HAL Id: jpa-00243352
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Submitted on 1 Jan 1970
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Dispositif de compensation automatique du vecteur champ magnétique terrestre
G. Argence
To cite this version:
G. Argence. Dispositif de compensation automatique du vecteur champ magnétique terrestre.
Revue de Physique Appliquée, Société française de physique / EDP, 1970, 5 (1), pp.159-163.
�10.1051/rphysap:0197000501015900�. �jpa-00243352�
DISPOSITIF DE
COMPENSATION AUTOMATIQUE
DU VECTEUR CHAMP
MAGNÉTIQUE
TERRESTREPar G.
ARGENCE,
Laboratoire Pierre-Weiss, 3, rue de l’Université, 67-Strasbourg (France).
Résumé. - On discute les types de
dispositifs
d’annulation du vecteurchamp magnétique
terrestre par bobines de
compensation.
On étudie, enparticulier,
les conditionsoptimales
decompensation,
en fonction de diverstypes
de sondes dechamp,
d’unsystème original
« matriciel » de bobines de «reproduction » ;
on montre que cet agencement leplus général
de bobines estoptimal.
On
indique
lesperformances
d’undispositif
decompensation automatique
du vecteurchamp magnétique
terrestre(utilisant
des sondes horizontales dutype
variomètre àquartz,
à faible
champ
directeur stabiliséautomatiquement)
réalisé sur les bases de cette étude.Introduction. - Les domaines de la
Physique
néces-sitant l’annulation locale d’un
champ magnétique (ou, plus généralement,
l’obtention d’unchamp quasi nul,
finement contrôlable en module et
direction)
sont deplus
enplus nombreux,
comme,depuis
peu, la simu- lationmagnétique spatiale.
Dans le cadre de ce
colloque,
toutes les méthodes d’obtention d’unchamp
nul décrites concernent desblindages
soitsupraconducteurs,
soitferromagné- tiques [1].
Cetexposé
traite des méthodes d’annula-tion, plus classiques,
par bobines decompensation
etindique,
enparticulier,
un agencementoptimal
de cesbobines associé à un
type
de détecteurs dechamp optimal.
Les «
blindages
»,comparés
aux « bobines de com-pensation
»,permettent
d’atteindre deschamps
rési-duels
plus
faibles[par exemple -
10-8 g[1]
contre~ 3 X 10-7 g
(cet article)]. Toutefois,
ces dernièresont à leur avantage
(à
l’heureactuelle)
un accèsplus aisé,
une finesse de contrôlesupérieure;
surtout, elles seules sont utilisables dans le cas où l’ensemblephy- sique, qui
doit êtreplacé
enchamp nul, produit
lui-même un
champ magnétique
ouélectrique (non négligeable) .
Méthodes d’annulation par bobines de compensa- tion. - Le
principe général, classique,
consiste àréguler
les 3 courantsindépendants
de 3 ensembles de bobines(à homogénéité
dechamp
maximale[2])
définissant 3 axes
magnétiques,
au moyen de 3 détec-teurs de composantes de
champ.
a)
SYSTÈMES SANS « BOBINES DE REPRODUCTION ». -Une
première solution, simple,
maisd’application
trèsrestreinte,
consiste àplacer
les 3 détecteurs auvoisinage
immédiat du centre 0 commun du
système
debobines,
où le
champ
doit être maintenu nul[3].
Les conditions d’utilisation sont alors draconiennes :1)
Il faut éviter les interactionsmagnétiques
entredétecteurs :
pratiquement,
seules sont utilisables les sondes «fluxgate
», de stabilité et résolution assezmoyennes.
