• Nenhum resultado encontrado

HAL Id: jpa-00206672

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2023

Share "HAL Id: jpa-00206672"

Copied!
6
0
0

Texto

(1)

HAL Id: jpa-00206672

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206672

Submitted on 1 Jan 1968

HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.

L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.

Diagramme des courbes de configuration d’un complexe manganèse-amine au brome

Françoise Guimard, Hugues Payen de La Garanderie

To cite this version:

Françoise Guimard, Hugues Payen de La Garanderie. Diagramme des courbes de configuration d’un complexe manganèse-amine au brome. Journal de Physique, 1968, 29 (5-6), pp.466-470.

�10.1051/jphys:01968002905-6046601�. �jpa-00206672�

(2)

[5]

GROSSETÊTE

(F.),

C. R. Acad. Sc., 1964, 259, 3211.

[6]

GROSSETÊTE

(F.),

C. R. Acad. Sc., 1965, 260, 3327.

[7]

BARRAT

(J. P.)

et

COHEN-TANNOUDJI (C.), J.

Phy-

sique

Rad., 1961, 22, 443,

Appendice

1.

[8] OMONT

(A.),

Communication

privée.

[9]

MALNAR

(L.)

et coll., Communication

privée.

[10]

ANDERSON

(L. W.),

PIPKIN

(F. M.)

et BAIRD

(J. C.),

Phys. Rev., 1959, 116, 87.

[11]

BOUCHIAT

(M. A.)

et GROSSETÊTE

(F.), J. Physique,

1966, 27, 353.

[12]

BOUCHIAT

(M. A.),

Thèse, Publ. Sc. Techn. Ministère de l’Air, France, Note

technique

146, 1965.

[13] GIBBS

(H.

M.), Thèse

(non publiée),

Université de Californie, 1965.

[14]

WITTKE

(J. P.),

Thèse

(non publiée),

Université de Princeton, 1955.

WITTKE

(J. P.)

et DICKE

(R. H.),

Phys. Rev., 1956, 103, 620.

[15]

Moos

(H. W.)

et SANDS

(R. H.),

Phys. Rev., 1964, 135, A 591.

[16] BOUCHIAT

(M. A.)

et BROSSEL

(J.),

Phys. Rev., 1966, 147, 41.

[17J

HAWKINS

(W. B.),

Phys. Rev., 1955, 98, 478.

[18]

GROSSETÊTE

(F.)

et BROSSEL

(J.),

C. R. Acad. Sc., 1967, 264, 381.

DIAGRAMME

DES COURBES

DE CONFIGURATION

D’UN COMPLEXE

MANGANÈSE-AMINE

AU

BROME

Par

FRANÇOISE

GUIMARD et HUGUES PAYEN DE LA

GARANDERIE,

Laboratoire de Luminescence de la Faculté des Sciences de Paris.

(Reçu

le 14

septembre 1967.)

Résumé. - La détermination des

paramètres

des

spectres

d’émission et de l’extinction

thermique

de la luminescence du

complexe

formé par deux molécules de bromure de

pyridine

et une molécule de bromure de

manganèse permet

la construction

expérimentale

des courbes

de

configuration

de ce corps.

Abstract. 2014 The

spectral

emission

parameters

and thermal

quenching

of luminescence

permits

the

experimental

construction of

configuration

curves. We have studied this with the

complex

which consists of one mole of manganese bromide and two moles of

pyridine

bromide.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE TOME 29, MAI-JUIN 1968,

I. Introduction. - La forme des

spectres

d’emission d’une substance luminescente se calcule

th6oriquement

a

partir

du

diagramme

des courbes de

configuration.

De

m6me,

on sait que les transitions non radiatives

responsables

de 1’extinction

thermique

de la lumi-

nescence se

produisent lorsque

les centres

luminogenes

ont, dans 1’etat

excite,

une

energie

de vibration

sup6-

rieure a une valeur minimale. Cette valeur minimale

trouve son

interpretation

dans le

diagramme

des

courbes de

configuration.

Inversement,

la determination

experimentale

de

cette

energie

minimale et la mesure des

parametres

des

spectres

d’6mission permettent la construction du

diagramme

des courbes de

configuration

de la sub-

stance. Ceci constitue

l’objet

de ce travail.

II.

Diagramme

des courbes de

configuration.

-

Le

diagramme

des courbes de

configuration

est la

representation graphique

des courbes

d’6nergie poten-

tielle

Uf(r)

et

U,(r)

des centres

luminogenes

dans

1’etat fondamental et dans 1’etat excite. La variable

est la coordonn6e de

configuration.

Nous utilisons un

diagramme

d’une seule coordonn6e de

configuration.

Dans le cas de la substance

qui

nous occupe

ici, r est

la difference entre la distance de l’ion Mn++ a ses

voisins dans le centre

luminog6ne

en vibration et

cette meme distance a

1’equilibre.

