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dans la qualité germinative des graines de Medicago truncatula

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Academic year: 2023

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Pascale, la protéomique serait bien triste sans toi Nicole P. merci pour l'aide que tu as apporté à la culture des monstres et surtout merci d'avoir trouvé des mots de réconfort à un moment où j'allais mal, je n'ai pas oublié. Caroline, je n'ai pas été beaucoup disponible mais je ne t'ai pas oubliée, merci pour ton soutien constant et pour ta gentillesse, merci pour les sorties parisiennes rafraîchissantes.

Développement de la graine

Acquisition de la tolérance à la dessiccation

La tolérance au dessèchement s'acquiert environ à mi-développement des graines lors de la phase de remplissage. Chez les haricots, la tolérance à la dessiccation s'acquiert lorsque le poids de matière sèche se stabilise (entre 31 et 38 DAP) (Sanhewe et Ellis, 1996).

Longévité des graines

L'acquisition de la tolérance au dessèchement dépendra également de la vitesse de séchage de la graine. En plus de l’établissement d’une tolérance à la dessiccation, d’autres changements physiologiques importants se produiront au cours des derniers stades de maturation.

Figure 3 : Schéma des principaux paramètres influençant la longévité de la graine
Figure 3 : Schéma des principaux paramètres influençant la longévité de la graine

La dormance

L'établissement de la dormance secondaire semble également dépendre des niveaux d'ABA. Chez M truncatula, la dormance primaire est initiée pendant la maturation à la fin de la phase de remplissage, puis augmente dans les phases tardives lors de la dessiccation des graines.

La tolérance à la dessiccation

Généralités

Après avoir redéfini les principales caractéristiques du développement de la graine orthodoxe, nous allons maintenant décrire les mécanismes qui vont lui permettre de tolérer la dessiccation. Mais généralement, chez les plantes angiospermes, la tolérance à la dessiccation ne se retrouve que dans certaines parties de la plante, à savoir les graines et le pollen.

Impact de la dessiccation sur la cellule

  • Impact sur les membranes
  • Impact sur les protéines
  • Impact sur le métabolisme, et augmentation du stress oxydant
  • Impact sur l’ADN

Concernant la conformation de la chromatine, (Leprince et al., 1995) ont montré que chez les racines de maïs sensibles à la dessiccation, la déshydratation in vivo entraînait une condensation irréversible de la chromatine. De même, différents types de dommages à l'ADN (cassures, etc.) ont été rapportés dans des graines sensibles au dessèchement ou ayant subi un stockage prolongé au-delà de la viabilité des lots (Walters et al., 2006).

Figure 4 : Schéma des principales voies de détoxification des ROS (Reactive oxygen species)
Figure 4 : Schéma des principales voies de détoxification des ROS (Reactive oxygen species)

Mécanismes impliqués dans la tolérance à la dessiccation

  • Les systèmes antioxydant
  • Les sucres non réducteurs
    • L’hypothèse de remplacement de l’eau
    • Formation de l’état vitreux
  • Les protéines HSP (Heat Shock Protein)

Leur représentation diminue ensuite rapidement au cours de l'ingestion, en association avec la perte de tolérance à la dessiccation (Wehmeyer et al., 1996). De plus, (Alamillo et al., 1995) ont montré que certains sHSP sont absents des cals de la plante en régénération C.

Les protéines LEA (Late Embryogenesis Abundant)

Origine des protéines LEA

Prieto-Dapena et al., 2006), ce qui semble conforter l'importance de leur rôle dans la graine. La mise en place de multiples systèmes et l’interaction entre ces différents systèmes sont nécessaires pour que la graine supporte efficacement la dessiccation.

Tableau 1 : Récapitulatif des différentes classifications des protéines LEA et répartitions du nombre de  séquences peptidiques répertoriées pour chacune des familles
Tableau 1 : Récapitulatif des différentes classifications des protéines LEA et répartitions du nombre de séquences peptidiques répertoriées pour chacune des familles

Caractéristiques et classification des protéines LEA

Le groupe 4 contient des protéines qui n'ont pas de motifs répétés mais qui possèdent un domaine N-terminal plus ou moins conservé. Il convient de noter que (Wise et Tunnacliffe, 2003) considèrent que ce groupe très hétérogène regroupe en fait toutes les protéines qui ne peuvent être classées dans aucun des autres groupes.

