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Khodor Abboud

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Academic year: 2023

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Il est basé sur les deux autres scripts topologie et trac, et implémente les techniques d'ingénierie trac et de routage multi-chemins dans le réseau. La conclusion sur l'état de charge du réseau nous amènera à proposer au chapitre 3 un modèle d'état dynamique basé sur la théorie différentielle du trac.

Formulation de la technique de l'ingénie- rie de trac dans le contexte des réseaux

  • L'évolution de IP à MPLS
  • Dénition de l'ingénierie de trac
  • Ingénierie de trac basée sur IP: IP-TE
  • Ingénierie de trac basée sur MPLS
    • MPLS-TE

IP Trac Engineering (IP-TE) représente une solution pour surmonter les limites du routage IP. L'ingénierie Trac consiste à effectuer un équilibrage de charge sur le réseau pour optimiser les performances.

Fig. 1.1  Evolution des services dans le réseau futur
Fig. 1.1 Evolution des services dans le réseau futur

Modèles pour la qualité de service dans In- ternetternet

IntServ

Service Garanti (GS) : garantit une bande passante et un délai de livraison limité (audio, vidéo), mais pas de gestion du jitter. Une architecture comme IntServ/RSVP qui nécessite la maintenance de l'état de ot présente des problèmes de « mise à l'échelle ».

DiServ

Behaviour Aggregates (BA) : un ensemble de paquets IP transitant par un domaine DiServ demandant le même traitement. En d’autres termes, un BA est un ensemble de paquets possédant le même champ DSCP.

Fig. 1.16  Structure du champ DS
Fig. 1.16 Structure du champ DS

Modèles devéloppés au LAGIS pour MPLS- TETE

LBWDP: Load Balancing over Widest Disjoint PathsPaths

Le choix d'un chemin lors de l'étape de répartition des tracs avec LDM est basé sur une probabilité de répartition selon des critères tels que la longueur en nombre de sauts et le taux d'occupation des chemins. Cependant, le débit objectif de distribution ri est fonction du nombre de sauts et de la capacité résiduelle du chemin.

PEMS: PEriodic Multi-Step routing algorithm for DS-TE

Pour chaque classe de trac, PER calcule le taux de distribution théorique sur chaque chemin de la classe. PEMS [58] vise à minimiser l'utilisation maximale des liaisons tout comme LBWDP [59] tout en différenciant les routes en fonction de la qualité de service requise par la classe trac de la requête actuelle.

Fig. 1.18  Les 3 étapes de PEMS
Fig. 1.18 Les 3 étapes de PEMS

Conclusion

Le but de ce chapitre est le développement d’un ensemble de métriques pour l’évaluation des performances de deux modèles de routage multi-chemins LBWDP [59] et PEMS [58] présentés dans le chapitre précédent. Ces informations doivent être suffisantes et pertinentes tout en reflétant de manière fiable la charge réelle du réseau au moment de la décision de routage.

Introduction aux méthodes de simulation et d'évaluation de performances

La définition des limites du système affecte les mesures de performances utilisées pour comparer les systèmes. Ces approches peuvent être classées en deux grandes catégories (Fig. 2.1) : les approches basées sur des mesures et les approches basées sur la modélisation.

Fig. 2.1  Classication des techniques d
Fig. 2.1 Classication des techniques d'évaluation de performances La première catégorie permet de quantier les critères de performance en les mesurant directement sur un système réel

Objectifs de la simulation

Critères d'évaluation

Qualité de routage

Le délai aller-retour et le taux de perte de paquets (délai et perte aller-retour). Le délai de transmission est calculé en fonction du rapport entre la taille du paquet et la bande passante.

Scalabilité

Le délai comprend le délai de transmission, de propagation et de réception au niveau du hub. Le délai de propagation est estimé en fonction de la relation entre la distance et la vitesse de propagation.

