A quarta parte tratta di e proprietà meccaniche di l'amorfu à alta temperatura. A quinta parte discute l'influenza di a cristallizazione nantu à e proprietà meccaniche à alte temperature.
Verre et cristal
Ce premier chapitre présente les avancées scientifiques concernant les verres métalliques dans le but de mieux comprendre le comportement mécanique des verres métalliques amorphes et partiellement cristallisés. La cristallisation est ensuite analysée dans le cas des verres métalliques et plus précisément dans le cas particulier du Vitreloy 1 ; nuances étudiées dans cette thèse.
Obtention des verres m´ etalliques et transition vitreuse
The characteristics of mechanical properties for bulk amorphous alloys is significantly different from that of crystalline alloys. Shape and appearance of the outer surface of Nd, Al, OFe, and Nd, OA1, Fe alloys prepared by copper mold casting.
La relaxation structurale
Comme pour tous les matériaux, la mobilité atomique des matériaux amorphes augmente avec la température. Nous aborderons dans un premier temps les aspects de mobilité pour des températures inférieures à la transition vitreuse.
Diffusion dans les verres m´ etalliques
2 by the corresponding DSC scan, which is close to that of the casting material. The temperature dependence of the Fe and B diffusion coefficients measured in the relaxed V4 bulk glass is compared in Fig.
R´ esultat de la cristallisation
The Kissinger glass transition and crystallization curves for the three alloys are shown in Fig. This indicates that pre-annealing BMGs near Tg or in the supercooled liquid region can cause structural.
Cristallisation du Vitreloy 1
Finally, the glass transition behavior and the crystallization of the annealed alloys are significantly different from those of the as-prepared Zr41Ti14Cu12.5Ni10Be22.5 BMG. Kissinger plots of the glass transition 共a兲 and crystallization 共b兲 for the Zr41Ti14Cu12.5Ni10Be22.5 alloy at different conditions.
Fraction cristalline
En conclusion, il existe des variations de composition dans la matrice amorphe dans les premiers stades de cristallisation de Vit1. Les auteurs préfèrent généralement utiliser la méthode de Kissinger [Kissinger, 1957] pour mesurer l'énergie d'activation de cristallisation.
D´ eformation h´ et´ erog` ene
Structural relaxation involves densification of the glass (loss of free volume) and can cause significant changes in properties [31]. After removing the plastic discontinuities, the corrected load curve (smooth black curve indicated by arrows) matches the contact mechanics prediction for pure elasticity (broken curve predicted by equation (2)).
D´ eformation homog` ene
Dependence of the strain rate on the flow stressσflow for the homogeneous deformation in La55Al25Ni20metallic glass. 2 illustrates the dependence of strain rate on viscosity for La55Al25Ni20 metallic glass at different temperatures.
Transition d´ eformation h´ et´ erog` ene/d´ eformation homog` ene
Influence de la relaxation sur les propri´ et´ es m´ ecaniques
Positron lifetime in metallic glasses is thus a measure of the statistically averaged size of open-volume regions [4–7]. Therefore, when the concentration and/or size of open-volume regions is reduced, the shape of the resulting spectrum will.
Le mod` ele des volumes libres
Han et al [9] have reported that the relative amplitudes of the two exothermic peaks in the Pd48Ni32P20 system change with composition. Positrons, after implantation in the sample, are thermalized, diffuse and can be trapped in regions of open volume due to the absence of positively charged nuclei in such regions.
Le mod` ele d’Argon
L'énergie d'activation ∆E nécessaire à la déformation est donc constituée de la somme de la résistance au cisaillement du matériau (∆Fcisaill) avec l'énergie élastique accumulée dans le milieu environnant lors du phénomène de déformation (Δε) (voir aussi [Argon et Shi, 1983 ]). Ce mode de déformation a été observé par Argon et Shi ([Argon et Shi, 1982]) à travers des essais de cisaillement plan sur des bulles de savon de deux tailles différentes.
Le mod` ele des d´ efauts quasi ponctuels (DQP)
Les temps caractéristiques et le paramètre χ sont affectés par la contrainte. Naturellement, la dépendance temporelle τβ du mouvement élémentaire à la contrainte va modifier les temps caractéristiques de la déformation viscoélastique (équation I.27).
