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HAL Id: jpa-00233824

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HAL Id: jpa-00233824

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00233824

Submitted on 1 Jan 1943

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Diffusion cristalline des rayons X par l’agitation thermique des atomes

Jean Laval

To cite this version:

Jean Laval. Diffusion cristalline des rayons X par l’agitation thermique des atomes. J. Phys. Radium,

1943, 4 (1), pp.1-12. �10.1051/jphysrad:01943004010100�. �jpa-00233824�

(2)

LE JOURNAL DE PHYSIQUE

ET

LE RADIUM

DIFFUSION CRISTALLINE DES RAYONS X PAR L’AGITATION

THERMIQUE

DES ATOMES Par JEAN LAVAL.

Laboratoire de

Minéralogie

de la Faculté des Sciences de Paris.

Sommaire. - Lorsque les conditions de la réflexion sélective ne sont plus remplies, un cristal diffuse

encore notablement les rayons X. Cette diffusion varie avec la température : elle est due à l’agitation thermique des atomes. On la représente avec simplicité dans le réseau polaire par des surfaces d’iso- diffusion. Les rayons X se réfléchissent sélectivement, en changeant de fréquence, sur les plans d’onde élastique. Aussi, le pouvoir diffusant dépend seulement des ondes élastiques qui se prêtent à la réflexion sélective. Elles sont en petit nombre : 6 g s’il y a g atomes dans la maille élémentaire. Le pouvoir diffusant permet d’atteindre les vitesses des ondes acoustiques et les coefficients d’élasticité.

SftiB YIII. - TOME IV. No 1. JANVIER 19~3.

1

Étude expérimentale.

1. Un cristal diffusée notablement les rayons X même

lorsque

les conditions de la réflexion sélective ne sont

plus remplies.

- Soit un cristal

qui

réfléchit sélectivement un faisceau SI

(fiv. 1)

de rayons X

parallèles, monochromatiques,

sur des

plans

réticulaires P

séparés

par ~un intervalle d.

Les rayons incidents et réfléchis satisfont à la condi- tion de

Descartes; l’angle

de rencontre 0

(1)

vérifie

la relation de

Bragg

2 d S 1 n e = ni,,

n est un

entier, 1,

la

longueur

d’onde des rayons X incidents. Le faisceau réfléchi IR entre dans une

chambre d’ionisation C. Faisons tourner le cristal d’un

angle ~ petit, égal

à

quelques degrés,

autour

d’une normale au

plan SIR,

de telle sorte que la chambre

d’ionisation, immobile,

ne

puisse

admettre

que des rayons diffusés faisant avec les rayons

, la

incidents un

angle

S’IR

égal

à 26. Les conditions de la réflexion sélective n’existent

plus

sur les

plans

P.

On

pourrait

penser que le

rayonnement

reçu dans la chambre d’ionisation est formé exclusivement des radiations

rejetées

par l’effet

Compton,

et conclure

(1) Complément de l’angle d’incidence.

de là

qu’il

est infime. Même si le cristal est pur, même s’il a un réseau

régulier,

ce

rayonnement

est

notable, incomparablement plus

intense que le flux

Fig. ~ .

des radiations

provenant

de l’effet

Compton.

Son

intensité décroît vite

quand augmente.

La courbe

de la

figure

2 décrit la variation de l’intensité. Elle

concerne la

sylvine [i].

Le cristal est d’abord orienté

de

façon à

réfléchir

sélectivement,

en deuxième

ordre,

sur des

plans

de

clivage,

un faisceau SI

( fig. 1)

de radia-

tions

Kx

émises par le

molybdène (1, == 0,708-~712 A;

0 =

13°,3’).

La chambre d’ionisation C est

disposée

pour recevoir le faisceau réfléchi IR. Puis le cristal

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01943004010100

(3)

tourne autour d’une normale au

plan

SIR

qui

est

parallèle

à un

plan

110.

L’abscisse §

mesure la rota-

tion,

l’ordonnée 1 l’intensité du

rayonnement

diffusé

Fig, 2.

qui pénètre

dans la chambre d’ionisation. Cette

intensité, rapportée

à un

électron,

est évaluée en

prenant

comme unité l’intensité de la radiation

qui

serait

diffusée,

au même

point,

par un électron

libre,

situé à la même

place

dans le même faisceau

incident. Définie de cette

manière,

l’intensité mesure

le

pouvoir

diffusant

(2).

Ainsi, lorsque

les conditions de la

réflexion

sélective

ne sont

plus remplies,

un cristal

diffuse

encore nota-

blement les rayons X. Cette diffusion varie avec la

température [2~.

Elle est

produite

par

l’agitation thermique

des atomes. Outre l’effet

Compton,

les

impuretés,

les

irrégularités

du réseau

cristallin,

les couches de passage, tout ce

qui perturbe

la

structure

périodique

du cristal provoque la diffusion des rayons X.