Le groupe 5

  • Descriptions des membres du groupe 5
  • Particularités du groupe 5

La ligne indique la limite empirique entre les protéines désordonnées à gauche et celles structurées à droite (Uverski et al., 2000). En effet, des hybridations par immunocytochimie ont montré que les protéines AtRAB28 et RAB28 sont localisées dans le noyau de la cellule (Niogret et al., 1996 ; Borrell et al., 2002).

Figure 5 : Comparaison de la charge en fonction de l’hydrophobicité prédites  à parti de la séquence protéines LEA chez Arabidopsis thaliana
Figure 5 : Comparaison de la charge en fonction de l’hydrophobicité prédites à parti de la séquence protéines LEA chez Arabidopsis thaliana

Caractéristiques physico-chimiques des protéines LEA

Il a été démontré que Medicago truncatula est majoritairement (60 % de la protéine) structuré en forme de spirale, mais dans ce cas quelle que soit la vitesse de séchage (Boudet et al., 2006). D'autres études menées sur le dichroïsme circulaire sur LEAM, une protéine mitochondriale du pois, ont également montré une majorité de structuration en hélice lors du séchage ( Tolleter et al., 2007 ).

Tableau 2 : Localisation cellulaire de protéines LEA
Tableau 2 : Localisation cellulaire de protéines LEA

Localisation cellulaire des protéines LEA

Cette augmentation de la structure hélicoïdale  induite par le séchage a également été observée dans les protéines LEA d'autres règnes, comme c'est le cas pour Aav-LEA-1 du nématode Aphelanchus avenae (Goyal et al., 2003). De manière assez remarquable, l'étude menée par (Tolleter et al., 2007) a également pu montrer que cette structuration était réversible, et que le LEAM reprenait une structuration majoritairement désordonnée lors de la réhydratation.

Régulation transcriptionnelle des protéines LEA

Implications des protéines LEA dans la tolérance aux stress abiotiques

  • Rôle fonctionnel des protéines LEA : approches de génétique inverse
  • Rôle fonctionnel des protéines LEA : approches in vitro
    • Protection des protéines
    • Protection membranaire
    • Séquestration d’ions
    • Implication des protéines LEA dans la formation des états vitreux

Ainsi, les protéines LEA pourraient jouer un rôle important dans les propriétés de l’état vitreux des graines sèches (Shih et al., 2004). Dans notre laboratoire (Boudet et al., 2006) ont mis en évidence des protéines LEA liées à la tolérance au dessèchement et spécifiques de la graine de Medicago truncatula.

Tableau 3 : Récapitulatif de la diversité des résultats obtenus pour la caractérisation fonctionnelle des  protéines LEA
Tableau 3 : Récapitulatif de la diversité des résultats obtenus pour la caractérisation fonctionnelle des protéines LEA

Medicago truncatula, un bon modèle d’étude de la physiologie des légumineuses

En B : Apparition des PM25 dans les graines lors de la maturation en Western blot en parallèle de l'acquisition de la tolérance au dessiccation (DT) indiquée par la barre verte. En D, disparition des PM25 dans les racines lors de la germination et en E, disparition des PM25 dans les cotylédons lors de la germination, parallèlement à la perte de tolérance au dessèchement, indiquée par la barre verte et suivie par le western blot.

Figure 8 : Evolution du niveau de PM25 en corrélation avec la tolérance à la dessiccation
Figure 8 : Evolution du niveau de PM25 en corrélation avec la tolérance à la dessiccation

PM25 et origine de ce travail

L'expression relative des PM25 (± écart type, sur trois répétitions techniques) est surveillée pendant la germination par RT-qPCR. La stratégie choisie a été d'étudier l'impact de l'absence de PM25 sur la biologie de la graine M. L'expression relative des homologues de PM25 (± écart type, sur trois répétitions techniques) lors de la germination est suivie par RT-qPCR dans les radicules.