Génération de topologies

Modèles pour la génération de topologies

Le nombre de chemins les plus courts entre les nœuds affecte la fiabilité de la communication. Ainsi, la répartition des routeurs selon leur degré (c'est-à-dire le nombre de liens incidents) obéit à une loi de puissance.

Fig. 2.4  Génération d
Fig. 2.4 Génération d'une topologie Waxman avec les 2 techniques Le modèle Waxman fut plus tard remplacé par des modèles hiérarchiques tels que Tiers [26] et GT-ITM (Transit-Stub)[16]

BRITE, un exemple de générateur de topologies

Cette propriété fait référence à des graphes arbitraires dans lesquels la distribution des nœuds en fonction de leur degré obéit à une loi de Poisson. En sortie, BRITE a son propre format propriétaire et peut également fournir la topologie du réseau au format de simulateur de réseau NS-2 [77].

Fig. 2.5  Structure générale de BRITE
Fig. 2.5 Structure générale de BRITE

Comparaison des générateurs de topologies

BRITE est implémenté avec deux langages de programmation (Java et C++) et peut être étendu pour intégrer de nouveaux modèles de topologie. Les deux tableaux donnés dans la Figure 2.8 montrent que BRITE est le meilleur générateur en termes de corrélation avec une topologie réelle tant au niveau de la représentation (niveau AS ou routeur) (Fig 2.8.a) qu'au niveau de la structure (niveau hiérarchique ou à échelle). ) (Fig. 2.8.b), car il est le seul capable de générer des topologies selon ces différentes caractéristiques.

Modèle de Simulation

Outils de simulation

Il existe de nombreux outils de simulation disponibles pour mettre en œuvre et évaluer les performances du protocole. Network Simulator NS-2 est l’un des outils de simulation les plus populaires au sein de la communauté scientifique.

Fig. 2.9  Répresentation modulaire de l
Fig. 2.9 Répresentation modulaire de l'outil de simulation NS-2

Modèle

Nous avons choisi d'exécuter une trace UDP générée aléatoirement afin d'avoir un scénario de simulation proche de la réalité. Les paramètres de trac sont générés en fonction de chaque scénario de trac présenté dans les sections suivantes.

Vérication du passage à l'echelle par si- mulationmulation

Evaluation de la complexité des algorithmes

La mise à l'échelle de nos modèles est donc fonction de la complexité des algorithmes de sélection de chemin et de l'équilibrage de charge mis en œuvre sur les routeurs d'entrée. La figure 2.10 montre la complexité théorique du LBWDP et du PEMS selon les étapes qui les composent.

Fig. 2.10  Mesure de la complexité des algorithmes LBWDP et PEMS
Fig. 2.10 Mesure de la complexité des algorithmes LBWDP et PEMS

Scalabilité et passage à l'échelle des algorithmes

On note que LBWDP a un taux d’utilisation maximum inférieur à PEMS dans les 5 cas. D’un autre côté, l’écart de différenciation des délais entre les différentes classes de PEMS est très clair dans ce scénario.

Fig. 2.11  Paramètres des topologies Fig. 2.12  Paramètres du trac
Fig. 2.11 Paramètres des topologies Fig. 2.12 Paramètres du trac

Scénarios des simulations pour évaluation qualitativequalitative

Cas 1: réseau faiblement chargé

On remarque que dans un réseau peu chargé, le PEMS est capable de fournir un équilibrage de charge équivalent ou sensible. En revanche, dans le cas d’une faible charge du réseau, on remarque que les délais moyens du PEMS sont constamment inférieurs à ceux du LBWDP (Figure 2.27), contrairement au cas d’un réseau modérément chargé. .

Fig. 2.25  Taux d
Fig. 2.25 Taux d'utilisation moyen pour un réseau faiblement chargé

Cas 2: réseau fortement chargé

Dans le cas où la charge du réseau est élevée, l'évolution des résultats d'équilibrage de charge obtenus (Fig. 2.28) est identique au cas d'un réseau moyennement chargé (Fig. 2.21). Enfin, on constate que l'évolution des résultats obtenus avec un réseau fortement chargé correspond à celle obtenue dans le cas d'un réseau moyennement chargé.

