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ENTREPRISES LIBYENNES ET DE SES DETERMINANTS

CHAPITRE 5 ASPECTS MÉTHODOLOGIQUES DE NOTRE ÉTUDE EMPIRIQUE

5.4. La méthodologie de valorisation de la liste d’items

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• Société Brega de commercialisation du pétrole

• Société Libyana de mobile

• Société AlmadarAlgadid de mobile

Les sociétés publiques

• Société nationale de transport maritime

• Société aire Afriqiyah

• Public Electrical Works Company

• Société de pétrochimie

• Société libyenne des camions et autobus

• Société pétrolière Breven de services

• Société libyenne de constructions électriques

• Société pétrolière Almoutawasat de services

• Société pétrolière Gaummin de services

• Société consultative nationale

• Société Almoutawasat de services en génie

• Société nationale de communication

• Société Albaharalmoutawassate de construction

• Société sirte de développement

• Société Alkalijj de construction

• Société d’eau naturelle

• Société hôtelière

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dichotomique). La liste d’items est faite sous forme de questionnaire distribué aux groupes d’utilisateurs sélectionnés (experts comptables,

items a été présenté de manière aléatoire comme l’a suggéré Oppenheim, 1966.

Les répondants étaient invités à attribuer une note à chaque item selon une échelle de 1 à 5 aux 83 items de notre liste qui leur

degré d’accord, de la part du répondant, à une affirmation qui décrit un phénomène, un item ou un traitement. L’échelle de Likert fournit une mesure de l’attitude qui peut être qualifiée de mesure de niveau d’intervalles. Cela permet de calculer la note moyenne et l’écart

nombre de points d’une échelle de Likert est en général impair (5 ou 7).

Notre échelle est inspirée des études de McNally et al. (1982) et de Buzby (1974) qui ont mesuré la perception des utilisateurs de rapports annuels à travers une échelle de Likert à 5 points. L’attribution des notes est fondée sur une échelle de 1 à 5 (1 très important, 5 pas du tout important), la note la plus faible indique que l’utilisateur acco

à l’item dans sa prise de décision. Un item obtenant une note plus proche de (1) doit être considéré comme essentiel. Comme la méthode de pondération ne peut pas éviter le biais de la subjectivité, nous allons utiliser la méthode

l’équipondération est utile pour éviter ce biais. Ce système consiste à vérifier la présence de l’item dans le rapport annuel, dans ce cas nous lui attribuons une note égale à 1 et, dans le cas inverse, c'est-à-dire absence de l’item, nous lui donnons 0.

diffusion comme suit :

Avec, STj : le score total de l’entreprise j, n : le nombre d’items dans l’indice

Si : score de l’item i s’il est publié, dans le cas contraire 0.

Cependant, il y a des items qui ne paraissent pas dans le rapport annuel de certaines entreprises puisqu’ils ne sont pas applicables à toutes les entreprises, compte tenu de la nature de leurs activités ou de circonstances particulières. Dans ce cas, un score théorique es

pour chaque entreprise, ce qui correspond au score maximum. L’indice de divulgation est obtenu en rapportant le score total au score théorique

dichotomique). La liste d’items est faite sous forme de questionnaire distribué aux groupes d’utilisateurs sélectionnés (experts comptables, analystes financiers). Le questionnaire des items a été présenté de manière aléatoire comme l’a suggéré Oppenheim, 1966.

Les répondants étaient invités à attribuer une note à chaque item selon une échelle de 1 à 5 aux 83 items de notre liste qui leur était présentée. L’échelle de Likert mesure l’intensité ou le degré d’accord, de la part du répondant, à une affirmation qui décrit un phénomène, un item ou un traitement. L’échelle de Likert fournit une mesure de l’attitude qui peut être qualifiée de

re de niveau d’intervalles. Cela permet de calculer la note moyenne et l’écart nombre de points d’une échelle de Likert est en général impair (5 ou 7).

Notre échelle est inspirée des études de McNally et al. (1982) et de Buzby (1974) qui ont ré la perception des utilisateurs de rapports annuels à travers une échelle de Likert à 5 points. L’attribution des notes est fondée sur une échelle de 1 à 5 (1 très important, 5 pas du tout important), la note la plus faible indique que l’utilisateur accorde une grande importance à l’item dans sa prise de décision. Un item obtenant une note plus proche de (1) doit être considéré comme essentiel. Comme la méthode de pondération ne peut pas éviter le biais de la subjectivité, nous allons utiliser la méthode de l’équipondération. Le système de l’équipondération est utile pour éviter ce biais. Ce système consiste à vérifier la présence de l’item dans le rapport annuel, dans ce cas nous lui attribuons une note égale à 1 et, dans le cas nce de l’item, nous lui donnons 0. On calcule le score total de la

: le score total de l’entreprise j, : le nombre d’items dans l’indice

: score de l’item i s’il est publié, dans le cas contraire 0.

a des items qui ne paraissent pas dans le rapport annuel de certaines entreprises puisqu’ils ne sont pas applicables à toutes les entreprises, compte tenu de la nature de leurs activités ou de circonstances particulières. Dans ce cas, un score théorique es

pour chaque entreprise, ce qui correspond au score maximum. L’indice de divulgation est obtenu en rapportant le score total au score théorique :

dichotomique). La liste d’items est faite sous forme de questionnaire distribué aux groupes analystes financiers). Le questionnaire des items a été présenté de manière aléatoire comme l’a suggéré Oppenheim, 1966.

