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Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/radium:01909006010501

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Texto

(1)

5

une déviation relativement

grande, puisque,

dans cette

région

d’ionisation

intense,

le

champ électrique

et par

conséquent

leur vitesse sont certainement très faible-s.

Ce n’est

qu’après

avoir traversé la cathode que ces centres auront

acquis

la vitesse

correspondant

à la

chute de

potentiel totale;

on aura alors un faisceau

de rayons

positifs qu’on

ne pourra

plus

dévier à l’aide

d’un

simple

aimant.

11 est facile de voir aussi que, dans cette

hypothèse,

toute modification de

l’ionisatinn, produite

au

voisinage

de la cathode c’ par les rayons canaux et par les rayons

cathodiques provenant

de la

partie supérieure

du

tube,

doit. entrainer une modification de l’intensité des rayons

positifs

de viables et

peut-être

aussi de leur

déviation, puisqu’en

modifiant l’intensité ou la ré-

partition

de

l’ionisation,

on modifiera la

répartition

du

champ électrique.

Il

peut

se faire

qu’en supprimant

les rayons

cathodiques

ou les ravons canaux, le nombre des rayons déviables devienne

trop petit

pour que la tache lnmineuse

qu’ils produisent

sur l’écran soit

visible.

La cathode

employée

étant très

petite

par

rapport

aux dimensions du tube

(du

côté de

l’anode),

et la

surface des ouvertures

percées

dans cette cathode

étant

grande

par

rapport

à sa surface totale (surtout

quand

elle est formée d’un

simple

anneau de

fil),

les

lignes

de force

divergent

à

partir

de la cathode, et

cette

divergence

doit favoriser la déviation. Dans un

tube à cathode

large,

avec

petites

ouvertures. les

lignes

de force ne

divergent

sensiblement pas. de sorte que la déviation sera

plus

difficile à obtenir. Toutefois

on

peut

observer une déviation très nette des rayons

canaux dans un tube du modèle ordinaire à cathode

perforée

si l’on fait

agir

un aimant sur li cathode,

surtout dcl côté

anodique, alors que

cet aimant est

sans action

lorsqu’on

le fait

agir

sur le faisceau de rayons canaux.

Cette déviation a été observée maintes fois par dif- férentes personnPs sur un tube à rayons canaux appar- tenant au Laboratoire de

physique du Collège

de

France,

tube

cylindrique

dont la cathode a un diamètre de l’ordre de 5 centimètres.

Les

expériences

de M. Jean

Becquerel

ne nécessi-

tent donc pas

l’hypothèse

que le faisceau déviable est formé d’électrons

positifs analogues

aux électrons né-

gatifs,

il est

plus probable

que les centres

positifs qui

le constituent sont

identiques

à ceux des rayons canaux.

[Reçu le 5 janvier].

MÉMOIRES TRADUITS

Sur le rayonnement de l’uranium X

Par H. W. SCHMIDT [Institut de Physique. Université de Giessen.]

I.

Préparation

de l’uranium X.

Pour

séparer

l’uranium X de

l’uranium,

on a

employé principalement

deux méthodes : celle de Moore-Schlundt 1 et celle de Levin 2. Toutes deux sont des méthodes d’entrainement. Dans la

première)

la

substance

qui produit

l’entrainement est

l’hydrate

fer-

rique (fraîchement précipité)

en milieu

organique,

par

exemple,

dans l’acétonc ; la méthode de Levin

emploie

le noir animal.

Les deux méthodes donnent l’uranium X presque entièrement

exempt

d’uranium et fournissent des

préparations

relativement

intenses, permettant,

par

exemple,

d’étudier dans des limites

étendues, l’absorp-

tion des rayons par la matière solide. Pour certaines recherches, l’activité

spécifique

obtenue de la sorte ne

suffit pas, car il ne faut pas que la substance entrai-

1. Ci. B. MOORE et H. SCHLUNDT, Le Radium, 3-1906-3J2.

2. 1L LEVIN. Phys. Zeitschr. 7-1906-692.

nante soit en

quantité trop

faible si l’on veut un bon rendement.

Or,

la

préparation

d’uraniu111 X aussi pure que pos- sible offre un

grand

intérêt, car l’uranium X est le

seul des corps à vie relativement

longue qui

émettent

exclusivement des

rayons 6

et l’on ne soit pas

gêné

par le

rayonnement

des

produits

ultérieurs. La calcination du noir animal donne des activités

spé- cifiques intenses,

mais encore insuffisantes pour le but que

j’avais

en vue. J’ai donc

essayé

de concentrer

l’uranium X différemment en combinant la méthode de Moore-Schlundt avec l’ancien

procédé

de

Becquerel (précipitation

de l’uranium X par le sulfate de

baryum).