Le

sujet

de ce mémoire est restreint à la diffusion

qui

relève de

l’agitation thermique.

C’est celle que

produit

un

spath

l’Islande ou un cristal de

sylvine

pure,

qui

est une

mosaïque

mais dont tous les

grains

sont

parfaits.

(à) Le pouvoir diffusant de l’efiet Compton est toujours inférieur à 1.

2.

Représentation

de la diffusion dans le

réseau

polaire :

-. surfaces d’isodifiusion. - Pour

se faire une

image simple

du

phénomène,

il convient

de faire

appel

au réseau

polaire.

C’est un réseau

construit avec trois translations

Lj, L2, L3,

réci-

proques des translations élémentaires

11, 1,, 13,

du

réseau cristallin

Partons d’un nceud du réseau

polaire, pris

comme

origine.

Nous

atteignons

un autre noeud M par

une translation

M = Mi Li + M*3Li =- n(P 1 Lj + P~L~+ P3L3~;

n est

un]entier; Pi, Pg, P 3

sont

premiers

entre eux,

et

Mi

= n Pi. Les

rangées

du réseau

polaire, parallèles

à la translation

M, portent

des noeuds

séparés

par

l’intervalle 1 P1L1 + P,L,

+

P3L3 ~.

Elles sont nor-

males aux

plans

du réseau cristallin

équidistants

de

III Pl LI + P2L2 + PsLs 1.

Ces

rangées

et ces

plans

ont pour notation

~P~! P2, ~’9~~

Menons,

dans la direction et le sens du faisceau

-+

incident,

un vecteur

10 (fig. 3),

de

longueur égale

Pig. 3.

à~ ~ ~

l’extrémité située sur

l’origine

0 du réseau

polaire;

t

puis

dans la direction et le sens du faisceau diffusé

- -+

un vecteur ID de la même

longueur.

Le vecteur OD

sera

appelé

vecteur de

diffusion,

son extrémité D

pôle

de

diffusion

et

l’angle

OID

angle

de Nous poserons

en sorte que

Soient A et B deux

points qui

diffusent des

rayons X

parallèles

suivant des

direction parallèles.

L’onde

(4)

diffusées

par B

est en avance de

phase

sur l’onde

diffusée par A de

-

Si les vecteurs X et AB sont

orthogonaux :

il-ri --_ o.

Supposons

le

pôle

de diffusion sur un naeud M

qui

a pour

coordonnées nP1 n P 2’ n Pa:

Le vecteur de diffusion est normal aux

plans Pi, PI, Ps

du cristal. L’accord de

phase

existe :

I ~ Entre les ondes diffractées par tous les électrons situés dans un

plan (Pl’ P2, p 3) ;

Fig. 4.

Entre les ondes

provenant

de deux

plans (Pi, P2’ P,)

consécutifs car,

d’après

la formule

(3),

les

phases

de telles ondes diffèrent de

Les rayons X se réfléchissent donc

sélectivement,

en nlème

ordre,

sur les

plans (P1, P2, P,).

La diffusion

est maxima.

Si le

pôle

de diffusion D

3)

se

déplace depuis

le noeud

M,

sur une droite

ML,

la diffusion décroît à mesure que la distance MD

augmente.

Son intensité ]varie à peu

près

comme

1 - tant

2 que la

longueur

MD

reste

petite

devant la

plus

faible distance

qui sépare

deux noeuds du réseau

polaire.

Afin de voir aisément comment le

pouvoir

diffu-

sant varie

quand

le

pôle

de diffusion se

déplace,

on trace des surfaces d’isoctiffusion

[3].

Si le

pôle

de diffusion

parcourt

une de ces

surfaces,

le

pouvoir

diffusant reste constant. Une surface d’isodiffusion est fermée. Elle entoure un seul noeud du réseau

polaire

ou n’en renferme aucun, Dans le

premier

cas, elle ressemble à la surface d’une lentille bicon-

vexe

( fig. 4)

dont l’axe coïnciderait avec la

rangée OM,

celle

qui

passe par le noeud M situé à l’intérieur de la surface et

l’origine

0 du réseau

polaire.

Les surfaces d’isodiffusion

qui

entourent un même noeud s’em- boîtent les unes dans les autres. Si le

pôle

de diffusion

va de l’une d’elles

A, à

une autre

B, circonscrite,

le

pouvoir

diffusant diminue. La

figure 4

se

rapporte

au

rayonnement

diffusé par la

sylvine,

Elle

reproduit

une

section,

par un

plan 011,

des surfaces d’isodiffu- sion

qui

entourent le noeud 400. Sur ces surfaces le

pouvoir

diffusant

prend respectivement

les valeurs

I~, 8, 5 et 3.

Il Théorie.

La diffusion cristalline des

rayons X

par

l’agitation thermique

des atomes a fait

l’objet

de nombreux travaux

théoriques [4].

