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comportement énergétique des bâtiments basse consommation

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Academic year: 2023

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114 Figure IV.5 : Effet de la température de fusion du PCM sur le comportement thermique du bâtiment. 127 Figure IV.16 : Effet de la prise en compte du CLO sur la température de sortie des canalisations.

Positionnement de la simulation numérique dans la réduction de

Analyse du cycle de vie des bâtiments

La consommation d'énergie primaire (dans la catégorie « utilisation des ressources naturelles »), qui, en fonction de la quantité d'énergie finale relative 1 Analyse théorique de la réduction de l'impact environnemental des bâtiments 1.1 Analyse du cycle de vie des bâtiments.

Figure I.1 : Contribution des différentes sources d’impact au bilan global (Peuportier 2003)  En  considérant  l’indicateur  GWP100,  on  voit  que  les  matériaux  utilisés  (partie  noire de la 1° barre) y contribuent à hauteur de 4% alors que le chauffa
Figure I.1 : Contribution des différentes sources d’impact au bilan global (Peuportier 2003) En considérant l’indicateur GWP100, on voit que les matériaux utilisés (partie noire de la 1° barre) y contribuent à hauteur de 4% alors que le chauffa

Démarche de réduction de la consommation d’énergie dans le bâtiment

Maîtrise des besoins de chauffage et confort d’été

On peut alors calculer la zone de confort qui s'étend de part et d'autre de la température de confort. 1 Analyse théorique de la réduction de l'impact des bâtiments sur l'environnement 1.3 Maîtrise des besoins de chauffage et du confort d'été.

Figure I.4 : Exemple d’étude de confort sur le diagramme de Givoni (Stephan et al. 2008)  Cette méthode graphique permet de bien se rendre compte de quelques techniques  que  l’on  peut  utiliser  pour  améliorer  le  confort  dans  le  bâtiment
Figure I.4 : Exemple d’étude de confort sur le diagramme de Givoni (Stephan et al. 2008) Cette méthode graphique permet de bien se rendre compte de quelques techniques que l’on peut utiliser pour améliorer le confort dans le bâtiment

Labels certifiant la performance énergétique des bâtiments

  • Exigences des labels
  • Règles de l’art préconisées

Pour éviter que l'air froid ne souffle directement dans la maison en hiver, les deux principaux systèmes utilisés dans les bâtiments basse consommation sont la ventilation double flux et l'échangeur air-sol. Nous avons vu ici à travers les labels quelles sont les règles de l'art qui permettent de concevoir des bâtiments à faible consommation.

Maisons de la plateforme INCAS

Le revêtement intérieur sera en enduit à la chaux pour profiter de l'inertie des murs. La première maison sera équipée de menuiseries PVC tandis que la seconde sera en bois.

Figure I.7 : Plan de l’intérieur des maisons (Philippe Bouche Architecte)
Figure I.7 : Plan de l’intérieur des maisons (Philippe Bouche Architecte)

Conclusion

La simulation au service de la théorie et des règles de l’art

Dans le cas 1, des hottes sont placées au dessus des fenêtres de la façade sud, et on voit que ce dispositif permet de baisser la température intérieure de quelques degrés tout en restant à des niveaux très élevés. Enfin, dans le cas 3, on voit qu'en ajoutant une surventilation nocturne on peut atteindre des niveaux de température dans la zone de confort.

Retour d’expérience et comparaison inter logiciels

Ces logiciels sont très différents les uns des autres de par leur architecture, leur niveau de granularité et les modèles qui y sont implémentés (voir paragraphe 1.2.2 du Chapitre II), cependant, on peut voir sur la Figure I.1 que leurs résultats de simulation de les besoins en chauffage sont très proches. Au vu du retour d'expérience et de cette comparaison entre logiciels, on peut donc considérer que les résultats des outils de simulation actuels concernant les besoins de chauffage conventionnels d'une maison basse consommation sont cohérents et correspondent à la moyenne de la consommation énergétique finale enregistrée expérimentalement. .