J’ai fait bouillir.

l’hydrate ferrique

activé dans l’acide

chlorhydrique, j’ai ajouté

un cristal de chlorure de

baryum

et

j’ai précipité

le

baryum

à l’état de sulfate par l’acide

sulfurique

étendu. Cette méthode ne per- met pas

d’extraire,

avec le sulfate de

baryum,

la tota-

lité de l’uranium X

présent :

mais toutefois, à

poid"

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(2)

6

égal.

les

produits

obtenus sont 5000 fois

plus

actifs

que le nitrate d’uranium dont on est

parti.

II, Déviation

magnétique

des rayons

B.

Avec une

préparation

de ce

genre, j’ai

pu déter- minier la déviation

magnétique

des rayons

pénétrants.

de 1 uranium X. J’ai

employé

la méthode

déjà

décrite

par moi et

employée

dans le cas du radium E1. Dans

la fente d’un aimant annulaire on met un

diaphragme,

constitué par trois lames de laiton solidaires entre elles et fendues de telle

façon

que les coupures se trouvent sur un cercle de 2 cm. 20 de rayon

perpendi-

culaire aux

lignes

de force

magnétiques.

La

prépara-

tion est

placée

sur la fente de la lame horizontale.

Pour un

champ magnétique convenable,

la

trajectoire

des

rayons 8

est un cercle de 2 cm. 20 de rayon, et

il y

a un maximum de

rayonnement

sortant par le

trou du

diaphragme

vertical. Ce maximum s’observe a l’aide d’un

électroscope placé

en face de ce trou.

Pour faire les mesures, on suivait le mouvement de la feuille

pendant

10 divisions alternativement sous

champ

nul et sous un

champ

donné. Comme on obser- vait le passage de la

feuille

de division en

division,

il était

possible

par des méthodes de moyennes, d’obtenir un résultat relativement exact. Il

fallait,

en

effet,

recller- cher la

précision maximum,

car le

changement

du

champ

n’avait

qu’un

faible effet sur l’intensité mesurée. Dans le cas le

plus favorable,

en

effet,

la

perte

de l’élec-

troscope

était seulement

triplée quand

on

passait

du

champ

nul au

champ

donnant le maximum. Ceci tenait à la

déperdition spontanée,

et

plus

encore au peu d’activité de la

préparation.

Avec une

préparation plus

active,

les conditions auraient été certainement

plus

favorables.

D’ailleurs,

par

dispersion

et diffusion sur

le

diaphragme,

if

pénétrait,

même sous

champ nul,

des rayons de la

préparation

dans

l’électroscope.

On

jugera

de l’exactitude des mesures par la série suivante oil 1

désigne

l’intensité du courant

magnéti-

sant en

ampères,

Z la

déperdition

observée en valeur

relatives.

Les nombres montrent que sous le

champ

o, les

valeurs observés

présentent

un écart maximum de 5 pour 100 par

rapport

à la moyenne. La valeur pro- bable de l’erreur pour le

champ

intense est doncinfé-

1. Il. ,Y. Schmidt, Phys. Zeitschr.. 8-1907 -361.

rieure à 3 pour

100,

car

quand

les valeurs absolues

augmentent,

la

précision

relative des mesures de dis-

persion

s’accroît.

On a fait en tout trois séries de lectures dans des conditions voisines. Les résultals sont

représentes

Fig. 1.

figure 1,

les ordonnées

représentent les déperditions corrigées

de la

perte spontanée.

La

figure

1’ montre

que, dans

les trois

séries,

on a

un maximum d’aclivité pour

1,40 ampère,

ce

qui

cor-

respond

à un

champ

de 1870 Gauss.

Or,

on sait

qu’on

a

oû R

désigne

le rayon de courbure de la

trajectoire.

(ici 2

cm.

20)

et v la vitesse. D’autre

part,

les mesures

de Bucherer ont établi

qu’on peut

poser avec Lorentz

et comme les mesures très

soignées

de Bucherer ont

Si l’on

prenait

comme base les mesures de Iiaut-

mann, on trouverait les nombres peu différents :

très voisins des valeurs extrêmes de Kaufmann

Ce résultat était à

prévoir.