2)
Il faut que levoisinage
dupoint
0 soit libred’accès,
ce
qui
n’est engénéral
pas le cas,puisque s’y
trouveplacé
l’ensemblephysique testé,
souvent volumineux.3)
Il faut que cet ensemblephysique
soit neutreélectriquement
etmagnétiquement,
defaçon
à ne pasperturber
les 3 détecteurs.4)
Il faut une corrélation vectorielleparfaite
duchamp
des bobines en 0 et au niveau des 3détecteurs,
cequi implique
des dimensions de bobines considérables.b)
SYSTÈMES AVEC BOBINES DE REPRODUCTION. -On
placera donc,
engénéral,
les 3 sondes à une distance suffisante du centre0,
defaçon
que les interactionsentre le
système
d’annulationprincipal
et l’ensemblephysique placé
en0,
d’une part, et chacun des détec-teurs de
champ
et de leurs bobinesassociées,
d’autre part,puissent
êtrenégligées (sinon corrigées
linéaire-ment),
mais minimale defaçon
à réduire l’influence dugradient
duchamp
local.Dans ce cas, on
peut envisager plusieurs possibilités :
- Aucune bobine n’est associée aux détecteurs
(on
ne compense dans ce cas que les fluctuations autour
d’une valeur moyenne
[4].
Il y a alors deux contraintes sérieuses :oc)
Il faut un détecteur dechamp
trèslinéaire, d’étalonnage
très stable(seule
est alorsacceptable
unesonde type nucléaire ou à pompage
optique) ;
03B2)
Il faut une extrême stabilité en courant(pour
lacompensation
de la valeurmoyenne).
- On utilise une méthode de contre-réaction : on est alors amené à réaliser des «
reproductions
»,plus
ou moins
complètes
dusystème
de bobinesprincipales,
centrées sur les 3 détecteurs de
champ respectifs.
Dansla
suite,
nous discutons d’emblée le cas leplus général
d’une
reproduction
«complète
».Description
deprincipe
dusystème
« matriciel »(complet)
de bobines et de ses détecteurs dechamp
associés. -- Ilcomprend :
a)
UN SYSTÈME DE BOBINES « PRINCIPAL », 3 ensem-bles de
bobines,
d’axesmagnétiques L, M,
Napproxi-
mativement
orthogonaux :
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:0197000501015900
160
représentent
leschamps magnétiques
associés aux3 ensembles
L, M,
N(j K 1
== constante dechamp;
i =
courant).
b)
TROIS SYSTÈMES DE BOBINES DE REPRODUCTION(1,
m,n),
affectés chacun à lacompensation
d’unedes 3 composantes du
champ.
Chacun de ces
systèmes
consiste en uneréplique (miniaturisée)
aussi fidèle quepossible
dusystème principal; donc,
chacun de cessystèmes comprend
3
paires
de bobines(d’axes l,
m,n).
Ausystème prin- cipal
se trouve ainsi associé lesystème
dereproduc-
tion « matriciel » suivant :
(branchement
série des bobines d’axesparallèles
à unemême
composante).
hi
=kl.l iL
+kl, m iM
+kl, n iN représente,
parexemple,
lechamp
au centre dusystème
dereproduc-
tion affecté à la
compensation
de lacomposante
L.c)
TROIS DÉTECTEURS DE CHAMP,placés
aux centresdes 3
systèmes
dereproduction.
Onpeut
les classeren sondes
(1) :
- Directives. -
Type 03B1) :
vectorielles(« fluxgate
»,« Hall »,
etc.).
Type g) :
«pseudo-vectorielles » (balances magné- tiques,
variomètres àquartz...).
On peut les
considérer,
engrossière approximation,
comme des vecteurs
( Pl, Pm, Pn).
- Scalaires. -
Type y) (résonance nucléaire,
pompage
optique, etc.)
dont onnéglige
la faibleanisotropie.
Les sondes type
y)
pour cettecompensation
vecto-rielle et certaines du
type 03B2)
nécessitent deschamps directeurs,
notés(DI, D., Dn).
Dans le casprésent,
cesont les
champs
effectifs aux centres des 3systèmes
dereproduction :
ils sont la somme dechamps
«supplé-
mentaires »
(D’, Dm, D’n)
intentionnellementappliqués [il
est alors commode d’utiliser unbobinage supplé-
mentaire sur les bobines
ki@i
i(V
i =1,
m,n) (sondes y)
ou
kit j (~
i =1=j) (sondes 03B2), déjà existantes]
et deschamps
résiduels(après compensation
au centre dusystème principal)
aux centres des 3systèmes
dereproduction.