Figure I.10 : Validation expérimentale du logiciel P HPP  (Feist 2006)
Figure I.10 : Validation expérimentale du logiciel P HPP (Feist 2006)

Simulation du comportement énergétique des bâtiments basse

Besoins en terme de simulation des bâtiments basse consommation

En effet, il est nécessaire de disposer d'outils simples pour pouvoir prendre rapidement des décisions prudentes dès l'esquisse, indispensables pour ne pas se retrouver avec une proposition qui sera ensuite difficile à rendre effective. C'est un point très important, car actuellement l'exploitation intelligente d'un suivi expérimental direct et précis du bâtiment est impossible, ce qui signifie que l'utilisateur ne peut à aucun moment savoir s'il existe des écarts dans le comportement énergétique du bâtiment. Bâtiment.

Environnements de simulation existants

  • Architecture logicielle des environnements de simulation
  • Classification en terme d’usage des outils existants

Il doit être clair que ce n’est pas parce qu’un environnement de simulation est basé sur un langage de programmation objet qu’il sera lui-même orienté objet. Les environnements de simulation basés sur des systèmes d'équations permettent d'éviter le problème de sens de résolution inhérent aux environnements modulaires.

Tableau II.2 : Caractéristiques, avantages et inconvénients  des environnements de simulation modulaires
Tableau II.2 : Caractéristiques, avantages et inconvénients des environnements de simulation modulaires

Choix d’un environnement de simulation

Parmi les environnements basés sur les systèmes d'équations dont nous disposons, nous avons donc étudié trois possibilités : DYMOLA / MODELICA avec la bibliothèque ATPLUS, IDA-ICE basé sur l'environnement IDA et SIMSPARK basé sur l'environnement SPARK. Il s'appuie sur l'environnement SPARK, que nous verrons dans un premier temps en détail, puis décrirons celui de SIMSPARK dans une seconde partie.

  • Description d’une simulation dans S PARK
  • Principales propriétés de S PARK

Nous pouvons définir la fonction de classe atomique associée à cette formule de la manière suivante. Prenons l'exemple de la résolution d'un problème de transfert de chaleur à travers une paroi en régime permanent (en ignorant le rayonnement pour simplifier la présentation).

Tableau II.4 : Coefficients de la formule empirique de McAdams
Tableau II.4 : Coefficients de la formule empirique de McAdams

S IM S PARK : Simulation des bâtiments dans S PARK

  • Structure de la bibliothèque de S IM S PARK
  • Evolution de la plateforme S IM S PARK

Dans le chapitre précédent, nous avons mis en évidence les besoins en termes d'environnement de simulation pour les bâtiments basse consommation, ce qui a conduit au choix de l'environnement SIMSPARK pour réaliser ces travaux. Dans ce chapitre, nous présenterons les modèles développés dans le cadre de ces travaux afin de mettre en évidence l'intérêt de l'environnement de simulation utilisé.

Figure II.3 : Structure de la bibliothèque de S IM S PARK
Figure II.3 : Structure de la bibliothèque de S IM S PARK

Matériaux à changement de phase dans le bâtiment

Les modèles seront intégrés dans une modélisation globale du bâtiment dans le chapitre suivant, où nous présentons les résultats de simulation les plus importants. Les matériaux à changement de phase font partie des technologies de rupture que l’on souhaite aujourd’hui intégrer dans les bâtiments.

Modèle utilisé

Dans chacun des disques, la conductivité et la chaleur spécifique sont considérées comme uniformes et variables avec la température, donc dans le temps, selon les équations (III.1) et (III.2). Les légers écarts que l'on peut observer sur la valeur atteinte en régime permanent par rapport aux courbes présentées dans la figure III.2 sont dus au fait que l'auteur a considéré dans ses simulations une valeur de conductivité du matériau à changement de phase qui ne fait pas de différence fonction de la température (constante égale à 0,2 W/(m.K)).