Car les rayons les

plus

(3)

7 rapides

du radium

dépassent

à

peine

en

pénétration

ceux de l’uranium. C est ainsi que le

coefficient d’ahsorp-

tionatraversiainminiumest

pour les rayons les

plus rapides

du radium et

pour les rayons

homogènes

de l’uranium.

Pour les rayons

homogènes

du radium E

(03BC.

= 40

cm -1)

on avait trouvé

précédemment

dans les

mêmes conditions un

champ critique

de 990 Gauss donnant pour v

et e m

selon

qu’on part

des résultats de Kaufmann ou de Lorentz, les valeurs

III. Le rayonnement mou.

Outre les

rayons

dont il vient d’être

question

et

pour

lesquels 03BC=14,4cm-1,

l’uranium X émet aussi un

rayonnement

peu

pénétrant.

Celui-ci a été

regardé

par Moore-Schlundt et par Hess comme un

rayonnement

a, par Levin comme un

rayonnement B.

Hess se fonde sur des mesures

d’absorption,

Levin sur

des mesures

d’absorption

combinées avec des dévia- tions

magnétiques.

On

peut

considérer comme démon- tré par les recherches de Levin que le

rayonnement

en

question

est facilement déviable et n’est pas un

rayonnement

a. On n’a pas encore démontré que la déviation a lieu dans le sens des rayons

B

Il resterait aussi à chercher une base

expérimentale

à

l’hypothèse

de

Levin,

que le

rayonnement

mou est libéré par

l’action du

rayonnement B

ordinaire. J’ai fait

quelques expériences

concernant le

rayonnement peu pénétrant.

Fig .2.

a) Mesures

d’absorption.

-

Quelques milligrammes

d’uranium X,

préparé

comme il a été

indiqué,

sont

déposés

par

évaporation

d’une solution diluée de

1. H. W. SCHMIDT. Phys. Zeilscltl’., 8-1907-361.

mastic dans le chloroforle sur une feuille d’altiiiii- nium de 0,003 mm

d’épaisseur

environ et de 2,3 cni

de diamètre. Cette

feuille,

la couche active en haut,

est

placée,

avec

interposition

d’autres

feuilles,

sur un

électroscope

u

cy lindre

ou vert

que j ai

décrit ailleurs’.

Le

cylindre déperditeur

a 7 cm. de haut et 7 en1. de

large.

Pour rendre les feuilles

unies,

on les

posait

sur

une couronne de carton

rigide

et on les lestait avec un

anneau de

plomb,

dont les dimensions sont calculées de

façon

à ne pas introduire de réflexions

gênantes.

Les résultats sont

représentes figure

2. Les courbes

en coordonnées

logarithmiques

coincident

parfaitement

avec celles de Levin et confirment l’existence d’un

rayonnement

mou

superposé

a un

rayonnement plus pénétrant.

J’ai

essayé

de

représenter

les courbes par une

expression

de la forme

et

j’ai

trouvé, à la suite d’un calcul

d’interpolation

Le tableau suivant montre l’accord excellent entre les nombres observés et calculés

16 feuilles = 1 lame

= 0,096

mm.

Je

puis signaler

ici une cause d’incertitude dans la détermination

numérique

de p. Si l’on

calcule,

sui-

’Tant

l’usage, l’épaisseur

des feuilles d’aluminium

d’après

leur

poids,

leur surface et leur

densité,

on

trouve la valseur

0,00564

mm. Or 16

feuilles, équi-

yalentes à

0,0583

Illlll,

produisaient

un effet iden-

tique

à celui d’une lame de 0,096 111111

d’épaisseur.

Manifestement

il y

a ici un effet de la

multiplieité

des

surfaces. J’ai

déjà signalé

autrefois un désaccord du

même genre dans des mesures faites sur le

radium,

et

je

crois

pouvoir

maintenant

expliquer

cette ano-

1. Il. Qi. SHMIDT. Phys. Zeitschr.. 6-1905-362.

(4)

8

malie à l’aide des résultats de McClelland. McCleHand

a

envoyé

les rayons

j3

du radium

obliquement

sur une

lame

métallique,

et a trouvé dans le

plan

d’incidence

une direction de réflexion maxima sur l’autre côté de la normale. Il

n’y

a donc pas diffusion uniforme des rayons, mais réflexion avec direction

privilégiée. Quelle

que soit la cause de cette

dissymétrie,

elle rend pro- bable un accroissement de diffusion des rayons latéra- lement et vers l’arrière. Dans le tableau ci-dessous on a

pris

comme

épaisseur

de base celle

qui

résulte de la

comparaison

directe de 16 feuilles d’aluminium avec une lame.