Les répondants étaient invités à attribuer une note à chaque item selon une échelle de 1 à 5 . L’échelle de Likert mesure l’intensité ou le degré d’accord, de la part du répondant, à une affirmation qui décrit un phénomène, un item ou un traitement. L’échelle de Likert fournit une mesure de l’attitude qui peut être qualifiée de re de niveau d’intervalles. Cela permet de calculer la note moyenne et l’écart-type. Le

Notre échelle est inspirée des études de McNally et al. (1982) et de Buzby (1974) qui ont ré la perception des utilisateurs de rapports annuels à travers une échelle de Likert à 5 points. L’attribution des notes est fondée sur une échelle de 1 à 5 (1 très important, 5 pas du rde une grande importance à l’item dans sa prise de décision. Un item obtenant une note plus proche de (1) doit être considéré comme essentiel. Comme la méthode de pondération ne peut pas éviter le biais de de l’équipondération. Le système de l’équipondération est utile pour éviter ce biais. Ce système consiste à vérifier la présence de l’item dans le rapport annuel, dans ce cas nous lui attribuons une note égale à 1 et, dans le cas On calcule le score total de la

a des items qui ne paraissent pas dans le rapport annuel de certaines entreprises puisqu’ils ne sont pas applicables à toutes les entreprises, compte tenu de la nature de leurs activités ou de circonstances particulières. Dans ce cas, un score théorique est calculé pour chaque entreprise, ce qui correspond au score maximum. L’indice de divulgation est

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Avec, SThj : score théorique de l’entreprise j.

: le nombre d’items que l’entreprise j peut publier avec Indice de divulgation " = #$&%#$%

La division du score total (la somme des points qu’aurait dû obtenir le rapport) par le score théorique (la somme des moyennes attribuées aux items par les u

d’obtenir un indice qu’on appellera indice de qualité. Le score total et le score théorique permettent de comparer l’offre et la demande alors que l’indice de qualité permet de comparer la qualité du rapport annuel d’une entrepr

Selon différents auteurs, la pondération présente plusieurs limites potentielles présenter.

• Les pondérations sont faites sur la base d’un questionnaire sans compte rendu ni conséquence économique pour les répond

ne pas refléter la réelle utilisation que font les utilisateurs de chaque item.

• La pondération des items par un groupe ou par plusieurs peut être différente selon l’importance qu’un groupe accorde à un item, pa

connaissance de groupe en comptabilité financière.

• La pondération des items peut différer selon l’environnement économique, politique, culturel et éducatif, d’un pays à l’autre, et entre les pays développés et les pays en voie de développement.

La vérification de la présence d’items dans le rapport annuel est réalisée par le chercheur lui même. L’attribution des points aux items dépend naturellement de sa présence et de son absence. Certains auteurs soulignent que cette

et Shrives, 1991). Pour éviter ce reproche, il est demandé de procéder à une vérification de la fiabilité de l’attribution des points aux items par d’autres personnes que

même.

Score théorique j = Si

1

2 3

: score théorique de l’entreprise j.

nombre d’items que l’entreprise j peut publier avec

#$%

%

La division du score total (la somme des points qu’aurait dû obtenir le rapport) par le score théorique (la somme des moyennes attribuées aux items par les utilisateurs) nous permettra d’obtenir un indice qu’on appellera indice de qualité. Le score total et le score théorique permettent de comparer l’offre et la demande alors que l’indice de qualité permet de comparer la qualité du rapport annuel d’une entreprise à l’autre (Cook, 1989).

Selon différents auteurs, la pondération présente plusieurs limites potentielles

Les pondérations sont faites sur la base d’un questionnaire sans compte rendu ni conséquence économique pour les répondants. Elles peuvent ne pas être objectives et ne pas refléter la réelle utilisation que font les utilisateurs de chaque item.

La pondération des items par un groupe ou par plusieurs peut être différente selon l’importance qu’un groupe accorde à un item, par exemple selon son niveau de connaissance de groupe en comptabilité financière.

