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Les méthodes utilisées pour mesurer le degré de l’harmonisation au sein du rapport annuel

CONCLUSION DU CHAPITRE 3

CHAPITRE 4 MESURE DE LA QUALITÉ DE L’OFFRE D’INFORMATIONS COMPTABLES ET

4.2. Les méthodes utilisées pour mesurer le degré de l’harmonisation au sein du rapport annuel

De nombreuses études ont contribué à la recherche afin de mesurer le degré d’harmonisation.

Dans ce sens, Van der Tas (1988) semble le premier, dans ce domaine, qui ait considérablement contribué à faire avancer la recherche en matière de mesure d’harmonisation des pratiques en développant trois indices. Il a mesuré le degré d’harmonisation des pratiques comptables dans trois pays (Pays-Bas, Grande-Bretagne, États- Unis) durant la période 1968-1985, en utilisant des données nationales concernant les impôts, à partir d’un échantillon de 199-293 entreprises en Grande-Bretagne entre 1968 et 1980, et un échantillon de 81-116 entreprises aux Pays-Bas entre 1978 et 1984 et un échantillon de 281- 596 aux États-Unis pendant la période de 1965 à 1984. En ce qui concerne les méthodes d'évaluation des actifs fixes (terrains, bâtiments), l’auteur a utilisé un échantillon de 111-112 entreprises entre 1976 et 1985 aux Pays-Bas.

Van der Tas a utilisé l’indice de Herfindahl qui est une inspiration des calculs utilisés dans l’économie industrielle et dans le monopole. L’indice H ou indice de Herfindahl permet de mesurer l'harmonisation nationale, l’indice C est l’indice de comparabilité et l’indice I est l’indice international. Chacun de ces indices permet de calculer des degrés d’harmonisation à

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une date donnée. Ils permettent de mettre à jour les différents domaines comptables et les raisons pour lesquelles l’harmonisation n’a pas encore été faite. Ces indices nous permettent de savoir à quel point l’harmonisation s’est effectivement réalisée. L’idée de Van der Tas est que l’harmonisation correspond à l’augmentation du degré de comparabilité ; en conséquence, la comparabilité peut être considérée comme une augmentation du degré de consensus face à plusieurs alternatives concernant le choix entre les différentes méthodes de traitement comptable d’un item dans les rapports financiers annuels. Enfin, les organisations de normalisation peuvent utiliser ces indices fournis afin de mesurer leurs impacts sur l’harmonisation dans le temps et d’en connaître les causes. Chacun des trois indices développés par Van der Tas remplit une fonction bien précise.

H indice d’Herfindahl : Cet indice permet de mesurer, au sein d’un même pays, le degré de l’harmonisation relative au traitement comptable d’un item. Cette méthode est calculée par la pondération des fréquences des méthodes existantes les unes par rapport aux autres, cela signifie qu’une méthode plus utilisée obtient un poids plus important que les autres.

Il peut être calculé selon la formule suivante :

H = Pi ²

• H = Index Hirchman-Herfindahl ;

• N = Nombre de méthodes possibles ;

• Pi = Fréquence d’utilisation de la méthode i.

L’indice augmente lorsque les entreprises se concentrent sur une méthode en particulier ou sur un nombre limité de méthodes, ce qui permet de traduire une croissance dans le degré de consensus qui peut varier de 0 (pas d'harmonie puisqu’il existe un nombre infini de méthodes alternatives avec la même fréquence) et 1 (toutes les entreprises utilisent la même méthode, ce qui signifie la présence d’une harmonie totale). L’auteur a proposé un autre indice qui va prendre en considération les entreprises qui appliquent plusieurs méthodes (coûts historiques, coûts du marché) ou qui donnent des informations, par exemple dans l’annexe. Pour cela, Van der Tas (1988) a proposé un autre indice.

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=

• Xj= nombre d’entreprises

• k = le nombre de méthodes comptables

• n = le nombre total d’entreprises.