Figure III.1 : Modèles expérimental et analytique de   la capacité calorifique du MCP (Kuznik et al
Figure III.1 : Modèles expérimental et analytique de la capacité calorifique du MCP (Kuznik et al

Utilisation du modèle

Sur la figure III.5, pour laquelle la température extérieure varie entre 10 et 25 °C, en regardant la courbe inférieure représentant la capacité thermique, on constate que le matériau n'a pas le temps de se liquéfier complètement et qu'à la 25ème heure sa température redescend. . sans atteindre l'état liquide. Sur la figure III.7, on voit cependant que la température MCP passe de part et d'autre de la température de fusion avec une amplitude suffisante pour passer de l'état solide à l'état liquide deux fois par jour.

Figure III.4 : Sollicitation sur la plaque de MCP
Figure III.4 : Sollicitation sur la plaque de MCP

Conclusion

Pour considérer la partie du spectre solaire de courte longueur d'onde qui atteint la Terre, elle est généralement considérée comme indépendante de la température de la surface qu'elle atteint, car les changements de température de cette surface sont faibles par rapport à la différence entre cette température et la température ambiante. température du soleil. . Il est donc traité comme un flux dont l'intensité est donnée par les fichiers météorologiques sous forme d'éclairement direct horizontal (ED,h) et d'éclairement diffus horizontal (Ed,h).

Rayonnement CLO arrivant sur l’enveloppe extérieure

Les formules utilisées pour les calculer reposent sur l'hypothèse d'un mouvement circulaire de la Terre sur le plan équatorial du Soleil. En effet, les formules de la littérature reflètent une évolution qui ne varie que de jour en jour.

Figure III.8 : Angles relatifs au soleil et à la position de la façade
Figure III.8 : Angles relatifs au soleil et à la position de la façade

Prise en compte de la tache solaire dans une pièce

  • Etat de l’art
  • Calcul de la position et de la surface de la tache solaire
  • Prise en compte de la tache solaire dans la simulation thermique
  • Discussion sur le choix du modèle

Il existe plusieurs méthodes pour calculer la surface des taches solaires sur les murs intérieurs d'une pièce. 2 Etude du rayonnement de courte longueur d'onde (CLO) 2.2 Considération de la tache solaire dans l'espace.

figure III.9 : Réduction de la section efficace de la fenêtre   due à l’épaisseur de la paroi (tiré de Serres 1997)
figure III.9 : Réduction de la section efficace de la fenêtre due à l’épaisseur de la paroi (tiré de Serres 1997)

Etat de l’art des modèles d’échangeurs air-sol

  • Modèles analytiques
  • Modèles numériques

3 Modélisation d'un échangeur air-sol (puits canadien) par la méthode convolutive des facteurs de réponse. 3 Modélisation d'un échangeur air-sol (puits canadien) par la méthode convolutive des facteurs de réponse.

Figure III.14 : Superposition de deux processus thermiques élémentaires  pour la résolution du problème de tube enterré (Soontornchainacksaeng 1993)
Figure III.14 : Superposition de deux processus thermiques élémentaires pour la résolution du problème de tube enterré (Soontornchainacksaeng 1993)

Description du modèle développé

  • Bilan des flux en surface du tube sur une tranche
  • Bilan des flux en surface du sol sur une tranche
  • Evaluation du flux conductif par la méthode des facteurs de réponse
  • Bilan le long du tube de l’échangeur air-sol
  • Choix des paramètres de réglage du calcul

L'admission De même, la réécriture de l'équation (III.39) nous donne l'expression du flux qui pénètre dans la surface du sol.

Figure III.15 : Discrétisation de l’échangeur air-sol
Figure III.15 : Discrétisation de l’échangeur air-sol

Comparaison du modèle développé à un modèle analytique

Ceci montre que la profondeur de pénétration « δ » correspondant à la réduction de 63% de l'amplitude d'un signal sinusoïdal de période « p » peut être valablement estimée par une relation issue d'un raisonnement en conduction plane (formule (III.58)). En revanche, la profondeur de pénétration calculée (2,85 m) pour une période d'un an est supérieure à la distance entre la conduite et le sol, ce qui signifie que ce modèle analytique ne permet pas de prendre en compte correctement la réponse aux signaux avec une amplitude annuelle, et on retrouve donc une différence significative entre les deux modèles.

