout e le moyen le plus import ant pour st abiliser une sociét é humaine ; le gain immodéré de bien est derrière t out péché, ce qui pousse les gens à voler

"

(12). C’ est pour cela que l’ aut eur voit dans l a sobriét é et

la f rugalit é le bonheur des hommes ; cert ains passages de Bost ân en sont l ’ il lust re exemple ; il ne s’ agit pas de t out de prendre l a ret rait e ou de s’ isoler dans sa t our d’ ivoire ; mais il est quest ion de f aire f i aux t ent at ions de la chair t out en gardant l a mesure : "Un sage voulut dét ourner son f ils de l ’ amour de gain, convaincu que les gens s’ enhardissent une f ois rassasiés ; et quant au f ils qui rét orque : Père. La f amine sème le ravage parmi la peuplade, n’ aviez-vous pas oui dire : mourir rassasié vaut bien mieux que de crever af f amé ;

Le vieillard lui dit alors :

Faut pas t rop manger qu’ on en régurgit e, Ni aussi peu qu’ on en rende l’ âme"(13). Il cit e une aut re hist oriet t e :

"

Je ne me suis j amais plaint des aléas de la f ort une, sauf une

f ois, j e me rendis, pieds nus, à la f oire ; d’ un coup j ’ ai rencont ré un homme imput é de j ambes, j ’ ai remercié Seigneur sans t arder

"

(14).

3. Respect mut uel ent re parent s-enf ant s :

Le poèt e ne cesse d’ énumérer, dans le cadre de ses cont es, les bienf ait s du respect vis-à-vis des parent s, part iculièrement à l’ âge sénil e ; et il est t rès virul ent envers ceux qui manquent du respect à l eur égard, il en a f ait ment ion à plusieurs reprises dans ses ouvrages. Dans la plupart de ses hist oriet t es, l’ aut eur a mis l’ accent sur place qu’ occupent les mères, l’ import ance de leur gent illesse et leur sensibilit é à f l eur de peau(15):

"Du t emps de ma j eunesse, l orsqu’ il m’ arriva de crier, par maladresse,

(7)

as-t u oublié t on enf ance pour m’ en t enir rigueur ?"

Selon ce poèt e phil osophe, bien que la vieillesse soit associée à la f aiblesse et à la déf aillance, mais c’ est le t emps de l’ expérience. Un vieillard est prévoyant et a les yeux t ournés vers l’ avenir. C’ est pour cela qu’ il reproche à la j eunesse de ne pas f aire grand cas de conseil des vieux, ce point est t ellement import ant que l’ aut eur y consacre ent ièrement un chapit re du Gulist an.

D’ après Saadi il f aut que les parent s gardent const amment cet t e image dans la t êt e que leur comport ement sert de modèl e à leur progénit ure, et ils récol t eront plus t ard le f ruit de leurs présent s ef f ort s consacrés à l’ éducat ion des pet it s ! Le passage suivant en est l ’ illust re exemple, à t ravers cet t e illust rat ion l’ aut eur t ent e de démont rer que la vie ressemble à un miroir qui ref lèt e nos comport ement s :

"

Des années s’ écoulent sur t oi sans que t u passes à côt é du

t ombeau de t on père. Quel bien lui as-t u f ait , af in que t u en at t endes t out aut ant de t on f ils ?"(16)

Alors que du t emps de Saadi, avoir un f ils const it uait une valeur, mais ce qui import e à ses yeux, c’ est de pouvoir prodiguer une éducat ion digne de son nom à ses enf ant s, sans dist inct ion de sexe ; il est d’ avis qu’ il f aut si bien élever l es enf ant s qu’ ils ne j et t ent pas de discrédit sur nous ; cela alors que selon les inst ruct ions religieuses, un enf ant bien-él evé, est un don de Dieu. Il en f it ment ion dans le cadre d’ une hist oriet t e : "Alors qu’ elle ét ait enceint e, une f emme f it vœu d’ avoir un f il s, son vœu se concrét isa, les années passent et l’ enf ant grandit en âge mais pas en vert u, du f ait d’ une mauvaise éducat ion ; il se t ourne vers l’ alcool , dans l’ ét at d’ ébriét é il t ue un homme, et f init par la prison"(17).

4. Pas d’ hypocrisie :

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mat ériels que pour at t irer la sat isf act ion divine, il les croit condamnés à l’ Enf er, j ugeant digne de brul er leur t apis de prière. Touj ours dans ce sens, il voit dans la sincérit é le f act eur le plus import ant du rapprochement à Dieu(18):

"Tu seras cert es admis à l’ enf er,

D’ avoir t rainé en langueur t a prière en public, Si t u emprunt es un aut re Sent ier que celui du Droit , Aut ant qu’ on met t e l e f eu à t on t apis de prière".

D’ ailleurs l’ act e de dévot ion n’ est qu’ un service rendu à l’ humanit é, dont les droit s l’ emport ent sur ceux du Seigneur ; il j uge inut il e les apparences (t apis, chapel et ), inapt es de renouer un lien quelconque avec le Créat eur :

"La dévot ion n’ est que de rendre service aux prochains, et ne se résume pas à de simpl e chapelet , t apis, ou haillon".