Je

reprends ici,

sous une

forme

plus simple,

la théorie que

j’ai développée

dans le

mémoire,

intitulé « Diffusion des rayons X par les

cristaux »,

paru dans le Bulletin

française

de

Minéralogie, 64, 1941.

La lumière

qui

traverse un cristal est diffusée

par

l’agitation thermique

avec

changement

de fré-

quence. C’est l’effet Raman.

L’agitation thermique produit

le même effet sur les rayons X. J’ai défini le vecteur de diffusion en

supposant

la radiation

diffusée de même

fréquence

que la radiation inci-

dente. Pour que la relation

(3)

reste

applicable

à

la diffusion

qui

se fait avec

changement

de

fréquence,

il faut définir le vecteur de diffusion d’une

façon plus générale,

à savoir :

u et u’

représentent

deux vecteurs

unitaires,

le

premier

est

dirigé

suivant les rayons incidents de

longueur

d’onde

~,

le second suivant les rayons diffusés de

longueur

d’onde A‘. Il en résulte que

1

- . , -

et, X et 1. restant constants, cp varie avec À’.

1.

Décomposition

de

l’agitation thermique

en

ondes libres. - Les atomes d’un cristal sont en

contact. Ils n’oscillent pas

indépendamment

les

uns des autres.

L’agitation thermique

d’un

cristal,

construit avec N atomes,

peut

être résolue en 3 N ondes libres

qui

vont par deux

opposées,

suivant

la même direction en sens

inverses,

avec des

élonga-

tions

parallèles,

la même

longueur

d’onde et la

même

fréquence [5].

Prenons un noeud du réseau

(5)

cristallin comme

origine.

La

position

moyenne d’un atome se définit par deux translations :

La

première

amène

l’origine

sur un sommet de la

maille

qui

contient

l’atome;

la seconde fait passer

ce sommet sur la

position

moyenne de l’atome

Des translations

j, j’, j ", qui partent

toutes du même sommet, définissent de la sorte les

positions

moyennes

des atomes dans la maille. Une onde libre oc est consti- tuée par les oscillations :

D’ordinaire les atomes du motif cristallin

(3) échangent

des liaisons

inégales :

1)ja, 1)j’B/., ... diffèrent. Mais les écarts ~;« - ~;~«, - 1)[’B/.". restent constants et

ceux

qui

concernent les mêmes atomes situés en

positions j

et

j’,

et deux ondes

opposées oc

et

oc’,

sont eux-mêmes

opposés

L’atome situé à l’extrémité du vecteur

~m

-~-

j)

effectue le mouvement

2.

Analyse

des

rayons X

diffusés. - Soit un

cristal,

pur, de réseau

régulier, qui

n’absorbe et

ne

disperse qu’une

fraction infime de la radiation incidente. Le

rayonnement diffusé, qui

ne ressort

pas à l’effet

Compton,

a comme

élongation [for-

mule

(3)1

La

première

somme s’étend à toutes les

mailles,

la seconde à tous les atomes du motif cristallin.

L’atome en

position j

a pour facteur de structure

fi (4);

v est la

fréquence

de la radiation

incidente, z l’ampli-

tude de l’onde

qui

serait diffusée par un électron libre. Entre la

fréquence

des rayons X diffusés (1) Ensemble des atomes contenus dans la même maille.

(4) Le facteur de structure

Il

se rapporte au vecteur de

diffusion X.

et celle des

rayons X incidents,

la différence atteint tout au

plus quelques

cent-millièmes. On

peut

donc

calculer £, sans erreur

sensible,

par la formule de J. J. Thomson

r est la distance de l’électron diffuseur au

point d’observation;

A et B sont les

composantes

du

champ électrique incident,

la

première

normale au

plan

de diffusion OID

( fig. 3),

la seconde contenue dans

ce

plan;

2 p mesure

l’angle

de diffusion moyen, celui

qui

se

rapporte

à la diffusion sans

changement

de

fréquence [formule (2)]

Posons

et

désignons

par Jn la fonction de Bessel d’ordre n

nous obtenons

Grâce à cette relation

l’élongation

du

rayonnement

diff usé se

développe

en série.

Chaque

terme

représente

une radiation

monochromatique.

On trouve :

1 ~ Une radiation fondamentale

qui

a la

fréquence

des rayons incidents

20 Des radiations dues à

l’agitation thermique qui

ont des

fréquences

différentes :

p, q, r étant entiers.

Leur forme

générale

est

(6)

et

Le

produit EFpa, qB, ...,,.rw,mesurel’amplitude

del’onde

diffusée par un motif cristallin. La radiation est dite d’ordre n. Si elle se propage dans le cristal avec

un indice de réfraction x, sa

longueur

d’onde

s’exprime :

et, en

posant

il vient

Pour un cristal édifié avec N atomes, on

compte

6 N radiations du

premier

ordre :

3 N de

fréquence

accrue

(ou positives),

autant de

fréquence

diminuée

(ou négatives),

avec

et

Les radiations d’ordre deux

proviennent

les unes

d’une seule onde

élastique

Les nombres des

premières

est 6

N,

celui des secondes 6 N

(3 N -1 ).