La pondération des items peut différer selon l’environnement économique, politique, culturel et éducatif, d’un pays à l’autre, et entre les pays développés et les pays en voie

La vérification de la présence d’items dans le rapport annuel est réalisée par le chercheur lui même. L’attribution des points aux items dépend naturellement de sa présence et de son absence. Certains auteurs soulignent que cette démarche ne se fait pas sans partialité (Marston et Shrives, 1991). Pour éviter ce reproche, il est demandé de procéder à une vérification de la fiabilité de l’attribution des points aux items par d’autres personnes que

La division du score total (la somme des points qu’aurait dû obtenir le rapport) par le score tilisateurs) nous permettra d’obtenir un indice qu’on appellera indice de qualité. Le score total et le score théorique permettent de comparer l’offre et la demande alors que l’indice de qualité permet de comparer

Selon différents auteurs, la pondération présente plusieurs limites potentielles que nous allons

Les pondérations sont faites sur la base d’un questionnaire sans compte rendu ni ants. Elles peuvent ne pas être objectives et ne pas refléter la réelle utilisation que font les utilisateurs de chaque item.

La pondération des items par un groupe ou par plusieurs peut être différente selon r exemple selon son niveau de

La pondération des items peut différer selon l’environnement économique, politique, culturel et éducatif, d’un pays à l’autre, et entre les pays développés et les pays en voie

La vérification de la présence d’items dans le rapport annuel est réalisée par le chercheur lui- même. L’attribution des points aux items dépend naturellement de sa présence et de son

démarche ne se fait pas sans partialité (Marston et Shrives, 1991). Pour éviter ce reproche, il est demandé de procéder à une vérification de la fiabilité de l’attribution des points aux items par d’autres personnes que le chercheur lui-

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5.4. 1. L es méthod es sta tis tiqu es mis es en œuv re

Afin de mesurer la qualité de l’information financière diffusée dans les rapports annuels, nous avons utilisé le logiciel Stata11.

L’analyse statistique descriptive donne des indications sur le phénomène étudié et notre analyse des réponses comporte les étapes suivantes :

1) la moyenne arithmétique est utilisée pour déterminer le poids que leur attribuent les experts comptables et les analystes financiers, poids qui consiste à additionner une suite de nombres et à diviser le résultat obtenu par le nombre d’observations

2) pour analyser la structure des scores d’indice, les indicateurs sont la variance, l’écart- type, le coefficient de symétrie pour la moyenne et le kurtosis

3) une analyse de la représentativité des résultats par rapport à l’attitude des experts comptables et des analystes financiers (validité et description) est effectuée

4) une analyse est aussi effectuée au niveau des sections des scores (présentation de l’entreprise, éléments sur la situation économique du groupe, éléments sur la situation financière de l’entreprise, éléments sur les perspectives de développement et les prévisions de l’entreprise, référentiels et principes et méthodes comptables adoptés, informations segmentées).

Un nombre limité d’hypothèses a fait l’objet d’une validation empirique. La plupart des hypothèses proviennent d’études antérieures. Notre étude empirique propose une mise en perspective sur 3 ans. De plus, le contexte économique et culturel est différent dans les pays en développement ; c'est le cas de la Libye, pays qui est, de plus, en pleine transition vers l’économie de marché. Nous avons choisi 11 séries de facteurs explicatifs. Notre méthodologie statistique définie suit la démarche utilisée dans les études antérieures.

5.4. 2. L a méth ode d’évalua tion du ni v eau d ’ha rmonis ati o n des ch oix des méthod es co mp tabl es

Afin d’évaluer le niveau de l’harmonisation des choix comptables des entreprises libyennes, nous allons utiliser une méthode d’indice mais qui est différente de celle que nous venons d’introduire.

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5.4. 2.1 . La méthod e de l ’indi ce C et le tes t d e Khi -deu x

Inspirée par Van der Tas (1988), cette méthode a été développée par Archer et al. (1995) afin d’apprécier le niveau d’harmonisation au sein des rapports annuels. Nous allons calculer l’indice C et la distance du khi-deux pour mesurer le niveau d’harmonisation au sein des entreprises libyennes. Ainsi, le test du khi-deux suggéré par Tay et Parker (1990) permet d’avoir un avis sur la signification de différences. Notre objectif est de mesurer le niveau d’harmonisation afin d’apporter un jugement sur l’harmonisation entre les entreprises.

5.4. 2.2 . L es cri tères des ch oix d es méth odes co mp tabl es et la s él ection de l’échan till on

Afin de mesurer le niveau d’harmonisation comptable entre les entreprises libyennes dans leur présentation des rapports annuels, nous avons choisi 11 sujets relatifs au choix des méthodes comptables :

1). la forme du bilan

2). la forme du compte de résultat

3). le classement des charges du compte de résultat 4). le modèle du tableau de financement

5). le classement des dettes

6). la comptabilisation des impôts différés 7). la méthode d’évaluation

8). la méthode d’amortissement

9). la méthode de la valorisation des stocks

10). le traitement des provisions pour indemnités de départ ou complément de retraite 11). le traitement de dépenses de recherche et développement

Afin de mesurer le niveau d’harmonisation au sein des entreprises libyennes, nous utilisons un échantillon de (45 entreprises) de l’année 2009.

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