Bilan sur les mod` eles de d´ eformation
Le modèle DQP, quant à lui, permet d'expliquer une grande partie des phénomènes de déformation et est surtout très efficace en ce qui concerne la déformation visqueuse-élastique (régime linéaire). L’influence de la cristallisation est peu étudiée, mais il apparaît qu’elle peut augmenter significativement la viscosité.
Etude de l’´ etat amorphe
Cependant, il est important de disposer d’autres points de mesure pour quantifier l’effet de la température de cristallisation. En effet, on observe que les deux premiers pics de cristallisation sont très proches et se chevauchent à ce taux de croissance.
Etude calorim´ etrique de la cristallisation
4 : Températures caractéristiques des mesures DSC sur Vit1 amorphe à une vitesse de montée en température de 10˚C/min. La figure II.3.a montre la courbe DSC isotherme à une température de 410˚C avec une vitesse de montée en température de 500˚C/min pour atteindre le plateau.
Analyse de la taille des cristaux
Nous donnons la taille moyenne et la taille moyenne de 10 % des plus gros cristaux. On obtient alors un cristal entouré d’une couche amorphe de composition différente qui bloque sa croissance.
Nature des cristaux
Dans le cas contraire, lorsqu'il n'y a pas de décomposition, il faut supposer que le cristal formé a une composition différente de la matrice qui l'entoure, et que sa croissance entraîne par conséquent un rejet de certains éléments à sa périphérie. Pour évaluer l'évolution des propriétés mécaniques avec cristallisation, il est important de caractériser l'évolution de la microstructure ; l'idéal est d'obtenir une fraction de cristaux présents dans le matériau.
Mesures indirectes
On rappelle également les énergies de cristallisation obtenues en augmentant la température de 10˚C/min sur les deux premiers pics de cristallisation. . (même si cela n'est pas souvent différencié dans la littérature) pour plusieurs raisons : la fraction de cristaux n'est pas de 1 après 60 minutes de traitement et, de plus, ces valeurs dépendent du type de cristaux formés, de la composition du reste substances amorphes. matrice, phénomènes de percolation. Des techniques ont donc été développées pour mesurer directement la fraction cristalline.
Mesures directes
Figure 8 : Valeurs moyennes de la fraction volumique de cristaux mesurées par diffraction des rayons X et par TEM en fonction de traitements thermiques à 410˚C. Cette simulation permet de confirmer la valeur a priori faible de la fraction volumique retrouvée après 60 minutes de traitement.
Cristallisation ` a 373˚C
Le but est de calculer la fraction volumique maximale de cristaux pouvant apparaître dans le matériau si l'on se met dans des conditions proches de celles observées en TEM, à savoir : les cristaux sphériques et la distribution de taille correspondante à celles mesurées en MET. De plus, on voit qu'après la disparition des deux premiers pics de cristallisation, on a atteint la valeur maximale de la vitesse cristalline pouvant être atteinte tout en conservant la distribution de taille ainsi que la géométrie des cristallites sphériques.
Cristallisation ` a 550˚C
Les courbes résultantes de ∂Cd∂T en fonction de la température sont données dans les figures D.5. Cette explication n’explique cependant pas l’évolution observée de l’énergie d’activation en fonction de la température.
Propri´ et´ es m´ ecaniques ` a froid
Propri´ et´ es macroscopiques
Cette fracture se manifeste par la localisation d'une déformation dans la bande de cisaillement. Le test de microdureté est intéressant car il permet de revenir à la valeur limite élastique tout en évitant la localisation.
Confinement de la plasticit´ e
C caractérise la résistance à l'enfoncement du matériau ; il définit donc la charge sur le pénétrateur. Mais cette surface dépend du comportement du matériau lors de l'indentation et ne peut être directement déduite de la profondeur d'insertion du pénétrateur.
Propri´ et´ es macroscopiques
Les essais de compression montrent deux phases dans l'évolution de la résistance à la rupture des échantillons. Elle augmente au début de la cristallisation puis diminue brutalement au-delà d'une fraction critique des cristaux.