Conditions
decompensation optimale (par
repro-duction).
- Lacompensation
seraitparfaite (quel
que soit le
type
desondes),
si les conditionssuivantes,
au
moins,
étaientremplies :
1) ( KL, KM, KN) =
base vectorielle strictement or-thogonale ;
2) a) Reproduction parfaite (en
module et suivantles 3
directions)
dusystème
de bobinesprincipal;
b)
Corrélation vectorielleparfaite
duchamp
localaux centres des 4
systèmes (a étant, sinon, ajustée
enfonction de
b) ;
3) Champs
directeurs(si nécessaires),
strictementparallèles
aux axes desbobines,
et stabilisés enmodule;
4)
Gaincyclique
infini ou,sinon,
courantsprimaires parfaitement
stabilisés(suivant
que les bobines decompensation
sont à un ou deuxbobinages,
ledeuxième étant alors destiné à la
compensation
desfluctuations
seules).
En
fait,
onpeut
effectuer un classement en condi- tions aupremier
et au deuxièmeordre;
on s’attachedonc à satisfaire au mieux aux
premières.
HYPOTHÈSES :
base vectorielle
approximativement orthogonale (on vérifie,
a
posteriori,
quel’orthogonalité
est une condition du deuxièmeordre).
On suppose la condition
4)
satisfaite(si
elle estapproximativement satisfaite,
elle neperturbera qu’au
deuxième ordre les autres
conditions).
Ceciimplique,
pour les sondes :
Type oc)
:composante parallèle
à lasonde,
fixe.Type 03B2)
: pas de rotation de l’aimant mobile.Type 03B3) :
:champ
directeur fixe(en module).
(1)
On nes’occupe
ici que de sondes mesurant le continu.Une variation AH du
champ
local(supposé
en outreuniforme)
estdécomposable univoquement
suivant lesaxes du
système principal :
0394H = 0394L + 0394M + 0394N.La
compensation
est «parfaite » si,
et seulementsi,
une variation AJ
(V J
=L, M, N)
induit :- une
composante
dechamp Kj 0394iJ égale
etopposée,
- aucune
composante « parasite » : KI Ai,
= 0(~1~ J).
Sondes
type 03B1).
- Dans ce cas, on a les conditionsapprochées :
Une variation
AL,
parexemple,
duchamp local,
induira des variations de courants
0394iL, 0394iM, 0394iN,
solutions du
système :
D’où les variations de composantes de
champ
in.duites au centre du
système principal (négligeant
de:termes d’ordre
supérieur) :
(de
mêmean,l).
Sondes
type 03B2).
- Dans ce cas, iln’y
a pasisotropie
pour les 3 directions
(1,
m,n).
L’unejoue
un rôleparticulier (verticale :
variomètres à quartz, horizon- tale : balancemagnétique verticale).
Parconstruction,
une variation du
champ
suivant cette directionprivi- légiée (n
parexemple)
n’auraqu’un
faible effet(mais
non
complètement négligeable
engénéral)
sur la sonde.Si l’on suppose cet effet
simplement
nul au deuxièmeordre
près (ce qui
estpratiquement toujours
lecas),
et avec les
hypothèses :
on trouve alors des
expressions
de0394HL, OHM,
tout àfait
analogues
à celles obtenues pour les sondestype oc).
Sondes
type y) (mêmes hypothèses
que sondestype oc) :
Écrivant 1 Dj =
constante(~j = l,
m,n),
ontrouve :
(de
mêmebn,l).
Donc ce type de sondes semble à
peine
moins favo- rable que lestypes oc)
et03B2).
Dans les
systèmes
decompensation (par
« repro- duction») [5],
ou de mesure decomposantes
dechamp (par compensation) [6],
réalisésjusqu’ici
par d’autres auteurs, les termes nondiagonaux
de(1) (cas
dessondes
directives)
sont, à notreconnaissance,
omis(c.-à-d. ki,j=0, ~ i~j).