La loi

exponentielle (5)

est

déjà

par elle-même un

argument

en faveur de l’existence d’un

rayonnement

mou. Mais des mesures

d’absorption

avec des filtres extrêmement minces

peuvent

facilement induire en erreur. Levin a cherché à résoudre la

question

en fai-

sant

parcourir

au; rayons, avant leur arrivée dans la chambre

d’ionisation, quelques

centimètres dans

l’air;

des rayons u devraient être

complètement

arrètés de la

sorte.

Or,

on n’a constaté

qu’une

diminution du rayon- nement mou. C’est aussi ce

qui

ressort de

l’expérience représentée par la

courbe b

(fig. 2),

la

préparation

active était à 5 centimètres au-dessus du

récipient

d’ionisation recouvert de filtres. Il est donc certain que les rayons mous de l’uranium X ne

peuvent

être des rayons Ot.

b)

Mesures dans le

champ magnétique.

-

Que

ces

rayons sont véritablement des

rayons B,

c’est ce

qn’on

Fig.5.

a pu établir

d’après

le sens de leur

déviation

magnétique.

On a

découpé

une bande de 1 centimètre de

large

et 5 centimètres de

long

dans un filtre

contenant une

quantité

à

peine pondé-

rable de sulfate de

baryum

actif. Cette bande a été

posée

sur un

diaphragme

de carton

mince, représenté

en coupe

figure

3. Ce

diaphragme

a,

perpendi-

culairement au

plan

de la

figure,

1

centimètre de haut et

s’ajuste

dans

l’entrefer de l’électro-aimant. On a

pris

du carton mince pour arrêter

complètement

les rayons mous de l’ura- nium X sans

absorberd’unefaçon

sensible les

rayons

durs. Les rayons traversant les ouvertures du dia-

phragme

tombent sur un

récipient

a

déperdition

de

forme

spéciale, portant

sur la face en

regard

du dia-

phragme

une fente recouverte d’aluminium mince. Si l’on excite le

champ (normal

au

plan

de la

figure),

la dé-

perdition

diminue comme

l’indique

le tableau ci-des-

sous,

qui

contient une série d’observations successives :

11 y a une différence selon le sens

(/ /)

du

champ :

la

déperdition

diminue moins

quand

le

champ s’éloigne

de l’observateur

( ).

C’est une preuve que

la

pellicule

active émet des

particules négatives.

Et

que ces

particnles

sont

identiques

aux rayons mous, c’est ce que prouve une

expérience

de

contrôle, égale-

ment

consignée

dans le

tableau,

et consistant à inter- poser un carton mince devant la fenêtre d’aluminium

duréciprent déperditeur.Un

semblable écran arrête les rayons mous sans

agir

sur les autres. Ici il

n’y

a

plus

de

différence,

que le

champ

soit excité ou non.

[La

dernière

partie

du mémoire de fiI. Schmidt com-

prend

l’étude

expérimentale

et

théorique

du

pouvoir

absorbant et réflecteur des métaux pour les

rayons B

de l’uranium X. L’auteur

développe

une théorie per-

sonnelle,

un peu

simplifiée, qui

le conduit à

prévoir

selon les conditions

expérimentales

et

l’épaisseur

des

substances

employées,

soit un accord

soit,un

désaccord

avec la loi

purenient exponentielle.

Malheureusement

ces

prévisions

ne

paraissent

pas confirmées par les

courbes" expérimentales ,

et les raisons que donne

M. Schmidt de ces

divergences

restent nécessairement

un peu vagues. Disons toutefois

qu’il

s’attache un

grand

intérêt à

ce fait,

nettement mis en évidence par M.

Schmidt,

que la valeur

apparente

du coefficient

d’absorption dépend,

dans une mesure

importante,

des

conditions où l’on

opère,

le

voisinage

d’écrans réflec-

teurs

pouvant

faire varier les nombres obtenus pour 03BC.

de

58,7

cm-1 à 62,3 cin- 1 dans une série

d’expé- riences,

de

14,0

cm-1 à

17,1

cm-1 dans une autre.

La détermination du

pouvoir

réflecteur se heurte à des difficultés du même genre et ne

permet

que l’es- timation de limites inférieures assez

grossières.!

[Reçu le 5 Janvier]

[Traduction et extraits par L. BLocn.]

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