Les radiations du troisième ordre

prennent

trois formes différentes suivant

qu’elles

sont diffusées par une, deux ou trois ondes

élastiques.

Et ainsi de suite.

3.

Interprétation quantique.

-

L’énergie

de

toute onde

élastique

est

quantifiée.

L’onde a absorbe un

photon incident,

émet un

photon

« diffusé », et

perd

ou gagne dans cette réaction des

quanta

«

élastiques

Il s’ensuit le

changement

de

fréquence

trouvé. Les

photons

diffusés

ayant

les

énergies

h

(v

-!-

va)

forment les radiations du

premier ordre,

ceux

qui

ont les

énergies h (v

-!--

v~),

les radiations du second

ordre,

etc. La

perte

ou

le

gain

de n

quanta

par une même onde

élastique s’exprime

par une fonction de Bessel d’ordre n.

Les radiations

représentées

par des formules

figurent

des fonctions de Bessel dont l’ordre est

supérieur

à i forment une

proportion

infime du

rayonnement diffusé,

tandis que les radiations d’ordre

2 et 3 y entrent en

proportion

notable.

Ainsi,

l’onde

élastique perdrait

ou

gagnerait

presque

toujours

un seul

quantum;

par contre le

photon

diffusé serait

rejeté

souvent par

deux, parfois

par trois ondes

élastiques

différentes.

Les ondes

élastiques

sont incohérentes. Les radiations

qu’elles

diffusent ont la même

propriété [formule (8)].

Ce sont leurs intensités

qui s’ajoutent.

4.

Propriété particulière

des ondes

élastiques

dans les cristaux. - Posons

- a ...

Les oscillations oc des atomes en

position j [formule (4)]

s’expriment :

Ajoutons

une translation M du réseau

polaire

au

vecteur de

propagations S,.

Les oscillations ne sont pas altérées :

car le

produit Mm

est entier

[formule (1)].

Le vecteur

de

propagation

est déterminé seulement à une trans-

lation M du réseau

polaire près :

une même vibration

se résout en

plans

d’onde

différents qui

ont comme

vecteurs de

propagation (S., + M)

comme intervalles

(7)

C’est une

conséquence

de la structure

réticulaire. On le voit sur la

figure

5 où les

plans

Fig. 5.

d’onde

fi’

et Il,,,,

distincts,

concernent lâ

même vibration.

Lég

points représentent

lès

positions

moyennes dés atomes;

le

nombre

înscrit

à

côté

d’un point donné phase

Vibration effectuée par l’atome

situé en cè

point.

5. Zones et vecteurs de

propagation

foüdâ-

mentaux. 2013

Menons, depuis l’origine Ô

du féseàu

polaire,

tous les vecteurs de

propagation

La zone

(M,, M2, Ma)

est le lieu où se trouvent les

point~

~~; &,3, nous dirons les

point8,4) plus près

du

noeud

(M,, M2, que dé

tous

les

dutres

C’est un

polyèdre

centré sur le noeud

(M,, M2, M,).

Ses faces

passent

à

égale

distance entre ce noeud

et les noeuds voisins. Les vecteurs

Sx, qui

vont

de

son centre aux

points s qu’elle contient,

sont

les vecteurs de

propagation fondamentaux.

Supposons g

atonies dans maille élémentaire.

Chaque

vecteur de

propagation,

fondamental ou

autre,

est

commun

à M g vibrations r 6] : 3

sont

acousllqúes

ou

lenies, 3 (g

-

r) optiques

ou

rúpides.

Considérons les vibrations dont les vecteurs

de

propagation

fondamentaux ont tous la même direc- tion et le même sens. Si le vecteur de

propagation

fondamental S

( f g. 6)

est

petit

devant le rayon dé la zone

qui

lui est

parallèle,

les

vibrations tiqués

dépècent

avec une vitesse constance,

éell-è

dès ondes sonores; leur

fréquence

ë’âhnule

àveê g (courbe OA).

Au Contraire

quand S

tend iéré

fréquence

des

vibrations rapides

iegte

A la

limite,

pour S

nul,

elle passe par un maximum

(courbe LR)

ou par un minimum

(courbe L’ R‘).

Le

pouvoir

diffusant ne varie de

façon

sensible

ni avec la forme du cristal ni avec les conditions aux limites. Prenons un cristal semblable à sa maille

élémentaire, portant

n noeuds sur

chaque

arête.

Adoptons

sur sès faces lés cônditions

cycliques [7],

c’est-à-dire considérons-le comme un élément d’un cristal illimité les oscillations se

répètent

avec

les

périodes n%, n4,

Les vecteurs de

propagation

fondamentaux se formulent =

Fig. 6.