Dans le cas de sondesscalaires,
certaines des bobines detype ki,j (i
~j)
existent forcément
(afin
de rendre la sonde scalaire« directive
»),
mais leurs courants ne sont engénéral
pas
régulés [7] (ki, j 0394ij
= 0 V i~j).
Aussi
indiquons-nous,
à titrecomparatif,
les condi-tions
(au premier ordre)
tellesqu’elles
résultent de l’étudeprécédente :
plus
lacondition,
pour les deuxsystèmes, 1 DI =
Cte(sondes y).
Lesavantages
dusystème
matriciel parrapport
ausystème diagonal,
encontrepartie
de saplus grande complexité,
découlent descomparaisons
desconditions
2).
03B1)
Leschamps
associés auxbobines ki. j (i ~ j)
onttoutes les
propriétés
d’un « vrai » vecteur, cequi
n’estpas le cas des sondes directives
Pi (propriétés
tenso-rielles, non-linéarité; etc.).
Elles ont, deplus,
un gra- dientbeaucoup plus important;
enconséquence,
lajustesse,
laprécision
et même la stabilité direction- nelle desbobines ki,j
nousparaissent
meilleures que celles des sondesPi.
03B2)
Il estpratiquement
très difficiled’aligner
unesonde
perpendiculairement à la fois
à deux directions(condition
203B1)
ouparallèlement
à une direction don-née,
tout en la rendant strictement insensible à une autrecomposante (203B2).
Ceci estremplacé
par unalignement précis
de deux bobines.y)
Lesystème matriciel,
une fois enplace, permet
leremplacement
immédiat de la sonde parn’importe
quelle
autresonde,
même d’untype
différent. Dans le cas d’une sonde « directive », il suffit del’aligner
« au deuxième ordre
près » (par exemple,
à - 1° à20
près,
pour unecompensation
à 10-3près,
au lieude 3’
près).
8)
Pour les sondes àchamp directeur, l’avantage
est notable : étant donné cette condition
d’alignement
au deuxième ordre
seulement,
on peut descendre àun
champ
directeurbeaucoup plus faible,
sansperdre
en
« justesse » ;
on verra que, dans le cas des sondesscalaires,
on gagne enstabilité,
mais surtout, dans lecas de sondes
(horizontales) type
aimantsuspendu (à
torsion
quasi nulle),
ongagne et
en sensibilité et enstabilité.
Cas des sondes à
champ
directeur. -D’après
cequi précède,
l’orientation des sondes(directives)
oudes
champs
directeurs(sondes scalaires)
est une condi-tion du deuxième ordre
(du premier
pour toutsystème
diagonal).
Or cetalignement
estfonction,
d’une part del’alignement
duchamp appliqué D’ (qu’on
peut162
considérer comme réalisé au deuxième
ordre),
et sur-tout de
celui, a priori quelconque,
du faiblechamp
résiduel
Ahi
au centre dusystème
dereproduction j (j = l, m, n).
Au
départ,
les courantsi,, iM, iN
sontajustés
defaçon
que lechamp
résiduel au centre dusystème principal
soit nul.Sondes
type y).
-Hypothèses :
On trouve :
(+ permutation sur l,
m,n) ; L, M,
Ndésignent
lescomposantes
duchamp
local.On constate que les
quantités
entre crochets nefigurent
pas dans les conditions « aupremier
ordre »indiquées plus
haut.Il en résulte que, à moins :
- ou bien de réaliser des
égalisations
et desaligne-
ments de toutes les
bobines ki,j
aupremier
ordreprès;
- ou bien d’introduire des
bobinages
correctifs(après
mesure descomposantes
résiduelles aux centres dessystèmes
dereproduction) ;
il n’est pas
possible,
sansperdre
enjustesse,
de des-cendre à un
champ
directeur inférieur en ordre degrandeur,
auchamp
terrestre(ce qui
nécessiterait alorsune stabilisation des courants
produisant D’j
excep-tionnelle,
de l’ordre de = 2 X 10-6 pour une com-pensation
à ~0,1
yprès,
parexemple).