Ou

• n = le nombre total d’entreprises

• i = le nombre de méthodes comptables

L’indice C offre une possibilité pour dans l’échantillon, soient comparables

des entreprises dans un pays donné ou sur un échantillon international considéré globalement.

Van der Tas montre que si le nombre

entreprise utilise une seule méthode, alors la valeur de l’indice C converge vers celle de l’indice H. Le résultat est un indice allant de 0 à 1. Ces indices ne prenne

nationalité de l’entreprise, aussi Van der Tas a international.

L’indice I qui permet de mesurer un degré d’harmonisation sur un plan international.

• H= l’indice de Herfindahl

• n = le nombre de méthodes comptables alternatives

• Pi = la fréquence relative de la méthode comptable i.

= = à

Xj= nombre d’entreprises utilisant la méthode j ; k = le nombre de méthodes comptables ;

n = le nombre total d’entreprises.

n = le nombre total d’entreprises i = le nombre de méthodes comptables

L’indice C offre une possibilité pour que les états financiers de deux sociétés, prises au hasard dans l’échantillon, soient comparables ; il permet ainsi de mesurer le degré de l’harmonisation des entreprises dans un pays donné ou sur un échantillon international considéré globalement.

der Tas montre que si le nombre des états financiers étudiés est important et que chaque entreprise utilise une seule méthode, alors la valeur de l’indice C converge vers celle de l’indice H. Le résultat est un indice allant de 0 à 1. Ces indices ne prennent pas en compte la nationalité de l’entreprise, aussi Van der Tas a-t-il développé un autre indice dit indice

qui permet de mesurer un degré d’harmonisation sur un plan international.

H= l’indice de Herfindahl

nombre de méthodes comptables alternatives

= la fréquence relative de la méthode comptable i.

que les états financiers de deux sociétés, prises au hasard

; il permet ainsi de mesurer le degré de l’harmonisation des entreprises dans un pays donné ou sur un échantillon international considéré globalement.

des états financiers étudiés est important et que chaque entreprise utilise une seule méthode, alors la valeur de l’indice C converge vers celle de nt pas en compte la il développé un autre indice dit indice

qui permet de mesurer un degré d’harmonisation sur un plan international.

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Et dans le cas où il y a plus de deux pays, l’indice sera formulé comme suit :

= × × … × ͫ /

fi = la fréquence relative de l’application d’une méthode i dans le pays m ;

• n = le nombre de méthodes comptables alternatives ;

• m = nombre de pays.

Lorsque le nombre de pays étudiés est important, cet indice tend vers 0, l’auteur propose donc d’appliquer un indice ajusté.

∗ = /

Le résultat est un indice allant de 0 à 1 indiquant le niveau de l'harmonie internationale.

Van der Tas (1992b) a déclaré que l’indice C a pour objectif de comprendre l'effet des multiples rapports et de la diffusion des informations supplémentaires. En outre, il s'agit d'un simple ratio avec un zéro point "naturel" là où aucune paire de rapports financiers n’est comparable. Il satisfait aux critères d'un ratio de l'échelle. Cela permet d'appliquer une analyse de régression afin de tester la signification des mouvements dans le degré d'harmonie.

Tay et Parker (1990, 1992), après avoir passé en revue l’étude de Van der Tas (1988) et cinq autres études sur la mesure de l'harmonisation internationale, ont suggéré des critères que les études de la mesure de degré devraient suivre ; ils recommandent d’étudier les pratiques comptables des entreprises sur la base de leurs états financiers afin de mesurer le degré de l’harmonie et ils estiment que la preuve de l'harmonie peut être apportée en utilisant les tests du khi-deux, ce qui nécessite une taille d’échantillons suffisamment grande. Toutefois, les auteurs n’ont pas éliminé la méthode d’indices, mais ils conseillent d’effectuer une mesure globale de l’harmonie en utilisant l’indice C à plusieurs dates différentes, permettant de mettre en évidence le consensus d’harmonisation ou de dés-harmonisation entre les pays.