6. Réflexion

sélective

des rayons X sur les

plans

d’onde

élastique.

-- A.

Supposons

le

pêle

de

diffusion

sur un

point

sa :

I ° Le lecteur

dé dlitusiôn 1t

égt

normal

aUX

plans

d’onde

élastique TIC* équidistants

de

1/

Sx -~- ~

M.

Les ondes

électromagnétiques

diffraétées par les électrons contenus dans un de ces

plans

sont en

accord de

phase.

Les ondes

provenant

de deux

plans flà

consécutifs

présentent

le même

accord,

car leurs

phases

diffèèent

de 2 ~ ;

2 n. Les

ràyons

X

se réfléchissent sélectivement en

premier

ordre sur

les

plans

d’onde

IL.

La radiation

forme le faisceau réfléchi. Comme lé

produits

est entier

[formule (1)],

l’accord de

phase

existe entre

les ondes difftâütêés

par

tous lès motifs cristallins.

L’intensité de la radiation s’élève à

(8)

>° A la vibration oc

correspond

une

vibrâtion «’ J/

opposée,

telle que S,,,, ‘ - Sx et 1

X=M+Sa fréquence u-~-v~,

Fi g.

~,

X;=~-(~2013M)

fréquence v - vd..

Fig.8.

Les

planx

d’onde

élastique

aa,,

dirigés

par

le

vecteur de

propagation (S~2013M),

réfléchissent aussi les rayons X sélectivement en

premier

ordre. La radia-

tlôà

constitue le faisceau réfléchi. Elle atteint une inten-

sité

Suivant que

les

plans dohde élastique

se

déplacent

dans

le sens

du

vecteur de

dIffusion 7)

bu dans

lé sens

oppose (flg. 8), la radiation féfléchie

est

de frêquenôè

àccruè v

4-

V’Y.

Aussi

l’angle

d’incidence i et

1 angle

de

réflexion r

ne sont

plus égaux ils vérinënt

ces i-ëlâtiôns :

30 Si la maille élémentaire

éontient g atoines, chaque

vecteur de

propagation appartient

à

3 g

vibrations

élastiques,

et les radiations Sélectivement réflée,hiek sont au nombre

de 6g.

Ellé§ ont une

intensité totale

:’-4Ô

Tôutu autre radiation du

premier

ordre e8t

ulule. Son intensité

s’èxprirne :

En outre

qà, qa, sont des entiers distincts d~ ~, sinon les vecteurs

Ss

et

S

diiîérerâient d’une tfànstiôû du réseau

polaire

et se

rapporteraient

à la même

vibration. Donc

B.

Lorsque

le

pôle

de

diffusion

ne

coïncide

pas avèc ùn

pôint s

on

trouve

par un raisonnement

qûl rappelle

démonstration du théorème de Féjer

sur les séries de

Fouriér,

que le

pouvoir diffusant

ne

di ffére

pas sensiblement de la valeur

qu’il pendrait

en

plaçant

le

pôle

de

diffusion

sur le

point

s dont il

est le

plus prés.

Ce deuxième èas se râiliène ainsi

au

premier.

Du reste, la densité des

points

s est

très

grande

même si le cristal est

minuscule,

et deux

Vibrations homologues affétentes

à

deux pbiùt§ 9

voisins ont des

fréquences

et des

amplitudes moyennes qui peuvent

être confondues.

7. Le

pouvoir di:dusant

du cristal. --- Soit a- le nombre des électrons extra-nucléaires contenus dans la maille élémentaire. Le

pouvoir

diffusant

du premier

ordré est

L’onde

élastique

oc a pour

énergie

sdifttne

s’étend

à tous les atomes contenus dàtî la

màllle j mj

masse’ dé l’atome situé en

position j.

Célle dù motif

orlgtâlllii

s’élève à

L’énergie

de l’oride

élastique

se formule

ag

l’ fi1t1plitl.ltle

moyenne, êellé que

prendrâit

déù atonies

id6tiqué§.

diflugt

une tftdiatitJti de

fréquence

(9)

mentée v + vx. Elle

perd

un

quantum

à

chaque photon qu’elle rejette : l’amplitude

a, .

qui

entre

en

compte prend

dans le

temps

la valeur moyenne :

L’onde

(x’,

par contre, diffuse une radiation de fré- quence diminuée v 2013 ~ ; elle gagne un

quantum chaque

fois

qu’elle rejette

un

photon

et

D’autre

part,

les ondes x et ce’ sont

opposées :

V(1.1 = V(1.;

et les

amplitudes

aj(1., et sont

parallèles.

Elles

sont aussi extrêmement

petites :

se confond avec

7r Xaj(1.; Hj/J,, (2

avec

Hj,

et

Hj

avec

- -,.. - .

D’où l’on déduit le

pouvoir

diffusant du

premier

ordre

[formules (5), (9), (10), (11)

et

(12)] :

avec

et

M est la translation

qui

amène

l’origine

0

( fig. 3)

du réseau

polaire

sur le centre M de la zone

se trouve le

pôle

de diffusion D.