Figure 9 : Isotherme de sorption de l’eau de PM25, EM6 et du lysosyme  Les mesures sont effectuées à 25°C
Figure 9 : Isotherme de sorption de l’eau de PM25, EM6 et du lysosyme Les mesures sont effectuées à 25°C

PM25, une LEA atypique, spécifique de la graine et

PM25, une protéine hydrophobe largement désordonnée à l’état natif et stable à

  • Détermination de l’hydrophobicité de PM25
  • PM25, une protéine majoritairement non structurée en solution
  • PM25 est stable à la chaleur dans une solution complexe de protéines

Les spectres obtenus par spectroscopie FTIR de (Boudet et al., 2006) ont été obtenus en diluant la forme recombinante purifiée de PM25 dans du D2O. Nous avons ainsi pu estimer la contribution de chaque structure en solution et en présence de 1% de SDS et comparer nos résultats avec les données obtenues en spectroscopie FTIR par (Boudet et al., 2006). L'analyse de la présence de PM25 dans le surnageant et le culot est réalisée après migration dans un gel SDS-PAGE unidimensionnel suivie d'une révélation de la protéine par Western blot à l'aide d'un anticorps dirigé contre les PM25 (Boudet et al., 2006).

Figure  1.3 :  Prédictions in  silico  de  structure  de  PM25 et  EM6 à  partir  de  leurs  séquences  primaires  en  acides aminés par PONDR VL-XT ( www.pondr.com)
Figure 1.3 : Prédictions in silico de structure de PM25 et EM6 à partir de leurs séquences primaires en acides aminés par PONDR VL-XT ( www.pondr.com)

Etude de l’expression de PM25 au cours de la germination et de la croissance

  • Expression de PM25 au cours de l’imbibition
  • Expression de PM25 en conditions osmotiques pénalisantes

En A, courbes de germination de 80 graines de M. truncatula à l'obscurité à 20°C dans de l'eau (•) ou en présence d'une solution de PEG (○) équivalent à un potentiel hydrique de - 0,3 MPa. En B, analyse RT-qPCR de l'expression relative (± écart-type) des PM25 dans des graines trempées dans l'eau ou en présence de PEG pendant 6 h à l'obscurité. En B, analyse RT-qPCR de l'expression relative (± écart-type) de MtPM25 sur des graines trempées dans l'eau pendant 6 h ou en présence de NaCl.

Figure  1.8 :  Germination  de  graines  de  M.truncatula  et  expression  de  PM25  dans  l’eau  et  lors  d’un  stress  osmotique provoqué par une solution de PEG ψ : ψ :  ψ : -0.3 MPa ψ :
Figure 1.8 : Germination de graines de M.truncatula et expression de PM25 dans l’eau et lors d’un stress osmotique provoqué par une solution de PEG ψ : ψ : ψ : -0.3 MPa ψ :

Localisation cellulaire et tissulaire de PM25

  • Localisation cellulaire de PM25
  • Localisation tissulaire de PM25

Nous avons également testé les effets de l’ajout de protéines lors de la réhydratation après séchage. De la même manière qu'avec CS, nous avons essayé de vérifier les effets de l'ajout de PM25 après un stress (Figure 2.19). L’effet de la fluridone est donc assez similaire à celui observé avec les graines PM25+.

Figure 1.12: Empruntes tissulaires de graines de Medicago truncatula imbibées 3h
Figure 1.12: Empruntes tissulaires de graines de Medicago truncatula imbibées 3h

Caractérisation fonctionnelle de PM25

Effet de PM25 sur la protection de l’ADN et la survie bactérienne lors de stress

  • Effet de PM25 sur la conformation de l’ADN
  • Protection contre les UV
  • Protection contre la dessiccation

Il ne semble donc pas y avoir d’effet spécifique des PM25 sur la conformation de l’ADN. L'expression de PM25 est réprimée en présence de glucose (R), faiblement induite (fI) en l'absence d'inducteur ou de répresseur, ou fortement (I) en présence de L-arabinose dans E.Coli. En présence de PM25, la tolérance à la dessiccation des bactéries n'est pas améliorée, le taux de survie étant similaire à celui observé en l'absence de protéine.