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Dans le sens des recommandations de Tay et Parker (1990), de nombreux chercheurs ont étudié l’impact des directives européennes ou des normes IAS sur les pratiques des entreprises pour mesurer le degré de l’harmonie. A l’aide de l’indice I de Vans der Tas et avec la prise en compte des recommandations de Tay et Parker, Emenyonu et Gray (1992) ont étudié le degré de l’harmonie deux par deux entre trois pays européens - la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne - dans le contexte de l’harmonisation européenne et, plus particulièrement, de la 4e directive. Pour effectuer ce travail, ils ont choisi les données de 78 entreprises industrielles (26 entreprises pour chaque pays) pour l’année 1989. L’étude porte sur l’évaluation des stocks, les méthodes d’amortissement, le traitement du goodwill, des frais de R&D, les méthodes d’évaluation des immobilisations et le traitement des éléments extraordinaires ou exceptionnels. Les résultats qu’ils ont obtenus révèlent qu’il existe des différences de pratiques statistiquement significatives entre les entreprises des trois pays étudiés. Emenyonu et Gray (1996) ont développé leur étude en ajoutant les États-Unis et le Japon à leur échantillon afin de mesurer l’impact des normes IAS sur un nombre important d’items (traitement de goodwill, traitement de monnaie étrangère, frais de R&D, retraite, contrats à long terme et aides financières). Les auteurs ont choisi un échantillon de 293 entreprises qui ont un chiffre d’affaires de plus de 250 millions dollars parmi lesquelles 25 entreprises françaises, 42 entreprises allemandes, 54 entreprises japonaises, 82 entreprises du Royaume-Uni et 90 entreprises américaines. Ils ont sélectionné deux dates : 1971/1972 et 1991/1992. Les auteurs ont d'abord utilisé le test de ((khi-deux) ķ2) afin d’apporter un jugement sur le développement de l’harmonisation à vingt ans d’intervalle. Puis, ils ont utilisé l’indice I pour mesurer le degré de l’harmonisation entre les pays. Les résultats montrent que les efforts d’harmonisation ont augmenté de façon modeste sur certaines pratiques comptables ; les auteurs ont aussi constaté qu’il y a une certaine désharmonisation sur certaines pratiques.

En outre, Herrmann et Thomas (1995) ont utilisé à la fois le khi-deux et l’indice I afin d'examiner le niveau de l'harmonisation comptable dans les pays de l'Union européenne (UE) en prenant comme référence l’étude d’Emenyonu et Gray (1992) et en étudiant les pratiques suivantes : l’évaluation des stocks, les méthodes de dépréciation, le traitement du goodwill, des frais de R&D, les méthodes d’évaluation des immobilisations, le traitement des monnaies étrangères. Les auteurs ont collecté les données par l’envoi d’un questionnaire à 65 entreprises d’Allemagne, de France, du Royaume-Uni, de Belgique, du Danemark, d’Irlande, des Pays-Bas et du Portugal. Leurs études ont conclu qu’il n’y a pas de différence

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significative en ce qui concerne la comptabilisation des traitements en monnaie étrangère et l’évaluation des stocks. De plus, l’étu

les pays du modèle anglo-saxon tels l’Irlande, les Pays

que dans les pays européens continentaux qui ont une influence légale tels que la France, la Belgique, le Portugal, et l’Allemagne. Les auteurs ont souligné que leurs résultats ne s’appliquent pas aux entreprises de moyenne et de petite taille.

Archer et al (1995) ont développé l’indice C de Van der Tas par la séparation en deux composantes. La première composa

de comparabilité à l’intérieur de chaque pays et, ainsi, de rendre compte de l’impact de la normalisation domestique ; la deuxième composante (between country C index) permet de doser un niveau de comparabilité entre les pays et de rendre compte de l’impact à un niveau international.