On définit de la même

façon [9]

des

pouvoirs

diffusants du se-

cond,

du troisième

ordre,

dus

respectivement

aux radiations

diffusées d’ordre

deux,

trois. Le tableau suivant concerne la diffusion

qui

est

produite

par la

Fi

g. 9.

sylvine.

Il montre

l’importance

Fig. 9. relative des divers

pouvoirs

dif-

fusants

lorsque

le

pôle

de diffu-

sion se meut sur un rayon 110 dans la zone 004.

Les nombres inscrits entre

parenthèses expriment

les

proportions

en centièmes. Les

pouvoirs

diffusants

globaux

p sont obtenus par

interpolation

entre nos

/

i

photométries.

Les

pouvoirs

diffusants P2, du second : 1

ordre;

p3, du troisième

ordre;

pc, de l’effet

Comptons

sont calculés. Le

pouvoir

diffusant pi se déduit par différence :

x mesure la distance MD

( fig. 9)

entre le centre M de la zone et le

pôle

de diffusion D. Cette distance est évaluée en

prenant

pour unité le rayon ML de la zone, celui

qui

passe par le

point

D :

Syliine :

zone, 004; rayon, ~, = 0,7o8

- 712 À -

On

voit" que

le

pouvoir

diffusant du troisième ordre est

négligeable,

que celui du second ordre est notable et que celui du

premier

ordre forme la

partie princi- pale

du

pouvoir

diffusant

global.

8.

Propriétés

de la diffusion cristalline. Rela- tion entre le

pouvoir

diffusant et la vitesse des ondes

acoustiques.

- Grâce à des

approximations,

il est

possible

de calculer sans erreur grave les

pouvoirs

diffusants d’ordre deux et

trois,

comme celui de l’effet

Compton,

et, les retranchant du

pouvoir

diffusant

global qui

seul est

mesurable,

on obtient le

pouvoir

diffusant du

premier

ordre

avec une bonne

précision.

S’il est g atomes dans la maille

élémentaire,

le

pouvoir di ff usant

du

premier

ordre ne

dépend

que de 6 g vibrations. Ce nombre est extrêmement

petit

par

rapport

à celui de toutes les vibrations se

propageant

dans le cristal. Et ces 6 g vibrations sont

opposées

deux à deux. Elles ont seulement 3 g

fréquences,

3 g

amplitudes

moyennes, une

longueur

d’onde. Au

point

de vue diffusion elles se

réduisent à 3 g.

Si le

pôle

de diffusion se trouve dans le centre

d’une zone où la diffusion est

forte,

la presque totalité du

rayonnement

diffusé ne

provient plus

que de trois vibrations

acoustiques. Et,

si l’une d’elles est

parallèle

au vecteur de

diffusion,

elle

(10)

définit seule le

pouvoir

diffusant. Inversement le

pouvoir

diffusant définit la

fréquence

et la vitesse

de l’onde

acoustique.

10 Cas des cristaux

métalliques.

- La

plupart

des métaux ont un atome par maille. Ils sont exclu- sivement le

siège

de vibrations

acoustiques.

Leur

pouvoir

diffusant du

premier

ordre

s’exprime [formule (13)] :

Les trois vibrations de

fréquences

V2’ V3 ont le même vecteur de

propagation

S mais se

déplacent

d’ordinaire avec des vitesses distinctes

VI, V~, V3°

En

conséquence

Supposons

le vecteur X

parallèle à

l’une des vibra-

tions

L’orientation du

cristal,

la direction du faisceau

incident,

celle du faisceau

diffusé, situent

le

pôle

de diffusion D

(fig. 3)

dans une zone. Si M en est

-

le centre S = MD.

Dirigeons

le vecteur X

(fig. 10)

suivant une

rangée

OM du réseau

polaire.

Le vecteur S est orienté

de

même,

et le vecteur X se confond ou fait un

angle

très

petit

avec la vibration

longitudinale ( ~)

ou

pseudolongitudinale

a.

2~

Plaçons

le

pôle

de diffusion D

(fig. i i)

dans

un

plan

de

symétrie

et sur le méridien ODM d’une

sphère ayant

OM pour diamètre. Le vecteur X est

orthogonal

au vecteur S’. Il coïncide ou fait un

angle

minime avec la vibration transversale

(5)

ou

speudo-

transversale a’ contenue dans le

plan

ODM.

Les mesures du

pouvoir

diffusant dans l’un et

l’autre cas déterminent les vitesses de

propagation

V

et V’ des vibrations a et a’.

Des vitesses évaluées suivant des directions (8) Par rapport au vecteur de propagation fondamental.

différentes on déduit les coefficients d’élasticité.