Fig. 2.28  Taux d
Fig. 2.28 Taux d'utilisation moyen pour un réseau fortement chargé

Conclusion

Cependant, les résultats ont montré que PEMS fonctionne mieux avec un réseau déchargé ou à faible charge, tandis que LBWDP présente un comportement presque similaire avec les deux scénarios et semble moins affecté par le changement de l'état de charge du réseau.

Réseau à topologie variante

Introduction

Changement de méthode d'emplacement des noeuds

Changement de méthode d'emplacement des noeuds et de leur interconnexionet de leur interconnexion

Avec la méthode Barabt, nous obtenons à peu près le même taux d'occupation maximum pour les deux méthodes de localisation de nœuds (Heavy-Tailed, Random). Cette interprétation renforce également l’idée de la corrélation entre délai moyen et utilisation moyenne de la connexion.

Fig. 2.33  Taux d
Fig. 2.33 Taux d'utilisation de PEMS avec les méthodes d'emplacement et d'in- d'in-terconnexion pour des topologies de 100 noeuds

Conclusion

Deuxièmement, nous avons constaté que les conditions de charge du réseau affectent fortement les performances des deux modèles. Le but ultime est d'éviter toute situation de congestion possible dans le réseau, et dans la suite de cette thèse proposent des approches de contrôle de congestion améliorant ainsi le plan de routage adaptatif et l'équilibrage de charge dans le réseau IP/MPLS.

Fig. 2.35  Résultats d
Fig. 2.35 Résultats d'analyse de performances des deux algorithmes LBWDP et PEMS

Introduction

L'objectif de ce chapitre est de concevoir un modèle d'état dynamique capable de calculer l'état de charge d'un réseau de type IP/MPLS et de mesurer la bande passante disponible sur les chemins de bout en bout. Cette méthode constituera la base du modèle d'état dynamique que nous proposons pour les réseaux IP/MPLS.

Etat de l'art des modèles

Notion de modèle

Etat de l'art

Le modèle analyse l'évolution de la longueur de la file d'attente correspondant au goulot d'étranglement. Soit qn la taille du temps d'attente sur la connexion goulot d'étranglement, µn le débit de service correspondant, rmn le débit du trafic entrant de la source m, pendant la nième période de saut.

Dynamique du modèle uide pour un noeud

Nous avons vu précédemment les expressions qui régissent le comportement des éléments fondamentaux du modèle uide, à savoir l'état de la liste d'attente en nombre de clients, le débit d'entrée et le débit de sortie. L'équation générale du système MIMO est définie selon le même principe de la théorie différentielle du trac, par la différence entre la somme des débits instantanés des entrées et ceux des sorties.

Fig. 3.1  Système d
Fig. 3.1 Système d'attente élémentaire

Modèle dynamique d'état pour un réseau IP/MPLSIP/MPLS

Approche des réseaux à compartiments

Les flux Trac envoyés par les nœuds traversent des arcs (liens) pour aller des sources aux destinations des paquets. Il s’agit maintenant de calculer les valeurs ux de transfert entre les nœuds fij.

Fig. 3.7  Exemple d
Fig. 3.7 Exemple d'un réseau à compartiments

Approche graphique

Somme des ux envoyés sur tous les liens de sortie du nœud i (3.13) Prenons l'ensemble CH des chemins utilisés, et l'ensemble des liens du réseau L. Reste à déterminer le deuxième élément qui intervient dans le calcul du variable de routage, c'est à dire la somme des ux envoyés sur tous les liens de sortie du nœud.