Les indices de Van der Tas ont été critiqués par Morris et Parker (1998), surtout l’indice I.

D’après eux, ces deux indices ne permettent pas de prendre en compte l’ab d’information sur l’item étudié parce qu’il n’est pas toujours possible de savoir quelle méthode comptable a été appliquée à un item. Ils ont proposé que l'indice I soit calculé ainsi :

où :

fi = la fréquence relative de méthode I dans un pays m = le nombre de pays

n =le nombre de méthodes comptables alternatives

Taplin (2004) a fait remarquer que l’indice I est souvent le préféré puisqu’il donne à chaque pays un poids égal, indépendamment du nombre d'entreprises de l'échantillon de chaque p Morris et Parker (1998) ont fait une étude sur les propriétés en utilisant l’indice I (index I) et l’indice C (between countries). Les auteurs ont fait une simulation portant sur trois méthodes comptables dans 10 pays et cinquante entreprises par pays

divulgation en utilisant les mêmes techniques que celles utilisées par Archer et al (1995).

Morris et Parker (1998) ont constaté que l'indice I et l’indice C entre les pays sont équivalents significative en ce qui concerne la comptabilisation des traitements en monnaie étrangère et l’évaluation des stocks. De plus, l’étude révèle que le degré d'harmonisation est plus fort dans

saxon tels l’Irlande, les Pays-Bas, le Royaume-

que dans les pays européens continentaux qui ont une influence légale tels que la France, la rtugal, et l’Allemagne. Les auteurs ont souligné que leurs résultats ne s’appliquent pas aux entreprises de moyenne et de petite taille.

Archer et al (1995) ont développé l’indice C de Van der Tas par la séparation en deux composantes. La première composante (within country C index) permet de mesurer un niveau de comparabilité à l’intérieur de chaque pays et, ainsi, de rendre compte de l’impact de la

; la deuxième composante (between country C index) permet de mparabilité entre les pays et de rendre compte de l’impact à un niveau

Les indices de Van der Tas ont été critiqués par Morris et Parker (1998), surtout l’indice I.

D’après eux, ces deux indices ne permettent pas de prendre en compte l’ab d’information sur l’item étudié parce qu’il n’est pas toujours possible de savoir quelle méthode comptable a été appliquée à un item. Ils ont proposé que l'indice I soit calculé ainsi :

= la fréquence relative de méthode I dans un pays m.

m = le nombre de pays

n =le nombre de méthodes comptables alternatives

Taplin (2004) a fait remarquer que l’indice I est souvent le préféré puisqu’il donne à chaque pays un poids égal, indépendamment du nombre d'entreprises de l'échantillon de chaque p Morris et Parker (1998) ont fait une étude sur les propriétés en utilisant l’indice I (index I) et

countries). Les auteurs ont fait une simulation portant sur trois méthodes comptables dans 10 pays et cinquante entreprises par pays. Ils ont adapté l’indice I de non divulgation en utilisant les mêmes techniques que celles utilisées par Archer et al (1995).

Morris et Parker (1998) ont constaté que l'indice I et l’indice C entre les pays sont équivalents significative en ce qui concerne la comptabilisation des traitements en monnaie étrangère et

de révèle que le degré d'harmonisation est plus fort dans -Uni, le Danemark, que dans les pays européens continentaux qui ont une influence légale tels que la France, la rtugal, et l’Allemagne. Les auteurs ont souligné que leurs résultats ne

Archer et al (1995) ont développé l’indice C de Van der Tas par la séparation en deux nte (within country C index) permet de mesurer un niveau de comparabilité à l’intérieur de chaque pays et, ainsi, de rendre compte de l’impact de la

; la deuxième composante (between country C index) permet de mparabilité entre les pays et de rendre compte de l’impact à un niveau

Les indices de Van der Tas ont été critiqués par Morris et Parker (1998), surtout l’indice I.