Il convient de

placer

le

pôle

de diffusion dans les

zones de faibles notations et

près

de leurs centres,

Fig. r o.

de sorte

que X

et S restent

petits.

Dans ces condi-

tions,

les

pouvoirs

diffusants d’ordre deux et

trois,

ainsi que celui de l’effet

Compton,

sont

négligeables,

et le facteur de

Debye

diffère peu de l’unité.

Si les coefficients d’élasticité et

partant

les vitesses des ondes

élastiques

sont connues, la

photométrie

du

rayonnement

diffusé

permet

d’atteindre le facteur de structure

atomique

à tous les

angles

de diffusion.

Un atome

engagé

dans un cristal n’a pas le même facteur de structure que s’il était

libre,

tel un atome

de gaz rare. C’est la structure des atomes libres

qui

est définie par les théories

quantiques

de

Schrôdinger,

de

Thomas-Fermi,

de Hartree. L’atome

placé

dans

un cristal

prend

une structure différente :

d’abord,

il se trouve dans le

champ

de force créé par ses voisins.

Ensuite,

il oscille : les oscillations modi- fient la structure de ses couches

électroniques

externes.

.

Quand

la

température s’élève,

le réseau cristallin

se

dilate,

les oscillations

s’amplifient,

et le facteur

, de structure

atomique

varie. L’état cristallin serait

mieux connu si l’on

pouvait pénétrer jusque

dans

ses détails la structure de l’atome

oscillant,

le

~ véritable constituant du cristal. Mais évaluer le facteur de

Debye

H est une

opération

fort délicate

[ i o].

Seul le

produit

fH

peut

être atteint par

l’expérience.

(11)

10

2ô Cas d’ un cristal de - Il y a deux atomes dans là maille élémentaire de la

sylvine.

Ce cristal

â comme

pouvoir

diffusant du

premier

ordre

[for-

mule

(13)]

La

première

somme concerne les vibrations acous-

tiques,

la seconde les vibrations

rapides.

, Fig. 12.

Plaçons

un sommet de la maille sur un

atome, pour leqùel jl

=

j.

=

13

= o. atome du

motif èristalliii

se

trouvé

au

centre

la maiÎÎé

Dans la sylvine

les ions et CI-, ne sont pas

eouplés

en molécules

KCI;

les ondes

élastiques

se

propagent

uniforménwnt : ¡ 17 (); = o. La

symétrie

du cristal fait que cos

1 XaK(X = ~ cos quelle

que soit la vibra-

tioni

Les coefficients eIt et Ceux des ondes

acoustiques

ont le même

signe;

ceux des ondes

rapides,

ckaa

sont de

signes

contraires.

lsorsque

le vecteur de

prepagation

fondamental.

s’annule,

CK et cr it tende- nt

vers unj

si

mK et mci sont le~ masses des ions K~’

et

1

tendent

respectivement

vers

êt 1 mJt i

éfi Mftê

le

ràpport ; / à

V

lnR P ctiô>

1

pour limite

[ 1 1 ~ ]

Enfin et

diffèrent

tout

juste

de 5 pour Ioo : les facteurs de

Debye ~~

et

He, peuvent

être confondus.

Les zones de la

sylvine

ont là forme d’ufi cubo-

octaèdre

(fig.

Supposons

le

pôle

de diffusion dans une zone

impaire (M~ +M2+Mg=2n+i) :

La somme

.E, x’9 fomule (16)]

est minime.

v

x

Les vibrations

rapides produisent

la

majeure partie

du

rayonnement diffusé.

Leurs

fréquences

sont

grandes :

le

pouvoir

diffusant doit être

petit.

C’est

lé résultat

expérimental

même

[12}.

2ô Si

le pôle

de

diflusion

est

dans

une zone

paire (M,

+

M2

+

M,

--. o ou 2

n)

La

1 cil"" [2 [formule (16)

est

négligeable

_

devant son

homologue 12.

Ce sont les

ÕnlÎê!i

a

acoustiques qui produisent

la

diffusion.

Elles ont des

fréquences petites :

le

pouvoir

diffusant doit

être

grand.

Effectivement

lorsque

le

pôle

de difiu-

~sion se trouve dans une zone

paire

la diffusion est

forte

[1 ~ ].

3~

Supposons toujours

le

pôle

de

diffusion dans

une zone

paire

mais

près du

centre

afin soit petit.

Les vibrations

acoustiques

de l’ion

~~1 et

celles de l’ion

Cl-1, responsables

de

diffusion,

ont sensiblement les mêmes

amplitudes,

et leurs

fréquences

sont

faibles.

A la

tëinpérâturê ordinaire

et

aux

tefupêtatures plus élevées,

ces

oscillations forment

dès

ondes qui pteI1hèht

des

énergies moyennes égales

à

kT.

En

conséquence :

Si le veéteur X est

parallèle à

l’une des vibrations ai, a2, a3, on obtient la vitesse de l’onde

correspondante.