Figure 2.3: Taux de PM25 déterminé en western  blot pour les bactéries faiblement induite, induite  et réprimé (A) et effet de stress UV (B , C, D)  sur  des bactéries surexprimant ou non PM25
Figure 2.3: Taux de PM25 déterminé en western blot pour les bactéries faiblement induite, induite et réprimé (A) et effet de stress UV (B , C, D) sur des bactéries surexprimant ou non PM25

Effet de PM25 sur la protection enzymatique

  • Tests de protection de la citrate synthase
    • Effet de PM25 sur la protection de la citrate synthase pendant le
    • Effet de PM25 sur la protection de la citrate synthase pendant le séchage
  • Tests de protection de la lactate déshydrogénase
    • Effet de PM25 sur la protection de la lactate déshydrogénase pendant la

Les pourcentages d'activité sont calculés par rapport aux témoins avant chauffage en présence/absence de glycérol. L'évolution du pourcentage d'activité enzymatique est mesurée par rapport aux témoins non séchés respectifs. De même, l'activité résiduelle après congélation en présence d'EM6 est d'environ 60% pour un rapport massique de 10:1.

Figure 2.5 : Effet du chauffage à 43°C sur l’activité de la citrate synthase en absence (A) ou en présence (B) de  glycérol
Figure 2.5 : Effet du chauffage à 43°C sur l’activité de la citrate synthase en absence (A) ou en présence (B) de glycérol

Effet de PM25 sur la prévention de l’agrégation protéique

  • Effet de PM25 sur l’agrégation engendrée par la congélation

L’agrégation des protéines solubles des racines de M. truncatula a été surveillée après 2 ou 8 cycles de gel/dégel en présence ou en l’absence d’un rapport massique PM25 de 1 : 1 ou 2 : 1 PM25 : protéine soluble. Lorsque l’échantillon est congelé en présence de PM25 à des ratios de masse PM25 : protéines solubles de 1 : 1 et 2 : 1, les protéines sont préservées de l’agrégation quel que soit le nombre de cycles de congélation. Dans A, l'agrégation des protéines est surveillée en mesurant la DO à 340/280 avant ou après l'ajout de quantités croissantes de PM25 après congélation à un rapport massique PM25 : protéine soluble.

Figure 2.10 : Effet de l’ajout de PM25 sur l’agrégation avant dialyse et congélation
Figure 2.10 : Effet de l’ajout de PM25 sur l’agrégation avant dialyse et congélation

Effet de PM25 sur la dissolution des agrégats

  • Effet de PM25 sur la dissolution des agrégats après congélation
  • Effet de PM25 sur la dissolution d’agrégats après des cycles de congélation
  • Effet de PM25 sur l’agrégation engendrée par le séchage
  • Effet de PM25 sur l’agrégation engendrée par une dialyse à différents pH
  • Effet de PM25 sur la protection de la citrate synthase après le chauffage
  • Effet de PM25 sur la protection de la lactate déshydrogénase après la congélation

Accumulation de protéines solubles par les radicules de M. truncatula suivie à différents pH dans un tampon citrate en présence ou en absence d'un rapport massique PM25:protéine soluble de 2:1. Nous avons donc dialysé des échantillons de protéines solubles provenant de racines de M. truncatula à différents pH dans un tampon citrate et observé si l'agrégation générée à un pH acide pouvait être inversée par l'ajout de PM25. En B, mesure de l'agrégation nanométrique de l'échantillon, en absence de PM25 (symbole fermé), ou en présence de protéine (symbole ouvert).

Figure 2.14 : Evolution de l’agrégation en fonction du nombre de cycles de congélation
Figure 2.14 : Evolution de l’agrégation en fonction du nombre de cycles de congélation

Mesure et visualisation des agrégats

La dormance sera progressivement levée au cours de la post-affinage. Pour les graines déficientes en PM25, les courbes de germination montrent qu'elles répondent au stress osmotique de la même manière que les graines sauvages. Au cours de la maturation, en ce qui concerne les profils d'accumulation de transcription dans les graines mutantes à 28 JAP, seul le gène D-34c est surexprimé (Figure 3.18).