En

supposant

les vibrations

harmoniques,

les

6qua-

tions donnant

Uf(r)

et

Ue(r)

sont :

ke

et

k f

sont les constantes de Hooke des centres

dans 1’6tat excite et dans 1’etat fondamental.

Uo

est

1’6nergie 6lectronique

d’un centre dans 1’6tat excite.

ro est une constante

qui

mesure le

d6calage

de la

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01968002905-6046601

(3)

position d’équilibre

des centres dans 1’etat excite par

rapport

a 1’etat fondamental.

On donne

figure

1 le schema

theorique

de ces courbes.

FiG. 1. -

Diagramme

des courbes de

configuration theorique

d’un corps luminescent.

III.

Spectres

d’émission. - Soit

Iv

l’intensit6

énergé- tique

par unite de

frequence

a la

frequence v,

6mise

par la substance. Un calcul bien connu fond6 sur le modele des courbes de

configuration

conduit a

attribuer a

Iv 1’expression :

Ivo

et vo sont des constantes.

Expérimentalement,

on mesure

plutot

l’intensit6

6nerg6tique

par intervalle unite de

longueur

d’onde

la.

La relation entre

I,

et

Iv

est

simple;

on a :

On en deduit pour

Ix 1’expression :

1’Ao et X,

sont relies a

1vo

et vo par les relations :

P

ne

depend

que de la

temperature

de la substance.

D’apres Ruamps [1],

on a :

a et b sont des constantes, K est la constante de

Boltzmann, hve

est le

quantum

de vibration des centres

luminogenes

dans 1’etat

excite,

T est la

temperature

absolue.

À est reli6 a r par la relation :

Cette

equation

se deduit imm6diatement du dia- gramme des courbes de

configuration

en admettant

le

principe

de Frank et Condon.

Les formules

(1)

et

(3)

conferent au

spectre

d’émis- sion deux

propri6t6s caractéristiques

que l’un de nous

a

analys6es

dans un

precedent

article

[2].

a)

On considere la fonction :

avec :

On choisit alors deux valeurs

I /X,

et

1 /X,

du

nombre d’onde telles que

G(ljXi) = G(I/À2).

Les

valeurs

correspondantes

de r sont rl et r2, et on a :

’1-’0 = ro--r2.

L’équation (1) peut

s’6crire :

La courbe

représentant

Ln

G(I/Àl)

= Ln

G(I/À2)

en

fonction de

(J/Xl _ J/X,)2

doit alors 6tre une droite de pente :

b)

Par

ailleurs,

on

peut

6crire :

La courbe

repr6sentant Ln G(I /X)

en fonction de

1 /X

doit admettre un diam6tre

rectiligne

de pente :

La connaissance de

I /X,

et du

rapport :

dans

lequel le

coefficient

inconnu P

ne

figure

pas doit

permettre

d’acc6der aux

param6tres

des courbes de

configuration quand

sont connus les

parametres

de

1’extinction

thermique.

IV. Extinction

thermique

de la luminescence. - L’intensit6

6nerg6tique

de la luminescence

I(T)

a la

temperature

absolue T diminue au-dessus d’une cer-

taine

temperature.

C’est 1’extinction

thermique

de la

luminescence.

I(T) s’exprime

en fonction de T au

moyen de la formule de Mott et Seitz :

(4)

Cette formule n’est valable que dans la

region

ou

1’extinction

thermique

est notable.

Io, C,

W sont des constantes. W est

1’energie d’agi-

tation

thermique

minimale que doivent

poss6der

les

centres

luminogenes

dans 1’6tat excite pour que se

produisent

les transitions non radiatives

responsables

de 1’extinction

thermique.

W

s’interpr6te

au moyen des courbes de

configu-

ration. Soit P le

point

d’intersection des courbes

repr6sentant Uf(r)

et

Ue(r), soit r1

l’abscisse de

P,

on a :

V. Ddtermination des

paramètres

des courbes de

configuration.

- Pour calculer les

cinq parametres

des courbes de

configuration : kf, ke,

ro, r, et

Uo,

nous

disposons

des

quatre equations :

Ces

equations permettent

de calculer les

quantités

ke

,

kf ro, 2 r1,

,

Uo.

Les

parametres 6nerg6tiques

seront

f

f 0,

ro

o p q

donc determines

parfaitement.

Par contre, sur 1’axe

des

abscisses,

on ne pourra connaitre que la variable reduite

r/ro.

Remarquons

que dans la

plupart

des cas la connais-

sance de la variation du

coefficient P

avec la

temp6-

rature et de la masse M des centres

luminogenes peut permettre

de

déterminer ke

et par suite

k f

et ro.