Figure III.27 : Comparaison des températures de sortie du tube  avec un modèle analytique pour une sollicitation de période 1 an
Figure III.27 : Comparaison des températures de sortie du tube avec un modèle analytique pour une sollicitation de période 1 an

Discussion sur le modèle de l’échangeur air-sol

  • Intérêts du modèle
  • Perspectives d’évolution du modèle
  • Discussion sur le choix du modèle

3 Modélisation d'un échangeur air-sol (puits canadien) par la méthode convolutive des facteurs de réponse 3.4 Discussion sur le modèle de l'échangeur air-sol. Chaque facteur de réponse est calculé à partir d'un logiciel qui résout l'équation thermique par éléments finis.

Figure III.29 : Cas d’un échangeur air-sol avec deux tubes
Figure III.29 : Cas d’un échangeur air-sol avec deux tubes

Intégration des modèles pour l’évaluation des bâtiments basse

Intégration des MCP au bâtiment

Sur la figure IV.2, la partie supérieure représente, dans les trois cas, l'évolution de la température intérieure au sol qui reste dans la zone de confort matérialisée par les deux courbes en trait continu plein. La dernière ligne souligne l’effet quasi nul de l’installation de panneaux PCM sur les besoins de chauffage.

Figure IV.1 : Evolution de la puissance de chauffage à l’étage
Figure IV.1 : Evolution de la puissance de chauffage à l’étage

Choix de la température de fusion du MCP

La figure IV.4 montre la variation de la capacité thermique en fonction de la température du PCM dans différents cas. Nous voyons que changer l’équation ne provoque qu’un déplacement de la courbe d’origine le long de l’axe des températures.

Figure IV.5 : Effet de la température de fusion du MCP  sur le comportement thermique du bâtiment
Figure IV.5 : Effet de la température de fusion du MCP sur le comportement thermique du bâtiment

Evolution annuelle de la tache solaire sur les parois d’une pièce

En faisant la moyenne des flux arrivant sur chaque paroi pour chaque jour, on peut obtenir la répartition moyenne de la tache solaire sur toute l'année. 2 Inertie et tache solaire 2.1 Evolution annuelle de la tache solaire sur les murs d'une pièce.

Figure IV.7.a : 1° jour du printemps   (20 mars)
Figure IV.7.a : 1° jour du printemps (20 mars)

Tache solaire et comportement thermique du bâtiment

Le tableau IV.3 présente les différences entre les besoins de chauffage dans les différents cas considérés pour un bâtiment à forte inertie. Nous sommes conscients que la différence entre les besoins de chauffage avec et sans prise en compte de la position de la tache solaire peut atteindre 8,5%.

Figure IV.10 : Puissance de chauffage dans la pièce du rez-de-chaussée, bâtiment en béton
Figure IV.10 : Puissance de chauffage dans la pièce du rez-de-chaussée, bâtiment en béton

Rayonnement CLO et échangeur air / sol

Avant cela, nous voulions savoir quelle influence le rayonnement solaire avait sur le comportement de l'échangeur air-sol. 3 Couplage échangeur air-sol avec bâtiment basse consommation 3.1 Rayonnement CLO et échangeur air/sol.

Figure IV.15.a : Tube à 60 cm, été  Figure IV.15.b : Tube à 2 m, été
Figure IV.15.a : Tube à 60 cm, été Figure IV.15.b : Tube à 2 m, été

Echangeur air-sol et ventilation double flux

C'est pourquoi nous essayons ici de comparer l'effet de l'échangeur air-sol et celui de la ventilation double flux sur le comportement du bâtiment. On voit donc que dans le cas étudié, la ventilation double flux semble plus efficace que l'échangeur air-sol pour réduire les besoins de chauffage de la maison.

Figure IV.17 : By-pass sur l’échangeur air-sol et sur la ventilation double flux
Figure IV.17 : By-pass sur l’échangeur air-sol et sur la ventilation double flux

Inversion d’un modèle de paroi à changement de phase

Par conséquent, nous utilisons les valeurs de la fonction dans le pas de temps de simulation et dans les deux pas de temps précédents pour évaluer la dérivée de la fonction. Nous utilisons la formule de Taylor pour le lien entre la valeur de la dérivée de la fonction au pas de temps i et les valeurs de la fonction aux temps i, i-1 et i-2 (voir formules (IV.3) et (IV .4)).