Les vitesses

Vtt

déduites du

pouvoir

diffusant

(12)

l viteses mesUrées mécani-

qnement [i8j

».

S,.s 1~~

3~ Cas

général.

-

Quel

que soit le nombre des atomes contenus dans la maille

élémèntâirê,

les

vibrations

rapides

ont des

fréquences

élevées

(I ois

en-

viron) :

.- leur

pouvoir

diffusant egt faible. Les fré-

quences des

ondes

acoustiques

sont

moindres;

elles

s’annulent

avec le vecteur

dé propagation

fonda-

mental S. Une vibration

acoustique produit

une

diffusion intense si elle a un vecteur de

propagation

S

petit

et un facteur de structure

[formule (15)]

grand.

Ce facteur

s’exprime

encore

quand

S est

petit,

car les

amplitudes

ajj, a,~x, ..., sont alors

parallèles

et

Lorsque

S s’annule les coefficients cja, ...

tendent vers un, les différences

tendent vers zéro et

F.

devient

égal

au facteur de structure du cristal

Fa [formule (6)],

celui

qui

déter-

mine l’intensité des faisceaux sélectivement réfléchis.

Le

pouvoir

diffusant est donc fort toutes les fois que le

pôle

de diffusion se trouve dans le centre

d’une zone

(Ml, M2, M3),

telle que la réflexion sélec- tive

(Ml, M,, M3)

est intense. Le

pouvoir

diffusant

fort

permet

d’évaluer les vitesses des ondes

acoustiques

et les coefficients d’élasticité.

9. Comlnent le

pouvoir

diffusant varie avec

la

température. -

L’intensité de la diffusion

dépend principalement

de la

température

par les éner-

gies

moyennes des vibrations

E,,, E~,... [formule (14j

et

fig.

13, courbe

AB],

et par les facteurs de

Debye H;,, Hl,

...

[formule (7)

et

f g. 14,

courbe

CD]. Ainsi,

le

pouvoir

diffusant du

premier

ordre

[formule (13)]

est

approximativement

une fonction linéaire de

produits Ex H2,

Ex

H2,

... et Ex

Hj Hj,,

....

Quand

la

température

s’élève dès le zéro

absolu,

ces

produits augmentent d’abord, atteignent

un maximum et

diminuent. Le

pouvoir

diffusant du

prenùer

ordre

varié en

gros

de

même, pouvant

toutefois passer par des maxima secondaires. Cella se vérifn avec

Fig. ~ t 3.

la

sylvine;

en

particulier

si X excède 1 og le

pouvoir

diffusant du

premier

ordre diminüe

quand la tempé-

rature croît au-dessus de

2900 K [14].

D’autres

paramètres, qui

influent sur le

pouvoir diffusant,

varient aussi avec la

température,

bien moins

Fig. 14.

toutefois que les

énergies

moyennes des vibrations et les facteurs de

Debye.

Les

plus importants

sont

les

fréquences

des vibrations

élastiques [15~

et les

facteurs de structure

atomiques.

On

peut espérer

que la mesure du

pouvoir

diffusant faite à des

températures

variées

apportera

des

renseignements

nouveaux sur la cohésion du

cristal,

sur les électrons de valence et de

conductibilité,

voire même sur le

ferromagnétisme.

Cette étude a été faite sous la direction de M. Ch.

Mauguin,

membre de l’Institut. Je tiens à lui

exprimer

ici toute ma reconnaissance.

Manuscrit reçu le 20 octobre 19 4 2.

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réflexions sélectives de Bragg, Paris, I94I.

[2] J. LAVAL, Bull. Soc. franç. de Minér., I939, 52, p. II6.

[3] Ibid., p. 90.

[4] P. DEBYE, Ann. der Physik, I9I4, 43, p. 49. - E. SCHRÖ-

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[5] L. BRILLOUIN, J. de Physique, 7e série, I935, 6, p. I85.

[6] M. BORN, Dynamik der Kristallgitter, Leipzig et Berlin, I9I5, p. 42 et Atomtheorie des Festen Zustandes, Leipzig et Berlin, I923, p. 575.

[7] M. BORN, Atomtheorie des Festen Zustandes, Leipzig et Berlin, I923, p. 587.

[8] J. LAVAL, Bull. Soc. franç. de Minér., I94I, 64, p. 55.

[9] Ibid., p. 88.

[I0] Ibid., p. 9I.

[II] M. BORN, Atomtheorie des Festen Zustandes, Leipzig et Berlin, I923, p.

[I2] J. LAVAL, Bull. Soc. franç. de Minér., I939, 52. 2014

Ph. OLMER, Contribution à l’étude de la diffusion des

rayons X en dehors des réflexions sélectives de Bragg, Paris, I94I.

[I3] J. LAVAL, Bull. Soc. franç. de Minér., I94I, 64, p. II4-

II5.

[I4] Ibid., p. 89.

[I5] Ibid., p. 98.

Referências

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