D’après eux, ces deux indices ne permettent pas de prendre en compte l’absence d’information sur l’item étudié parce qu’il n’est pas toujours possible de savoir quelle méthode comptable a été appliquée à un item. Ils ont proposé que l'indice I soit calculé ainsi :

Taplin (2004) a fait remarquer que l’indice I est souvent le préféré puisqu’il donne à chaque pays un poids égal, indépendamment du nombre d'entreprises de l'échantillon de chaque pays.

Morris et Parker (1998) ont fait une étude sur les propriétés en utilisant l’indice I (index I) et countries). Les auteurs ont fait une simulation portant sur trois méthodes . Ils ont adapté l’indice I de non- divulgation en utilisant les mêmes techniques que celles utilisées par Archer et al (1995).

Morris et Parker (1998) ont constaté que l'indice I et l’indice C entre les pays sont équivalents

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lorsque deux pays sont étudiés, alors que les deux indices divergent lorsque le nombre de pays étudiés augmente. Ils ont conclu que l’indice C entre les pays est supérieur à l'indice corrigé I- indice. Les auteurs conseillent alors d’ajuster l’indice C (between countries C index) pour donner plus de pertinence à la valeur de l’indice.

La non-divulgation présente un problème pour la mesure de l’harmonisation (Archer et al.1995; Morris et Parker, 1998; Pierce et Weetman, 2000). La valeur du degré d’harmonie varie effectivement de manière considérable d’un indice à l’autre lorsqu'on prend en compte la manière dont l’information d’un item est traitée (Pierce et Weetman 2002). Archer et al (1995) distinguent deux types de non-divulgation, d’une part, ceux qui ne sont pas applicables à l'entreprise et, d’autre part, ceux qui sont applicables mais ne sont pas divulgués. Morris et Parker (1998) suggèrent que l’indice C est applicable dans les cas de non-divulgation.

Dans le contexte des pays en voie de développement, Sawsan HALBOUNI (2007) a mesuré le degré d’harmonisation des pratiques comptables pendant la période 2000-2002 en Jordanie.

Elle a utilisé deux méthodes statistiques, à savoir le test du khi-deux pour évaluer la pratique des entreprises, et l’indice C de comparabilité, pour mesurer le degré de l’harmonisation au sein de la Jordanie dans le but de déterminer les facteurs qui influencent la comparabilité. Elle a étudié les pratiques suivantes : l’évaluation des stocks, le traitement du goodwill, les frais de R&D, les méthodes d’évaluation des immobilisations, les méthodes de dépréciation, le traitement des devises, les investissements à long terme, les investissements aux entreprises associées.

Le résultat du test khi-deux montre également qu’il n’existe pas de différences significatives relatives aux pratiques comptables suivantes ; la valorisation et l’évaluation des stocks, le goodwill, les frais de R&D, la valorisation et l’amortissement des immobilisations, les investissements à long terme, les investissements aux entreprises associées et le traitement des devises. Le test du khi-deux montre l’existence d’une différence significative relative aux pratiques comptables de traitement des investissements à court terme. En outre, les résultats du test C de comparabilité montrent que les pratiques comptables concernant la valorisation des stocks, frais de R&D, les immobilisations et les amortissements, ont un niveau élevé de comparabilité, tandis que les pratiques comptables de la valorisation des stocks, l'amortissement de R&D, les investissements à court terme, les investissements aux entreprises associées et le traitement des devises ont un faible niveau de comparabilité.

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Elle a conclu aussi que les deux techniques utilisées (test du khi-deux, test C de comparabilité) ne donnent pas les mêmes résultats. En outre, l'étude a conclu que les normes comptables internationales « International Financial Reporting Standards (IFRS) » pourraient être la meilleure solution pour augmenter le degré d'harmonisation au sein de la Jordanie.