Figure IV.21 : Evolution de la capacité calorifique dans une tranche au cours du temps  La  figure  IV.21  qui  représente  l’évolution  de  la  capacité  calorifique  au  cours  du  temps montre que le calcul pose des problèmes aux moments où la températu
Figure IV.21 : Evolution de la capacité calorifique dans une tranche au cours du temps La figure IV.21 qui représente l’évolution de la capacité calorifique au cours du temps montre que le calcul pose des problèmes aux moments où la températu

Inversion d’un modèle complet de bâtiment

On constate que, durant l'hiver, sans surventilation, le taux de renouvellement d'air constaté par la méthode inverse est très proche du taux réellement imposé. Nous avons également montré qu'il était possible de calculer le taux de renouvellement de l'air dans un bâtiment en mesurant sa température intérieure ainsi que la puissance de chauffage nécessaire pour répondre à ses besoins de chauffage.

Figure IV.24 : Comparaison du taux de renouvellement d’air imposé  et de celui trouvé par méthode inverse en été (avec surventilation nocturne)
Figure IV.24 : Comparaison du taux de renouvellement d’air imposé et de celui trouvé par méthode inverse en été (avec surventilation nocturne)

Définition de l’efficacité solaire d’un bâtiment

Nous avons vu que pour caractériser le comportement énergétique d'un bâtiment on utilise souvent comme critères sa demande de chauffage, sa demande de refroidissement ou encore sa consommation totale d'énergie primaire. C'est à partir de ce constat que nous avons défini la notion d'efficacité énergétique solaire dans un bâtiment.

Méthode de calcul de l’efficacité solaire

La simulation avec soleil donne naturellement moins de puissance de chauffage que sans soleil, le rendement doit donc être positif. Dans le cas 5, la puissance demandée est négative dans la simulation avec soleil (refroidissement), alors que sans soleil il n'y aurait pas besoin de refroidissement (puissance nulle), le rendement solaire est alors considéré comme négatif.

Figure IV.25 : Cas de figure possibles pour le calcul de l’efficacité solaire passive  Sur la figure IV.25, on peut voir que dans le premier cas, la puissance demandée  est positive avec ou sans soleil
Figure IV.25 : Cas de figure possibles pour le calcul de l’efficacité solaire passive Sur la figure IV.25, on peut voir que dans le premier cas, la puissance demandée est positive avec ou sans soleil

Etude de cas : maison individuelle de la plateforme INCAS

Le calcul du rendement solaire de la maison est réalisé en tenant compte de la météorologie de Chambéry. Le tableau IV.10 présente les résultats du calcul du rendement énergétique solaire passif de l'habitation selon la période considérée.

Tableau IV.9 : Répartition du flux solaire à la surface d’une maison de la plateforme INCAS  Premièrement, on peut constater que l’énergie totale reçue par le bâtiment pendant  la période hivernale qui correspond à la période de chauffe est de plus de 30 0
Tableau IV.9 : Répartition du flux solaire à la surface d’une maison de la plateforme INCAS Premièrement, on peut constater que l’énergie totale reçue par le bâtiment pendant la période hivernale qui correspond à la période de chauffe est de plus de 30 0

Modèles de base des transferts de chaleur dans S IM S PARK

Formules utilisées pour le calcul de la surface de la tache solaire

Imagem

Figure I.6 : Vue 3D de la géométrie d’une maison de la   plateforme INCAS (Philippe Bouche Architecte)
Figure I.8 : Effet des dispositifs adoptés sur la température intérieure en été
Figure I.9 : Suivi expérimental des consommations de chauffage  de 32 maisons passives à Hanovre (énergie finale) (Feist 2006)
Figure I.11 : Comparaison des besoins de chauffage   d’une maison simulés par plusieurs logiciels
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Referências

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Meu histórico eu fui muito bem assim, há uns quatro semestres atrás assim, eu corria de todas essas disciplinas, eu não aguento mais esse negócio de discutir, de sentar