Ayant

trace la courbe traduisant les variations

de B

formule

(2)

en fonction de

T,

on

peut

en d6duire la valeur de

hve,

donc la valeur de ve. On obtient

alors ke

par la formule

classique :

Cette etude

compl6mentaire

n’a pu 6tre faite avec

la substance que nous avons

6tudi6e, car p

ne

presente

que de tres

16g6res

variations

lorsque

la

temperature augmente

dans la

region

de 1’extinction

thermique.

VI. Substance dtudide. - I1

s’agit

du

complexe

vert a luminescence verte form6 par une molecule de bromure de

manganese

et deux molecules de bromure de

pyridine.

On se

reportera

pour la

preparation

de ce corps a

une

publication

ant6rieure

[3].

Dans ce

complexe,

les centres

luminogenes

sont les

ions Mn++ entour6s de quatre ions Br- formant un t6tra6dre

r6gulier.

L’état fondamental de l’ion Mn++

est un 6tat

6S;

1’6tat excité

impliqu6

dans la transition

optique

est un 6tat "G. La

dégénérescence

neuf de ce

niveau,

due au moment

orbital,

est levee en

partie

par le

champ

a

sym6trie

t6tra6drale des

quatre

atomes de brome

qui

entourent l’ion Mn++. On obtient

quatre

niveaux dont deux sont confondus :

4E + 4A1 (niveaux confondus), 4T2, 4 T,.

Dans cette

description, on neglige

l’interaction

spin-orbite.

Le niveau fondamental 6S

qui

a seulement une

dégénérescence

six due au

spin

conserve cette

dégénérescence

et donne naissance au

niveau

6A1 [4].

On admet en

general

que 1’emission lumineuse s’effectue a

partir

du niveau excite le

plus bas,

a

savoir 4T1.

L’etude des cburbes de

configuration

nous

permettra de donner un argument

suppl6mentaire

en faveur de cette these.

Remarquons

des maintenant que 1’existence d’une seule bande d’6mission et d’un d6clin

exponentiel

pour le

complexe

que nous 6tudions montre que seul

un niveau excite est

implique

lors de 1’emission lumi-

neuse pour ce corps.

VII. Rdsultats

expdrimentaux.

- 1. SPECTRES D’EMISSION. - Sur la

figure 2,

nous avons

port6

les

spectres

d’émission du corps que nous avons 6tabli

[MnBr2, 2(C5H5NHBrH)].

FIG. 2. -

Spectres

d’emission a differentes

temperatures

du

complexe

vert au brome et a la

pyridine.

En

partant

du haut de la

figure :

lre courbe : 18° ; 2e courbe : 78°; 3e courbe : 86°;

4e courbe : 91° ; 5e courbe : 99°; 6e courbe : 106°;

7e courbe : 1140.

(5)

Ces spectres ont ete realises dans la zone d’extinc- tion

thermique

entre 780 et 120 °C. Il est

possible

de

verifier pour

chaque

spectre les deux

propri6t6s caractéristiques expos6es

au

paragraphe

IV. Nous ne

reproduisons

pas cette verification

qui

a ete faite

dans une

pr6c6dente publication

par l’un de nous

[2].

Nous donnons seulement le tableau des valeurs des

param6tres

oc et m. On

portera

en fait les valeurs

oc

Loglo e

et m

Loglo e qui correspondent

aux mesures

experimentales.

On y

joint

la

largeur

A), en microns

du spectre a

mi-hauteur,

on constatera ses faibles variations.

Except6

la valeur mesur6e a 18

OC,

le

rapport (X/m

reste bien constant; les erreurs

proviennent

surtout

de la difficult6

qu’il

y a de maintenir la

temperature

constante

pendant

la duree d’un

spectre.

2. EXTINCTION THERMIQ,UE. - Sur la

figure 3,

on a

port6

la courbe

qui

donne l’intensit6

6nerg6tique

de

FIG. 3. - Variations en fonction de la

temperature

de

l’intensit6

6nerg6tique

6mise par le

complexe

vert au

brome et a la

pyridine.

la luminescence de la substance en fonction de la

temperature

centésimale. La loi de Mott et Seitz est

bien v6rifi6e.

(On

porte en abscisse l’inverse de la

temperature

absolue

1/T

et en ordonnée la

quantite

Ln

10 1 1;

la

p ente

de la droite donne

l’énergie W.

On trouve pour

l’énergie

W la valeur :

VIII. Construction du

diagramme

des courbes de

configuration.

-

Reprenons

le

syst6me d’équations (7) qui

nous

permet

de calculer les inconnues

11

On

peut

éliminer les trois inconnues : On obtient alors

pour r1 l’équation :

rn

Dans cette relation on a :

Les coefficients de cette

equation

sont connus,

on a :

Avec ces valeurs

numériques,

on obtient

1’equation :

On trouve alors :

et par suite :

Les courbes

d’energies potentielles

sont alors donnees par les relations :

ou l’unit6

d’énergie

est 1’electron-volt.