Confinement de la plasticit´ e
On retrouve des valeurs différentes de celles mesurées précédemment dans le cas de la dureté Vickers (une augmentation d'environ 15% est constatée pour les amorphes), ce qui n'est pas surprenant puisque la forme du pénétrateur, la charge appliquée ainsi que la méthode de mesure sont différent. De plus, l'augmentation de la dureté entre l'état amorphe et l'état cristallisé maximum est similaire : elle est de 27 % alors qu'elle était de 25 % dans le cas de la dureté e Vickers.
Bilan des mesures
Cependant, les échantillons sont suffisamment durs pour provoquer un travail important sur le pénétrateur en saphir. Par conséquent, la déformation du pénétrateur et le travail induit ont été considérés analytiquement avant de calculer le rapport de travail.
Analyse qualitative des r´ esultats
Dans le cas d'une cristallisation à 410°C, on observe deux étapes dans l'évolution des propriétés. Nous choisissons ensuite un modèle de déformation plastique pour quantifier l'influence de la cristallisation dans ce cadre.
Analyse quantitative via un mod` ele de Drucker Prager
Dans le cadre du critère DP, la réponse mécanique du matériau peut être entièrement caractérisée par 4 paramètres : (E, ν, α, y) où u (ν, E) sont les constantes élastiques et (α,y) sont les paramètres DP. De plus, étant donné que la position des points dans le diagramme est indépendante des paramètres élastiques, nous n'avons en pratique que deux paramètres à déterminer dans la loi DP : (α,y).
Discussion des r´ esultats
Ces valeurs ont été choisies pour inclure les valeurs attendues dans le cas de l'échantillon amorphe. On peut donc interpréter la valeur élevée de α dans le cas de l'échantillon cristallisé au maximum.
Comportement en grandes d´ eformations
- G´ en´ eralit´ es
- D´ eformation viscoplastique
Ces différents tests de saut rapide permettent d'analyser la déformation viscoplastique en fonction de la température et de la vitesse de déformation. L'augmentation de la vitesse de déformation ou la diminution de la température entraîne la transition du régime newtonien au régime newtonien.
Comportement en petites d´ eformation
- Essais isothermes ` a fr´ equence variable
- Essais de mont´ ee en temp´ erature ` a fr´ equence fixe
Nous avons également réalisé des tests d'échauffement à une vitesse de 10˚C/mnet avec une fréquence de vibration fixe de 1Hz. Ces courbes de montée en température permettent également d'avoir accès à l'évolution de l'énergie apparente d'activation en fonction de la température.
Bilan sur le comportement m´ ecanique ` a chaud de l’amorphe
Mod´ elisation de la d´ eformation 91
- Limites des principaux mod` eles existants
- Bilan
- Mod` ele de d´ eformation
- M´ ecanisme de d´ eformation ´ el´ ementaire
- Retour ` a la d´ eformation globale
- Mod´ elisation des essais de compression
- Mod´ elisation du r´ egime permanent
- Mod´ elisation de courbes de compression
- Discussion sur les param` etres obtenus
- Bilan
Ce modèle décrit l'évolution de la viscosité en fonction de la fraction volumique dans le cas d'une suspension de Dans le cas de la cristallisation vit1, il existe une distribution des tailles de cristaux.
Influence de la cristallisation sur les propri´ et´ es m´ ecaniques ` a haute tem-
Valeurs de la viscosit´ e
Les viscosités en fonction de la vitesse de déformation pour les fractions cristallines supérieures de 27 % et 32 % sont présentées sur la figure V.3. Figure 20 : Valeurs, en fonction de la température, des viscosités newtoniennes pour les différentes fractions de cristaux.
Analyse du renforcement en r´ egime Newtonien
Son origine est semi-empirique et décrit le facteur d'amplification de la manière suivante. Par ailleurs, on voit qu'en fonction de la température, les facteurs de renforcement évoluent et tendent.
Calcul de l’´ energie d’activation
Cela signifie qu'on ne peut pas simplement considérer un modèle de renforcement de type composite et qu'il faut considérer l'effet de la température sur ce renforcement et même sur le régime d-Newtonien de formation. Nous allons maintenant observer l'influence de la cristallisation sur les résultats spectromécaniques ce qui permettra d'avoir des informations sur les mécanismes de déformation élémentaires ainsi que sur leurs énergies d'activation.