Fig. 3.8  Diagramme de la méthode MTG
Fig. 3.8 Diagramme de la méthode MTG

Généralisation du modèle dynamique d'état

En fait, soit λil les débits d'accès des routeurs, supposés connus, avec i∈T : tous les routeurs impliqués dans le routage de la piste, et ωis les débits de sortie vers les nœuds de destination calculés selon la méthode MAC (λi et ωpeuvent être nuls). , alors l'équation générale du modèle d'état par l'équation (3.17) est annulée. Ce modèle d'état fournit un cadre théorique global qui permet de créer, en combinant diverses approches, une modélisation générale de tous les éléments du réseau de type IP/MPLS.

Application sur un réseau

Pour ce faire, commençons par construire la matrice A des relations « liens de chemin » basées sur la topologie du réseau et les informations de routage explicites qui fournissent les chemins entre les paires source/destination. A noter que les liens qui ne correspondent pas à un transfert de ux ont une variable de routage égale à 0.

Fig. 3.11  Plan de routage dans le réseau G
Fig. 3.11 Plan de routage dans le réseau G

Modèle d'état du réseau

Systène non linéaire sans retard

L'ensemble T contient n routeurs concernés par le trafic : [T] = n, - L'ensemble I contient k entrées correspondant aux sources, - L'ensemble W contient w sorties correspondant aux destinations. A = [n∗n] : matrice d'état représentant l'état de charge du routeur, - B = [n∗k] : matrice de commande ou d'entrée, elle traduit les connexions entre les routeurs et les entrées du système.

Système non linéaire avec retard

Les conséquences de ce retard sur l'état de charge des routeurs s'expriment par le rapport entre les débits de transfert et la capacité de traitement en attente. Cette conclusion nous amène à penser que le retard affecte l'évolution de l'état de charge du réseau.

Fig. 3.15  Evolution de l
Fig. 3.15 Evolution de l'état de charge x 1 (t) avec et sans retard

Conclusion

En fait, ce modèle est capable de représenter les interconnexions entre les différents composants du réseau de manière générale. Comment implémenter un mécanisme de contrôle dans un réseau IP/MPLS déjà connu pour choisir sélectivement des chemins explicites pouvant transporter le trafic réseau.

Contexte général

De plus, l'idée est de proposer un modèle complet prenant en compte la dynamique globale d'une ligne de communication depuis l'émetteur jusqu'au récepteur, en passant par les différents composants internes du réseau, notamment les liens et les routeurs. En fait, un tel modèle ne considère plus une seule connexion, mais toute une ligne émetteur-routeurs-liens-récepteur.

Contrôle dans les réseaux IP/MPLS

  • Modèle analytique de base
  • Choix et calcul des métriques de contrôle
  • Modèle de contrôle de congestion basé sur l'infor- mation de la bande passante résiduellemation de la bande passante résiduelle
  • Modèle de contrôle par routage multi-chemins

L’objectif est donc de surveiller et contrôler la bande passante restante de ces chemins pour éviter la congestion et la saturation du réseau. Cependant, en termes de surveillance, l'exploitation du réseau nous a permis dans la section 4.2.2 de calculer la bande passante restante d'un chemin à tout moment.

Fig. 4.1  Structure du modèle de contrôle
Fig. 4.1 Structure du modèle de contrôle

Conclusion

D’un autre côté, nous avons constaté que l’état de charge du réseau affecte grandement les performances des deux modèles. Cette mesure essentielle est proportionnelle au critère de bande passante restante des chemins du réseau.

Fig. 4.11  Principe général du modèle de commande multi-modèles Proposition d
Fig. 4.11 Principe général du modèle de commande multi-modèles Proposition d'une nouvelle approche

Imagem

Fig. 1.4  Exemples de protocoles de routage dans Internet 1.1.3.3 Ingénierie de trac dans les réseaux IP
Fig. 1.10  Commutation des paquets dans MPLS
Fig. 1.14  Shéma général du routage multi-chemins
Fig. 2.4  Génération d'une topologie Waxman avec les 2 techniques Le modèle Waxman fut plus tard remplacé par des modèles hiérarchiques tels que Tiers [26] et GT-ITM (Transit-Stub)[16]
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Referências

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