On voit que seule 1’echelle de 1’axe des ordonn6es

est connue; sur l’axe des

abscisses,

elle est ind6ter-

min6e. Nous donnons

figure

4 le

diagramme

des

courbes de

configuration

du

complexe

luminescent que nous avons

étudié,

construit

d’apr6s

ces valeurs

num6riques,

(6)

FIG. 4. -

Diagramme

des courbes de

configuration

du

complexe

vert au brome et a la

pyridine.

IX.

Conséquences.

- 1. LONGUEUR D’ONDE DU

MAXIMUM DE LA BANDE D’EXCITATION DES CENTRES

LUMINOGENES. - Consid6rons le

diagramme

des

courbes de

configuration

de la

figure 4,

et traçons la

parallele

a 1’axe des ordonn6es a

partir

du minimum

de la courbe

Uf(r) ;

cette

parallèle

coupe la courbe

Ue(r)

en un

point qui

donne

1’energie

du

photon qui

cor-

respond

sensiblement au maximum de la bande d’excitation. Soit

hva 1’energie

de ce

photon,

on lit

directement sur le

diagramme :

L’excitation directe des centres

luminogenes (ici

les

ions

Mn++)

a donc lieu dans le bleu. Le

d6calage

de

Stokes est

X.

-

Xo

= 500

k.

11 est de l’ordre de

grandeur

de la moiti6 de celui que l’on rencontre pour la bande verte des sulfures de zinc actives au cuivre.

2. NIVEAU

ELECTRONIQUE IMPLIQUE

DANS LA TRAN- SITION OPTIQUE DE L’EMISSION LUMINEUSE. - Des 6tudes ant6rieures

[4]

ont ete

faites,

montrant que le

complexe

vert au brome et a la

pyridine possede

trois

bandes

d’absorption.

Ces trois bandes

correspondent

aux trois niveaux 4E +

4Al (deux

niveaux de même

energie), 4T,

et

4 T, qui

d6rivent du niveau 4G de l’ion Mn++ libre. Ces etudes

indiquent que

le

niveau 4 T,

a

1’6nergie

la

plus basse,

et que le maximum de la bande

d’absorption correspondante

a pour

longueur

d’onde

0,4695

u.

Cette

longueur

d’onde est donc tres voisine de la lon- gueur d’onde

Àa

que nous avons trouv6e a

partir

du

diagramme

des courbes de

configuration Àa

=

0,470

u.

X. Conclusion. -1. Utilisant le fait que le spectre d’émission du corps n’est pas

gaussien,

ce

qui permet

notamment

d’appliquer

la loi du

diametre rectiligne (formule (5)),

il a ete

possible

de tracer le

diagramme

de

configuration

de ce corps, bien que l’on n’ait pas pu

disposer

de la

largeur

du

spectre d’emission

en fonction de la

temperature, laquelle

est

g6n6ralement

consid6r6e comme essentielle pour

pr6tendre

tracer

un tel

diagramme (formule (2)).

Cependant,

ce

diagramme

n’est determine

qu’a

une

6chelle arbitraire

pres

selon 1’axe des abscisses.

2. La lecture du

diagramme

de

configuration

permet alors de

pr6voir

la

position

de la bande d’excitation du centre

luminog6ne

conduisant directement de 1’etat fondamental a 1’etat 6metteur.

3. Cette bande coincide avec la bande

d’absorption

de

plus grande longueur

d’onde trouv6e par ailleurs

[4].

Ceci montre que 1’excitation directe 4 700

k

ainsi que 1’emission 5 200

k

sont toutes deux a attribuer

aux transitions entre 1’etat fondamental

6A1

derive du

niveau 6S dont la

dégénérescence

n’est pas levee dans le

cristal,

et le

plus

bas des niveaux derives de

4G,

c’est-a-dire de

4T1.

Je

remercie le Professeur D. Curie pour ses conseils

et l’aide

qu’il

m’a

apport6e

pour la redaction de ce

m6moire.

BIBLIOGRAPHIE

[1]

RUAMPS

(J.), J. Physique,

1960, 21, 52 S.

[2]

PAYEN DE LA GARANDERIE

(H.),

C. R. Acad. Sc., 1965, 260, 104-107.

[3]

PAYEN DE LA GARANDERIE

(H.),

C. R. Acad. Sc., 1964, 259, 4601-4603.

[4] COTTON

(F. A.)

et GOODGAME

(O.

M.

L.), J.

Am.

Chem. Soc., 1962, 84, 167.

Referências

Documentos relacionados

Posons De 12 nous obtenons alors Cette équation peut être transformée en équa- ~ tion de divergence pour à3 en tenant compte de 8, ~ ~ ~ d’c ù Je = à3 - M ; on obtient ainsi Si