Analyses en isothermes
De ces mesures de grandes déformations nous déduisons que le régime de déformation permanente est fortement perturbé par la présence de cristaux étant donné que la viscosité est augmentée, que le régime de déformation non newtonien est favorisé et que l'effet de la température sur la viscosité newtonienne est modifié. Nous notons qu'ils se chevauchent relativement bien et qu'il n'y a donc pas de changement notable dans la forme de G"/Gu lors de la cristallisation.
Analyses en mont´ ee en temp´ erature
La pente de cette courbe nous donne un accès direct à l'énergie apparente d'activation de la viscosité. L'existence d'une couche autour de chaque cristal dans laquelle l'écoulement de la matrice amorphe est perturbé (effet Interface).
Modification de la matrice amorphe
Perturbation de l’´ ecoulement par les nanocristaux
La figure V.10.a montre l'évolution de la fraction volumique de la phase amorphe en fonction de la fraction volumique de cristaux ; la fraction volumique totale de la phase amorphe ainsi que les fractions volumiques perturbées pour différentes épaisseurs interfaciales sont représentées (le diamètre des cristaux est fixé à une valeur de 30 nm). La taille moyenne de ces canaux, normalisée par le diamètre moyen des particules, est représentée sur la figure V.10.b en fonction de la fraction volumique de cristaux.
Bilan
Nous constatons que, sur 10 % des cristaux, la taille moyenne des canaux d'écoulement est de l'ordre de 3 diamètres cristallins, soit inférieure à 100 nm pour les échantillons cristallisés à 410˚ vs. Ces distances de l'ordre de quelques dizaines de nanomètres jouent certainement un rôle dans les perturbations d'écoulement observées avec l'augmentation de la fraction volumique des cristallites.
Couplage ` a 373˚C
Cette augmentation de viscosité peut être attribuée à la cristallisation qui démarre après environ 1400 s de maintien à cette température [Wanget al., 2006]. Cette rapide étude préliminaire semble confirmer que la déformation en régime newtonien affecte peu ou pas du tout la cristallisation.
Couplage ` a 410˚C
La cristallisation provoque une augmentation de la viscosité et favorise le régime non newtonien. Il en résulte que le facteur d'amplification est fonction de la vitesse de déformation.
Mesure MET ` a partir d’images en champ sombre
Pour ce faire, nous devons établir une relation entre le nombre de taches de diffraction visibles sur les photographies en fond noir et le nombre de cristaux présents dans le volume observé. Dans le champ sombre, on ne prend qu'une partie du diagramme de diffraction (« disque » dans le plan de la figure A.4).
Application ` a notre cas
On peut alors retracer l'évolution du nombre de tentatives en fonction de la fraction volumique. B.1 : Evolution du nombre de tentatives en fonction de la fraction volumique de sphères pour une même taille de sphères.
Mod´ elisation avec un mod` ele rh´ eologique de type Maxwell
On obtient enfin l'expression de la concentration des défauts à l'équilibre thermodynamique pour la température de transition vitreuse. On peut alors retracer l'évolution de la concentration des défauts à l'équilibre quelle que soit la température.
Mod´ elisation des ph´ enom` enes de relaxation structurale et de DSC
On a donc, comme dans le cas du modèle volume libre, un lien direct entre les courbes DSC et la dérivation de la concentration de défauts en fonction de la température. Le balayage de température permet enfin d'observer la forme de la transition vitreuse correspondant à cet état initial.
Conclusion
En effet, le milieu environnant subit une déformation élastique en cisaillement et en compression, dont il faut tenir compte pour comprendre la valeur de l'énergie d'activation apparente. Cependant, cette approche ne permet pas d’expliquer l’évolution de l’énergie d’activation que nous avons mesurée à l’aide de tests spectromécaniques.
M´ ecanisme ´ evolutif
Il serait possible d'éviter ces changements brusques en considérant une énergie d'activation dépendante de la température. Si l'on suppose que l'énergie d'activation dépend de la température, la dérivée de la viscosité devient fonction de la température.
Essais m´ ecaniques