5. Une bell e apparence :

Elle est nulle à moins d’ êt re agrément ée d’ une sant é ment ale et d’ une pure réf lexion ; pour le poèt e, la simplicit é est préf érable à la préciosit é et l ’ af f ect at ion ; il f ait l ’ éloge d’ une bonne renommée, privilégiant les brigands aux méchant s dot és d’ une bell e apparence ; il déconseille de se f ier aux simples apparences, au lieu de quoi il f aut chercher la vérit able nat ure des humains(19):

"Le f ort uné est un homme corrompu et moche, recouvert de l’ or,

Mais le derviche est un homme pieux et beau, recouvert de t erre".

6. Educat ion pour combat t re l ’ ignorance :

D’ après les précept es de Saadi, la vraie valeur d’ un homme se j uge par ses connaissances ; c’ est elle qui nous prot ège cont re la superst it ion et l’ ignorance ; pour lui rien ne vaut la connaissance, et l’ ignorance est la pire des choses ; pour illust rer bien ce qu’ on vient d’ af f irmer, on va cit er un cont e de Gulist an(20) :

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vét o lui prescrit la même pot ion que pour ses bêt es. Dès que l e pauvre la déversa dans son œil , il en perdit la vue ; alors il f ut convoqué chez le j uge, lequel décida ainsi : va-t 'en, on ne peut rien lui reprocher, si t u n’ ét ais pas bêt e, t u ne t e serais pas rendu chez le vét érinaire".

2 - Inspiration divine :

La plupart des aut eurs iraniens se sont inspirés, depuis la nuit des t emps, de deux principales sources d’ inspirat ion (à savoir le Coran ainsi que la Tradit ion). Du moment que les paroles divines et les t radit ions prophét iques comport ent de vrais messages de vie, Saadi les a int égrées dans le cadre de ses hist oriet t es pour exhort er ainsi le lect eur à dire la vérit é ; ce qui se rencont re dans la plupart de ses œuvres, il a su avec éloquence exprimer l e message divin sous couvert d’ un poème(21): "Les f ils d’ Adam sont les membres d’ un même corps,

Car dans la créat ion il s sont d’ une seule et même nat ure, Lorsque la f ort une j et t e un membre dans l a douleur, Il ne rest e point de repos aux aut res".

Cet ext rait n’ est qu’ une reprise de l a Tradit ion du Prophèt e selon laquelle :

"

les liens d’ amit ié réciproque parmi des Croyant s c’ est comme l e

corps humain, lorsque l’ un de ses membres se met à souf f rir, les aut res en pât issent"(22).

3 - Conclusion :

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d’ aut re part il se sert des out ils linguist iques comme des expressions courant es, des cont es amusant s, recours f réquent s aux verset s coraniques et la Tradit ion prophét ique ; ce qui a pour ef f et d’ enrichir davant age ces ouvrages en leur assurant la pérennit é.

De par la pénét rat ion de ses idées, et leur impact dans les domaines social et int ellect uel, on peut bien prét endre, à j ust e t it re, que Saadi est l ’ un des pl us éminent s moralisat eurs de l a lit t érat ure persane. L’ obj ect if af f iché de son éducat ion, est de f ormer un homme parf ait , digne représent ant de Dieu sur t erre.

Notes :

1 - Emile Durkheim : La mét hode sociologique, Ed. Paul Brodard, Paris 1895, p. 40.

2 - Gholamhossein Youssef i : Bost ân de Saadi, Ed. Kharazmi, Téhéran 1989, p. 17.

3 - Gholamhossein Youssef i : Gulist an de Saadi, Ed. Kharazmi, Téhéran 1990, V. II, p. 155.

4 - Ibid. , p. 173. 5 - Ibid.

6 - Ibid. , p. 158. 7 - Ibid. , p. 3.

8 - Gholamhossein Youssef i : Bost ân de Saadi. , p. 165. 9 - Gholamhossein Youssef i : Gulist an de Saadi, p. 95. 10 - Ibid. , p. 39.

11 - Ibid.

12 - Taj lil : Précept es moraux dans les t ext es narrat if s, Ed. Universit é Azad Islamique de Dehaghan, 2011, p. 18.

13 - Gholamhossein Youssef i : op. cit . , p. 111.

14 – Hassan Foroughi : Gulist an et Bost ân de Saadi, Ed. Ghos, Téhéran 1998, p. 34.

15 - Gholamhossein Youssef i : op. cit . , p. 152. 16 - Ibid. , p. 151.

(11)

22 - Aliasghar Halabi : Inf luence du Coran et du Hadit h sur lit t érat ure persane, Ed. Asat ir, Téhéran 1996, p. 21.

Pour citer l'article :

 Dr Mahboubeh Fahimkalam : Les visions pédagogiques de Saadi à t ravers Gulist an et Bost ân, Revue Annales du pat rimoine, Universit é de Most aganem, N° 13, 2013, pp. 35 - 45.

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