Sondes
types
variomètres àquartz.
-Supposant (pour alléger)
l’effet d’unchamp
verticalnégligeable,
et tous les vecteurs
coplanaires,
on a( f ig. 1) :
Dans ce cas, le numérateur du
premier
terme estnul au
premier
ordre. Onpeut
doncfacilement, ici,
abaisser le
champ
directeur(par exemple
avec unecomposante N-S de N
2 X104 Y,
conserver une« jus-
tesse » en
compensation
de =10-3, avec DL N
500y).
FIG. 1. - Variomètres horizontaux.
Eyyatum : Sur la figure au lieu de NI, m, lire ~l. m.
Stabilité
dudispositif
matriciel associé à une sondetype
variomètre àquartz.
- Dans ce casparticulier
de
sonde,
la stabilité est liée à la sensibilité.On a :
a - D, (sensibilité statique) (fig. 2), [8] :
où
ALéqu représente
la variationéquivalente, parasite,
en
champ, qui
résulte desdérives rb A
du deuxièmeFIG. 2. -
Compensation
de la composante L :D’1, champ
directeurappliqué ;
Do,champ
directeurtotal
(
500y) ; Pl,
momentmagnétique
de l’aimant ; C, constante de torsion de lasuspension
de l’aimant ;!Po, azimut de torsion de l’aimant
(C/PL
2,5 y ;~0 ±
5°).
membre. On notera que la dérive de la sonde
(avec
les valeurs
expérimentales)
estpratiquement négli- geable (quelle qu’en
soit lacause),
pour deschamps
directeurs suffisamment faibles.
Conclusions. - On a montré que dans le cadre d’un
dispositif
d’annulation du vecteurchamp magnétique
terrestre, par bobines de
compensation,
lesystème
« matriciel » de bobines de
reproduction
est leplus précis
etapplicable
à touttype
de sondes.Le
type
de sondes(dans
le cadre de cesystème)
lemieux
adapté (pour
les composanteshorizontales)
consiste en de
simples
variomètres à quartz, à faiblechamp
directeur(qui
est alors stabiliséautomatique-
ment en direction et en
module).
Ces conclusions sont aussi
applicables
au cas desmesures de
composantes
dechamp
par contre-réaction.Il nous semble
qu’un dispositif
« matriciel »(si
l’onmesure en un même lieu les 3
composantes)
estplus juste (et plus cohérent) qu’un système
«diagonal »
(type
« Dürschner») [6].
Application.
- Nous avons réalisé undispositif
« matriciel » de
compensation automatique
du vecteur-champ magnétique
terrestre,d’après
l’étudeprécé- dente,
utilisant des sondestype
aimantsuspendu (à
torsion
quasi nulle) (composantes horizontales)
et type«
fluxgate » (2) (composante verticale).
Performances. -
Compensation
des fluctuations des 3composantes
à 5 + 10-3près; bruit,
résolution±
0,03
y(horizontal) ; champ
directeur ~ 2 000 y;stabilité
(48 h) : ± 0,1
y(horizontal) ; ± 0,25
y(vertical).
(2)
Sondes Fôrster ;Reutlingen (R.F.A.).
BIBLIOGRAPHIE [1] COHEN
(D.).
[2] FREEDMAN
(M. S.) et
al.,J. Appl.
Phys., 1967, 38, 1856(contient
de nombreuses références d’ensem- bles de bobines à hautehomogénéité).
[3] Par
exemple
enmagnétisme
des roches.[4] GRAHAM et GEIGER, Can.
J. Phys., 1961,
39,1357.[5] Nous ne citons ici,
parmi
les nombreusespublications
sur la
compensation
vectorielle duchamp
terrestre,que les
plus importantes (à
notreconnaissance) :
RÖSSIGER
(M.),
Die Naturwissensch., 1942, 50, 753.NAUMANN, Zeitschr. für angew. Phys., 1949, 1, 260.
SCOTT
(G. G.),
Rev. of Scient. Instrum., 1957, 28, 270.NELSON, GEBHARDT et BOTTUM, Publicat. of the U.S.
coast and