Figure 3.2: Identification des mutants pm25 homozygotes par western blot
Figure 3.2: Identification des mutants pm25 homozygotes par western blot

Analyses physiologiques de mutants d’insertion tnt1 de

Vérification des mutations et sélection de lignées homozygotes

Nous avons d’abord sélectionné les graines pour lesquelles les PM25 n’étaient plus présentes. Pour vérifier que l'absence de PM25 était bien associée à l'insertion de Tnt1 dans le gène PM25, nous avons réalisé des PCR couvrant la séquence génomique et le transposon. Entre-temps, nous avons décidé de commencer les caractérisations physiologiques et biochimiques des mutants présentant encore des insertions redondantes.

Phénotypage physiologique des mutants pm25

  • Effet de PM25 sur la tolérance à la dessiccation
  • Effet de PM25 sur la dormance
  • Impact de PM25 au cours du vieillissement accéléré
  • Implication de PM25 dans la tolérance aux stress osmotique et salins
  • Impact de l’absence de PM25 sur la masse des graines

Par conséquent, nous avons testé si les graines déficientes en PM25 présentaient une susceptibilité accrue à la sénescence. Cependant, les graines déficientes en PM25 présentent la même diminution de leur taux de germination final et ne semblent donc pas plus sensibles. Nous avons pu constater dans la première partie de cette thèse que ce traitement ne modifie pas le taux de germination final, qui reste de 100 % pour les graines sauvages.

Figure 3.3 : Evolution de la germination de graines agées de 28 JAP et séchées  Les  graines  (80  à  90)  sont  récoltées  28  jours  après  pollinisation,  puis  séchées  pendant  48h à 20°C et 43 % d’HR
Figure 3.3 : Evolution de la germination de graines agées de 28 JAP et séchées Les graines (80 à 90) sont récoltées 28 jours après pollinisation, puis séchées pendant 48h à 20°C et 43 % d’HR

Phénotypage biochimique

  • Mesure des teneurs en eau
  • Teneur en protéines de réserves
  • Teneur en sucres solubles

La figure 3.9A montre que les graines matures des mutants pm25 semblent plus petites que les graines de type sauvage. Nous avons donc comparé la teneur en légumineuses et en vicilines, les principales protéines de stockage des graines de légumineuses (Müntz et al., 1985). Concernant l'évolution de la teneur en sucres solubles des graines sèches (Figure 3.15), dans les graines sauvages on constate que la majorité du sucre est devenue du stachyose (environ 60 µg/mg MS), dont le taux a été multiplié par 3 par rapport à graines 28 DAP.

Figure 3.11 : Teneurs en eau de graines immatures et matures déficientes ou non en PM25
Figure 3.11 : Teneurs en eau de graines immatures et matures déficientes ou non en PM25

Etude de l’expression des homologues de PM25 au cours de la maturation et de

  • Expression des homologues de PM25 au cours de la maturation
  • Expression des homologues de PM25 au cours de la germination
  • Expression des homologues de PM25 au cours de stress osmotique et salins

Dans ce cas, l’expression de ces gènes semble diminuer au cours de la maturation et du séchage des graines. Par ailleurs, nous avons mis en évidence 2 profils d'accumulation de transcrits homologues PM25 lors de la fin de maturation, soit entre 28 DAP et les graines matures. Fait intéressant, le gène D-34c présente le même profil d’expression que le PM25 lors de la maturation dans les graines de type sauvage, mais dans les graines mutantes, il présente l’autre type de profil.

Figure 3.18 : Expression de PM25 et de ses homologues chez M.truncatula dans les graines mutées pour ce gène 28  jours après pollinisation
Figure 3.18 : Expression de PM25 et de ses homologues chez M.truncatula dans les graines mutées pour ce gène 28 jours après pollinisation

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Figure 2 : Schéma général décrivant les phases du développement de la graine en
Figure 3 : Schéma des principaux paramètres influençant la longévité de la graine
Figure 4 : Schéma des principales voies de détoxification des ROS (Reactive oxygen species)
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